Équipe de la recherche
Direction de la division Recherche
Bianca Gendreau
Directrice principale, Recherche, et conservatrice en cheffe
Musée canadien de l’histoire
Bianca Gendreau dirige une équipe interdisciplinaire de conservateurs et de conservatrices qui travaillent sur différentes avenues de recherche et d’enrichissement de la collection nationale. Le Centre de recherche en histoire canadienne fait également partie de la division de la recherche et son équipe est responsable de l’accès à la bibliothèque et aux collections du musée.
Les intérêts de recherche de Bianca Gendreau portent sur des enjeux contemporains, dont les fonctions de la recherche, les responsabilités par rapport aux collections et l’avenir numérique dans un contexte muséal.
Elle est titulaire d’une maîtrise en histoire et d’une maîtrise en muséologie de l’Université de Montréal.
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En coulisses… Les premières cartes du temps des Fêtes
November 29, 2021 | Blogue
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Séduire par les mots – Des valentins de l’époque victorienne
February 13, 2015 | Blogue
Laura Sanchini
Gestionnaire, Histoire et expressions culturelles
Musée canadien de l’histoire
Laura Sanchini est ethnologue, spécialiste de l’histoire orale et experte de l’étude du métier d’art. Elle travaille au Musée depuis 2015 en tant que conservatrice de l’artisanat, du désign et de la culture populaire. Plus récemment, elle occupe le rôle de gestionnaire, Histoire et expression culturelles.
Les recherches de Laura Sanchini portent sur les méthodologies liées à l’histoire orale, le patrimoine culturel immatériel et les traditions de métiers d’art contemporaines. Elle dirige actuellement la principale initiative d’histoire orale du Musée, Le Canada en mouvement, qui vise à documenter les expériences des personnalités canadiennes influentes. Elle a été présidente de l’Association canadienne d’ethnologie et de folklore et est membre du conseil d’administration du Projet d’archives italo-canadiennes.
Laura Sanchini siège aussi au comité de rédaction du magazine Ornamentum et au comité scientifique de la collection Mercure, et elle a été publiée dans les revues Digest : A Journal of Foodways and Culture, Ethnologies et Material Culture Review. Avant de se joindre au Musée, elle a travaillé en tant que spécialiste de l’histoire orale au Musée canadien de l’immigration du Quai 21, ainsi que comme professeure et adjointe aux archives à l’Université Memorial de Terre-Neuve.
Elle est titulaire d’un baccalauréat en histoire (avec mention très honorable) de l’Université McGill, ainsi que d’une maitrise et d’un doctorat en ethnologie de l’Université Memorial de Terre-Neuve.
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Des desserts pour déstresser : les modes d’alimentation pendant la pandémie de COVID-19 au Canada
May 4, 2022 | Blogue
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Toute une époque en sculpture : le village en miniature de Saint-Jean-Port-Joli
October 14, 2015 | Blogue
Débuts du Canada et Peuples et communautés autochtones
Débuts du Canada
Comprendre le territoire qui est aujourd’hui le Canada grâce à la gestion d’items recueillis dans le sol et sous l’eau.
Matthew Betts
Conservateur, Archéologie de l’Est
Musée canadien de l’histoire
Matthew Betts travaille au Musée depuis 2007 à titre de conservateur, Archéologie de l’Est. Ses recherches actuelles portent sur les communautés des Maritimes dont le mode de vie était fondé sur la chasse, la pêche et la cueillette, ainsi que sur leurs relations profondes avec les animaux et les écosystèmes.
De 2008 à 2020, il a collaboré avec la Première Nation Acadia pour explorer l’histoire culturelle des Mi’kmaq, ce qui a donné lieu à la monographie Place-Making in the Pretty Harbour. En 2021, avec M. Gabriel Hrynick, il a également publié la première évaluation complète de l’histoire archéologique de la région dans The Archaeology of the Atlantic Northeast.
