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Des files d'attente pour manger, pour avoir de l'eau, pour utiliser les installations sanitaires, telle est la réalité des camps de réfugiés en Asie. Les réfugiés sont souvent confinés dans les camps et, l'achat de nourriture et de provisions hors des limites de ceux-ci leur étant impossible, un marché noir florissant se développe avec l'aide de la population locale.
Des familles entières s'entassent dans des espaces minuscules, d'une superficie souvent inférieure à un ou deux mètres carrés. Nombre de camps ne sont en fait que de gigantesques prisons. Les conditions de vie sont plus raisonnables dans les camps qui sont supervisés par le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR).
Les camps de réfugiés deviennent vite surpeuplés et les nouveaux arrivants se voient refuser l'entrée dans les camps et dans le pays. On leur donne des réserves de nourriture, d'eau et de combustible, puis on les remorque jusqu'en haute mer. Désespérés, certains réfugiés coulent leur bateau la nuit pour forcer les autorités locales à les accepter. D'autres doivent passer plusieurs mois à bord des bateaux avant qu'on leur donne la permission de débarquer.
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