À titre de conservateur, Matthew Betts a mené de front, avec d’autres collègues, le projet de la salle de l’Histoire canadienne. Il a remporté à deux reprises le prix en communication publique de l’Association canadienne d’archéologie et est le premier président de son comité des changements climatiques, qui a élaboré la Déclaration de 2022 de l’ACA sur le changement climatique et l’archéologie. Il est membre de la Société géographique royale du Canada et est professeur auxiliaire au Département d’anthropologie de l’Université du Nouveau-Brunswick. Il détient une maitrise et un doctorat de l’Université de Toronto.
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Archéologie sans frontières : archéologie de l’ère de contacts dans le Maine
August 3, 2022 | Blogue
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Le récit captivant d’un projet de rapatriement – Partie 2 : La livraison du récit
August 30, 2017 | Blogue
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Coup d’œil sur la recherche : décoder le sens des représentations d’ours polaires issues de la culture dorsétienne
March 9, 2016 | Blogue
Pierre Desrosiers
Conservateur, Archéologie du Centre
Musée canadien de l’histoire
Pierre Desrosiers s’est joint au Musée en 2019. Il a une longue expérience au service des communautés autochtones du Nord-du-Québec. Il est conservateur, Archéologie du Centre, et responsable des collections du Québec et de l’Ontario. Il s’intéresse aux modes de transmission intergénérationnels et interculturels des technologies, en particulier à l’ingéniosité des connaissances et des savoir-faire reconnaissables dans la culture matérielle.
Il privilégie l’archéologie communautaire comme un moyen de compréhension du passé, de valorisation des savoirs traditionnels et d’éducation informelle. Ses recherches empruntent un chemin favorisant l’inclusion des communautés locales à toutes les étapes d’une recherche pluridisciplinaire incluant les sciences de la terre, l’analyse des technologies et l’histoire des recherches.
Pierre Desrosiers est titulaire d’un baccalauréat en anthropologie de l’Université de Montréal, d’une maitrise en ethnologie de l’Université Paris Nanterre et d’un doctorat de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Il a dirigé trois livres, dont The Emergence of Pressure Blade Making (2012) et Ramah Chert: A Lithic Odyssey (2017), qui a été réalisé dans le cadre de la reconnaissance de kitjigattalik – les Carrières-de-chert-de-Ramah comme lieu historique national du Canada.
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Une synthèse attendue depuis longtemps: The Far Northeast:
November 29, 2023 | Blogue
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Un livre au service d’une cause : le rôle des Canadiennes durant les conflits mondiaux.
November 10, 2022 | Blogue
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Réflexions sur 1968 : une année électrisante au Canada
April 26, 2022 | Blogue
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Un port d’entrée : Récits d’immigration du Quai 21
October 6, 2020 | Blogue
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Quand les Cris et les Inuit ont transformé le Canada moderne
November 27, 2019 | Blogue
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Daniel Weetaluktuk : un pionnier de l’archéologie communautaire
November 7, 2019 | Blogue
Karen Ryan
Conservatrice, Archéologie du Nord
Musée canadien de l’histoire
Karen Ryan est responsable des collections d’archéologie et d’histoire du Musée relatives aux régions nordiques du Canada. Elle a mené des travaux archéologiques sur le terrain dans une grande partie de l’Inuit Nunangat, ainsi qu’à Terre-Neuve-et-Labrador, sur des sites autrefois occupés par des groupes paléo-inuit et inuit. Elle travaille actuellement au Nunavik où, en collaboration avec des organismes communautaires locaux, elle explore la vie sociale, idéologique et économique des Paléo-Inuit Dorset, appelés les Tuniit dans la tradition orale inuit.
Karen Ryan a été la conservatrice de l’exposition primée Périr dans les glaces – Le mystère de l’expédition Franklin, qui a été présentée au Royaume-Uni, au Canada et aux États-Unis de 2017 à 2019. Elle est également la conservatrice responsable de l’exposition Ceux que nous avons rencontrés – Le savoir traditionnel inuit et l’expédition Franklin, qui parcourt actuellement le Canada.
Membre de la Société géographique royale du Canada, Karen Ryan est titulaire d’un doctorat de l’Université de Toronto.
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Qajartalik 2022 – Travail de terrain archéologique communautaire et collaboratif au Nunavik
September 6, 2022 | Blogue
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Le savoir inuit et l’exposition à propos de l’expédition Franklin
October 11, 2017 | Blogue
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Un visage de l’expédition Franklin – La collection du lieutenant Fairholme
June 15, 2017 | Blogue
Gabriel Yanicki
Conservateur, Archéologie de l’Ouest
Musée canadien de l’histoire
Gabriel Yanicki est entré au service du Musée en 2018. Il est responsable de la recherche et du développement des collections archéologiques témoignant de l’histoire culturelle des Premiers Peuples des Plaines, du plateau intérieur, de la côte du Nord-Ouest et de l’Ouest subarctique.
Sa recherche explore comment les matériaux archéologiques et les styles sont le reflet des liens de parenté, de la distance sociale et de l’identité, ainsi que la façon dont les indicateurs liés aux mouvements des idées, des personnes et des groupes peuvent révéler la présence de contacts interculturels et de changements sociodémographiques.
Gabriel Yanicki est titulaire d’une maitrise et d’un doctorat en anthropologie de l’Université de l’Alberta. Sa recherche porte notamment sur l’archéologie des jeux traditionnels, sur la migration dénée et sur l’émergence d’identités sociales protoapaches, ainsi que sur le peuplement initial de la région du corridor libre de glace. Il est l’auteur de Old Man’s Playing Ground: Gaming and Trade on the Plains/Plateau Frontier (2014), une publication de la collection Mercure du Musée canadien de l’histoire et des Presses de l’Université d’Ottawa.
Janet Young
Conservatrice, Anthropologie biologique
Musée canadien de l’histoire
Janet Young est spécialisée dans l’étude des restes humains et travaille au Musée depuis 1994.
Les recherches de Janet Young portent sur les changements biomécaniques et pathologiques observés dans les squelettes humains, changements liés au mode de vie et à l’état de santé des populations d’hier et d’aujourd’hui. Ses publications et ses communications touchent à un large éventail de sujets, notamment le rapatriement, la criminalistique et la bioarchéologie historique. Ses travaux actuels portent sur un cimetière historique et sa communauté dans la région d’Ottawa.
Janet Young est titulaire d’un baccalauréat spécialisé en archéologie et en histoire ancienne de l’Université d’Ottawa, d’une maitrise en ostéologie humaine, en paléopathologie et en archéologie funéraire de l’Université de Bradford, et d’un doctorat en santé des populations de l’Université d’Ottawa.
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Détective des os – L’« homme de fer » du cimetière de Barrack Hill : une vie différente
October 6, 2023 | Blogue
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Détective des os – Une caisse pleine de secrets
October 6, 2023 | Blogue
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Détective des os – La Demoiselle : « travaillée du chapeau »?
October 6, 2023 | Blogue
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Détective des os – Un mort profané : une tombe pour plusieurs
October 6, 2023 | Blogue
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Détective des os : les mystères des ossements retrouvés sous le centre-ville d’Ottawa – Introduction à la série
October 6, 2023 | Blogue
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Ce que l’analyse d’ADN peut nous révéler à propos des colons de Bytown
August 26, 2022 | Blogue
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Le récit captivant d’un projet de rapatriement – Partie 2 : La livraison du récit
August 30, 2017 | Blogue
Peuples et communautés autochtones
Œuvrer en faveur d’une gestion commune et d’une recherche collaborative avec les peuples et communautés autochtones.
Sarah Barnes
Conservatrice, Sports et loisirs
Musée canadien de l’histoire
Sarah Barnes a rejoint le Musée en 2023 en tant que conservatrice des sports et des loisirs. Elle a été professeure adjointe d’études expérientielles en communauté et sports à l’Université du Cap-Breton. Elle est titulaire d’une maitrise et d’un doctorat de l’école de kinésiologie et d’études de la santé de l’Université Queen’s.
En outre, elle a obtenu des bourses postdoctorales dans le cadre du programme consacré aux sports, à la société et aux technologies de l’École d’histoire et de sociologie du Georgia Institute of Technology et de l’École de kinésiologie et de sciences de la santé de l’Université York.
Sarah Barnes possède une vaste expérience de la recherche, de l’enseignement et des publications, ainsi qu’une expertise dans l’histoire du bienêtre des athlètes et des questions sociales dans le sport. Ancienne joueuse et entraineuse de basketball universitaire, elle a travaillé pendant cinq étés en tant que responsable d’équipe dans le cadre du programme national de basketball féminin du Canada.
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Flambeaux olympiques : susciter des conversations sur le sport et la société
August 7, 2024 | Blogue
Salina Kemp
Conservatrice, Histoire autochtone et cultures contemporaines de l’Est
Musée canadien de l’histoire
Salina Kemp est entrée au service du Musée en 2022, après plusieurs années passées au sein d’organismes autochtones en tant que chercheuse et bénévole. Elle a également été conservatrice invitée et consultante pour le Musée maritime du Canada atlantique, travaillant avec des collections matérielles et immatérielles tout en démontrant à quel point les Mi’kmaq continuent d’être uniques.
Elle est responsable de la conservation des collections d’ethnologie des Terres boisées de l’Est, du nord-est de l’Atlantique et du subarctique de l’Est. Ses recherches portent sur la sécurité alimentaire des Autochtones et la restauration de la souveraineté, y compris l’intégration des connaissances traditionnelles, le rapatriement des objets d’importance culturelle et l’importance du consentement éclairé permanent dans la recherche autochtone.
Salina Kemp est titulaire d’un baccalauréat en sciences politiques, philosophie et études du Canada atlantique, ainsi que d’une maitrise en études du Canada atlantique de l’Université Saint Mary’s. Elle a notamment étudié la résistance des Mi’kmaq aux politiques et aux lois entrainant des répercussions négatives sur les droits des Autochtones dans le Canada atlantique.
Kaitlin McCormick
Conservatrice, Histoire autochtone et cultures contemporaines de l’Ouest
Musée canadien de l’histoire
Kaitlin McCormick a commencé à travailler au Musée en 2007, en soutenant la recherche, la documentation et le rapatriement des collections autochtones de la Colombie-Britannique. Cette expérience a inspiré ses recherches universitaires et postdoctorales, qui se sont concentrées sur les façons dont les artistes autochtones de la côte du Nord-Ouest du Canada ont documenté leurs expériences dans les années 1800 et 1900, ainsi que sur l’histoire de la constitution des collections ethnographiques dans cette région.
En 2019, elle s’est jointe à la Division de la recherche en tant que conservatrice et est devenue responsable, notamment, de la gestion des collections du subarctique de l’Ouest, de la côte Nord-Ouest et du Plateau. À ce titre, elle continue à soutenir les priorités du Musée en matière de rapatriement et élabore actuellement un important projet de recherche et d’exposition impliquant une révision critique d’une exposition de 1927 intitulée « Exhibition of Canadian West Coast Art: Native and Modern », qui sera entrepris en collaboration avec des collègues et des spécialistes de la côte Nord-Ouest.
Kaitlin McCormick est titulaire d’une maitrise ès arts en histoire de l’Université Carleton et d’un doctorat en études canadiennes de l’université d’Édimbourg. Elle a aussi terminé des formations postdoctorales à l’Université Brown et à l’Université Yale.
Elle est soucieuse d’améliorer l’accès aux collections et accueille favorablement les demandes d’accès émanant de membres de la communauté, d’artistes et de spécialistes de l’ensemble de l’Ouest canadien.
Chloé Ouellet-Riendeau
Conservatrice adjointe, Histoire du sport
Musée canadien de l’histoire
Entrée au Musée en 2023, Chloé Ouellet-Riendeau est conservatrice adjointe, Histoire du sport. Dans ce rôle, elle assure la documentation et la mise en valeur de l’histoire des sports canadiens. Son intérêt dans ce domaine se situe principalement sur les manières dont cette histoire se conjugue aux mouvances sociales et politiques de l’époque.
Elle a publié des articles pour grand public sur l’histoire régionale des Cantons-de-l’Est concernant notamment l’histoire judiciaire, l’histoire commerciale et l’histoire du sport. De 2016 à 2018, elle a suivi les ateliers de réorganisation des réserves de I’Institut canadien de conservation, puis est ensuite devenue formatrice pour RE-ORG Canada.
Chloé Ouellet-Riendeau est titulaire d’un baccalauréat et d’une maitrise en histoire de l’Université de Sherbrooke, puis d’un certificat en archivistique de l’Université Laval. Elle s’intéresse surtout à l’agentivité et les rôles des gens qui œuvrent dans les processus d’urbanisation et d’industrialisation du Québec. Ses recherches de maitrise se sont consacrées à l’analyse du rôle de la famille Simard dans le développement de la ville de Sorel au début des années 1900.
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Accessibilité et inclusivité : l’évolution des ressources pour les personnes vivant avec la cécité
December 13, 2023 | Blogue
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Entretien avec Andrew Burtch (Ph. D.), historien, Musée canadien de la guerre
August 2, 2023 | Blogue
Katie Pollock
Conservatrice, Histoire autochtone et cultures contemporaines du Centre
Musée canadien de l’histoire
Katie Pollock est entrée au service du Musée en 2017. Née et élevée dans le territoire visé par le Traité no2, zone rurale du sud-ouest du Manitoba, elle est chargée du patrimoine matériel et immatériel des provinces des Prairies et des Territoires du Nord-Ouest d’aujourd’hui. Outre le travail d’exposition mené par la communauté, elle collabore avec les Ainées et Ainées et les gardiens et gardiennes du savoir, centrant les modes de savoir autochtones sur ses pratiques de conservatrice.
Ancré dans ses relations et ses recherches communautaires, son travail sur le terrain se concentre sur une industrie artisanale distincte des femmes autochtones qui a émergé dans les Grandes Plaines du Nord au cours des années 1800 et 1900.
Katie Pollock est titulaire d’une maitrise et d’un doctorat en histoire de l’Université de l’Alberta. Elle a également contribué à l’ouvrage Object Lives and Global Histories in Northern North America, qui a remporté le prix du livre Horowitz du Bard Graduate Center en 2021. Elle enseigne par ailleurs les études autochtones et les pratiques exemplaires à la faculté d’études autochtones de l’Université de l’Alberta et à l’Institut de recherche et d’études autochtones de l’Université d’Ottawa.
Histoire et expressions culturelles
Explorer les expressions culturelles et faire connaitre l’histoire du Canada à un public contemporain.
Olivier Côté
Conservateur, Médias et communications
Musée canadien de l’histoire
Olivier Côté est conservateur, Médias et communications, au Musée depuis 2015. Il a notamment fait partie de l’équipe de la salle de l’Histoire canadienne. Il a aussi travaillé à l’exposition De Pépinot à La Pat’ Patrouille – Notre enfance télévisuelle, à l’affiche en 2022 et 2023.
En 2014, il a publié Construire la nation au petit écran (Septentrion). À titre d’historien des médias, il s’intéresse à la télévision canadienne comme vecteur de modernité et d’identification à la nation, et plus particulièrement aux émissions pour enfants et à la façon dont les minorités marginalisées y sont intégrées.
Olivier Côté est titulaire d’un baccalauréat en histoire de l’Université Laval, d’une maitrise en histoire de l’Université York et d’un doctorat en histoire de l’Université Laval. Il est aussi un membre fondateur de la revue en ligne Histoireengagee.ca.
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Nous voulions tout inclure! Dans les coulisses de l’exposition « De Pépinot à La Pat’ PatrouilleMD – Notre enfance télévisuelle »
March 14, 2023 | Blogue
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L’ancêtre de la communication par texto : le télégraphe
November 4, 2015 | Blogue
Timothy P. Foran
Conservateur, Amérique du Nord britannique
Musée canadien de l’histoire
Timothy P. Foran est conservateur, Amérique du Nord britannique, au Musée. Il effectue des recherches, des acquisitions et des expositions sur l’histoire du Canada de 1763 à 1914, en accordant une attention particulière aux rencontres, aux échanges et aux interactions entre les peuples autochtones et les nouvelles communautés qui se sont installées. Il s’intéresse également à l’évolution de la place du Canada au sein de l’Empire britannique.
Timothy P. Foran a été le conservateur d’une grande partie de la salle de l’Histoire canadienne, inaugurée en 2017. Ses projets actuels portent sur les peuples autochtones dans les frontières coloniales britanniques, l’industrie du bois dans le centre du Canada et les expériences et perceptions canadiennes de la guerre civile américaine (1861-1865).
Il est titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise de l’Université de Calgary, ainsi que d’un doctorat de l’Université d’Ottawa.
Xavier Gélinas
Conservateur, Histoire politique
Musée canadien de l’histoire
Xavier Gélinas est conservateur en histoire politique au Musée depuis 2002. Il a inauguré la collection liée à l’histoire politique canadienne et continue de l’enrichir par des objets et des documents.
Il a été, de 2003 à 2012, le conservateur responsable de l’exposition Tête-à-tête – La salle des personnalités canadiennes, inaugurée en 2007, puis celui de l’exposition Une reine et son pays, présentée en 2012 et 2013. Il a fait partie de l’équipe responsable de la salle de l’Histoire canadienne, inaugurée en 2017. Enfin, il a participé comme conservateur à l’exposition Libertés sacrifiées – La Loi sur les mesures de guerre, présentée en 2021 et 2022.
Ses recherches et publications portent sur l’histoire politique, intellectuelle et constitutionnelle du Canada et du Québec au 20e siècle. Les Presses de l’Université Laval ont publié, en 2007, La droite intellectuelle québécoise et la Révolution tranquille, version remaniée de sa thèse de doctorat. Avec Lucia Ferretti, il a dirigé l’ouvrage collectif Duplessis, son milieu, son époque en 2010. Avec Éric Bédard, il a publié deux volumes des Chroniques politiques de René Lévesque (en 2014 et en 2017). Il s’intéresse actuellement à l’histoire des relations canado-américaines.
Après avoir complété un baccalauréat et une maîtrise en histoire à l’Université de Montréal, il a obtenu son doctorat de l’Université York.
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July 5, 2024 | Blogue
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January 18, 2024 | Blogue
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November 30, 2021 | Blogue
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October 5, 2017 | Blogue
Judith Klassen
Conservatrice, Musique et arts de la scène
Musée canadien de l’histoire
Judith Klassen est ethnomusicologue et conservatrice, Musique et arts de la scène, au Musée. Outre la recherche et le développement de collections dans les domaines du son, des arts de la marionnette et d’autres aspects des expressions culturelles, elle participe actuellement à un projet portant sur les histoires complexes et parfois mythifiées de la musique populaire au Canada.
Judith Klassen participe également activement au Cultures of Sound Network, un réseau collaboratif qui cherche à accroitre l’accès aux collections d’archives sonores et qui explore les thèmes liés au son et les possibilités d’apprentissage qui relient les institutions et les communautés. Elle a été publiée dans de nombreux ouvrages et revues populaires et universitaires et, avec Anna Hoefnagels et Sherry Johnson, elle est corédactrice de Contemporary Musical Expressions in Canada (2019).
Judith Klassen a été membre du conseil d’administration de la Fondation Hnatyshyn, présidente de la Société canadienne pour les traditions musicales, ainsi qu’altiste et professeure d’instruments à cordes au Canada, au Mexique et au Paraguay.
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En coulisses… avec Mitsou Gélinas!
September 23, 2021 | Blogue
Jean-François Lozier
Conservateur, Amérique française
Musée canadien de l’histoire
Jean-François Lozier est conservateur, Amérique française, au Musée depuis 2011. Ses recherches portent sur les relations franco–autochtones des années 1600 à 1800, sur la culture matérielle du Canada ancien sous toutes ses formes, ainsi que sur la mémoire et la commémoration de cette époque éloignée.
Son livre, Flesh Reborn: The Saint Lawrence Valley Mission Settlements through the Seventeenth Century (2018), a remporté le Prix Mary Alice et Philip Boucher de la Société d’histoire coloniale française. Au Musée canadien de l’histoire, il a été le conservateur responsable de deux expositions spéciales : 1867 – Rébellion et Confédération et Napoléon et Paris.
Il est titulaire d’un doctorat en histoire de l’Université de Toronto et a enseigné à l’Université d’Ottawa.
Joanne Stober
Conservatrice, Culture visuelle et désign industriel
Musée canadien de l’histoire
Joanne Stober est conservatrice, Culture visuelle et désign industriel, au Musée. Elle met à profit son expertise en recherche et en collection dans les domaines de la photographie et de l’histoire du cinéma. Elle a collaboré à des initiatives financées par des fonds externes, notamment à des projets sur le désign industriel canadien et en études cinématographiques.
Ses intérêts de recherche actuels portent sur l’utilisation de photographies et de matériel audiovisuel dans les espaces d’exposition, sur les représentations culturelles, sur le rôle des médias et des études des médias dans un espace muséal, ainsi que sur le développement des collections.
Joanne Stober a été nommée présidente de la Commission canadienne d’examen des exportations de biens culturels en 2023. Avant de se joindre le Musée canadien de l’histoire, elle était historienne, Guerre et culture visuelle, au Musée canadien de la guerre.
Elle est titulaire d’un doctorat en communications et d’une maîtrise en études des médias de l’Université Concordia, ainsi que d’un baccalauréat en études canadiennes de l’Université de Lethbridge, en Alberta. Stober est professeure auxiliaire à l’École d’études de l’art et de la culture de l’Université Carleton et a enseigné au Département d’arts visuels de l’Université d’Ottawa.
James Trepanier
Conservateur, Histoire de l’enfance et des mouvements sociaux
Musée canadien de l’histoire
James Trepanier est entré au service du Musée en 2013 et a été membre de l’équipe responsable de la salle de l’Histoire canadienne, qui a ouvert ses portes en 2017. Il a dirigé la création de contenus liés à la diversité et aux droits de la personne, à l’histoire sociale et politique du 20e siècle, à l’histoire et à l’héritage des pensionnats pour Autochtones, ainsi qu’à la croissance et à la réforme sociale du début du 20e siècle.
James Trepanier est spécialiste de l’histoire de l’enfance et de la jeunesse, et met cette expertise au service de ses nombreux projets muséologiques. Il a beaucoup travaillé sur l’histoire du mouvement scout au Canada, en particulier sur les relations entre francophones et anglophones dans le mouvement et sur le scoutisme dans les pensionnats pour Autochtones à l’échelle du pays. Il a été publié dans la Revue d’études canadiennes, la Revue d’histoire de l’éducation et Québec Studies, et a contribué à de nombreux ouvrages sur les études de l’enfance, l’histoire publique et la commémoration au Canada.
Originaire de la Colombie-Britannique, James Trepanier est titulaire d’un baccalauréat et d’une maitrise en histoire de l’Université d’Ottawa, ainsi que d’un doctorat en histoire de l’Université York pour lequel il avait reçu une bourse d’études supérieures du Canada Vanier.
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