Niish Manidoowag (Êtres bispirituel)
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Comment les espaces où vous interagissez (école, groupes communautaires, équipes sportives, etc.) encouragent-ils un sentiment d’appartenance et d’inclusion? Pourquoi est-il important que ces espaces soient inclusifs? Quels sont les obstacles à l’inclusion?
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Lisez la section d’explications approfondies de cette vidéo et rédigez une définition dans vos propres termes de la bispiritualité.
Précisions
- Film
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Il s’agit d’un court métrage documentaire réalisé par la cinéaste anishinaabée Debbie Mishibinijima (elle). On assiste à une conversation entre cinq jeunes du territoire non cédé de Wiikwemkoong.
- Le jeune bispirituel Grey (il/lui) et David (iel) discutent des défis rencontrés dans le cadre d’un modèle de genre binaire.
- Le terme « bispiritualité » est une description contemporaine de la diversité autochtone en matière de genre, de sexualité et de spiritualité.
- Ce n’est pas l’ensemble des Autochtones dont le genre et l’orientation sexuelle diffèrent d’un modèle binaire qui s’identifient à la bispiritualité.
- Lorsqu’il parle de ses expériences au sein de sa communauté, Grey évoque l’absence de toilettes non genrées dans son école. David raconte qu’on lui a demandé de porter une jupe pour les cérémonies de la suerie.
- Raconter ces histoires est un moyen d’obtenir le soutien et la reconnaissance de la communauté, tout en continuant à remettre en question les rôles dévolus aux hommes et aux femmes.
- Nous remercions tout particulièrement Debbie Mishibinijima pour son rôle dans la traduction de ce film à partir de l’ojibwé.
Avis : Cet enregistrement vidéo comporte des discussions sur la santé mentale, le suicide et les pensées suicidaires. Si vous ou vos proches avez besoin d’aide, contactez Jeunesse, J’écoute.
Il s’agit d’un court métrage documentaire réalisé par la cinéaste anishinaabée Debbie Mishibinijima (elle). On assiste à une conversation entre cinq jeunes du territoire non cédé de Wiikwemkoong. Le jeune bispirituel Grey (il/lui) et David (iel) discutent des difficultés rencontrées à l’école et au sein de la communauté lorsqu’une identité binaire leur est imposée.
Alors qu’il parle de ses expériences au sein de sa communauté, Grey évoque l’absence de toilettes non genrées dans son école et le fait qu’il doit attendre qu’une toilette réservée au personnel soit disponible. David raconte qu’on lui a demandé de porter une jupe pour les cérémonies de la suerie et qu’il n’y a pas eu de compromis sur la question des jupes dans les cérémonies.
Le rôle des personnes bispirituelles est aujourd’hui réaffirmé, car il est reconnu que la discrimination à l’encontre des personnes sexuellement différentes contredit les valeurs autochtones fondamentales de parenté et de liens entre les personnes.
Raconter ces histoires est un moyen d’obtenir le soutien et la reconnaissance de la communauté, tout en continuant à remettre en question les rôles dévolus aux hommes et aux femmes.
Nous remercions tout particulièrement Debbie Mishibinijima pour son rôle dans la traduction de ce film à partir de l’ojibwé.
Avis : Cet enregistrement vidéo comporte des discussions sur la santé mentale, le suicide et les pensées suicidaires. Si vous ou vos proches avez besoin d’aide, contactez Jeunesse, J’écoute.
Il s’agit d’un court métrage documentaire réalisé par la cinéaste anishinaabée Debbie Mishibinijima (elle). On assiste à une conversation entre cinq jeunes du territoire non cédé de Wiikwemkoong. En particulier, le jeune bispirituel Grey (il/lui) et David (iel) discutent des difficultés rencontrées à l’école et au sein de leur communauté lorsqu’une identité binaire leur est imposée.
Le terme « bispiritualité » est une description contemporaine de la diversité autochtone en matière de genre, de sexualité et de spiritualité. Inventé en 1990 par les chefs autochtones LGBTQ lors de la troisième Conférence annuelle intertribale des Premières Nations, des gais et des lesbiennes des États-Unis et du Canada à Winnipeg, le terme s’inspire de l’histoire autochtone, de l’expression du genre et de la sexualité avant le contact avec l’Europe.
Le terme « bispiritualité » est utilisé par des Autochtones pour exprimer leur identité par rapport à la communauté et à la spiritualité. Il est important de noter que ce n’est pas l’ensemble des Autochtones dont le genre et l’orientation sexuelle diffèrent d’un modèle binaire qui s’identifient à la bispiritualité. Les termes utilisés pour désigner ces membres de la communauté peuvent varier d’une nation à l’autre.
Lorsqu’il parle de ses expériences au sein de sa communauté, Grey, par exemple, évoque l’absence de toilettes non genrées dans son école et le fait qu’il doit attendre qu’une toilette réservée au personnel soit disponible. David raconte qu’on lui a demandé de porter une jupe pour les cérémonies de la suerie et qu’il n’y a pas eu de compromis sur la question des jupes lors des cérémonies.
Le rôle des personnes bispirituelles est aujourd’hui réaffirmé, car il est reconnu que la discrimination à l’encontre des personnes sexuellement différentes contredit les valeurs autochtones fondamentales de parenté et de liens entre les personnes. Comme le soulignent Grey et David dans le film, la reconnaissance et l’acceptation des personnes bispirituelles au sein des communautés autochtones posent encore des problèmes aujourd’hui. Raconter ces histoires est un moyen d’obtenir le soutien et la reconnaissance de la communauté, tout en continuant à remettre en question les rôles dévolus aux hommes et aux femmes.
Nous remercions tout particulièrement Debbie Mishibinijima pour son rôle dans la traduction de ce film à partir de l’ojibwé.
Avis : Cet enregistrement vidéo comporte des discussions sur la santé mentale, le suicide et les pensées suicidaires. Si vous ou vos proches avez besoin d’aide, contactez Jeunesse, J’écoute.
- Il s’agit d’un court métrage documentaire réalisé par la cinéaste anishinaabée Debbie Mishibinijima (elle). On assiste à une conversation entre cinq jeunes du territoire non cédé de Wiikwemkoong.
- Le jeune bispirituel Grey (il/lui) et David (iel) discutent des défis rencontrés dans le cadre d’un modèle de genre binaire.
- Le terme « bispiritualité » est une description contemporaine de la diversité autochtone en matière de genre, de sexualité et de spiritualité.
- Ce n’est pas l’ensemble des Autochtones dont le genre et l’orientation sexuelle diffèrent d’un modèle binaire qui s’identifient à la bispiritualité.
- Lorsqu’il parle de ses expériences au sein de sa communauté, Grey évoque l’absence de toilettes non genrées dans son école. David raconte qu’on lui a demandé de porter une jupe pour les cérémonies de la suerie.
- Raconter ces histoires est un moyen d’obtenir le soutien et la reconnaissance de la communauté, tout en continuant à remettre en question les rôles dévolus aux hommes et aux femmes.
- Nous remercions tout particulièrement Debbie Mishibinijima pour son rôle dans la traduction de ce film à partir de l’ojibwé.
Avis : Cet enregistrement vidéo comporte des discussions sur la santé mentale, le suicide et les pensées suicidaires. Si vous ou vos proches avez besoin d’aide, contactez Jeunesse, J’écoute.
Il s’agit d’un court métrage documentaire réalisé par la cinéaste anishinaabée Debbie Mishibinijima (elle). On assiste à une conversation entre cinq jeunes du territoire non cédé de Wiikwemkoong. Le jeune bispirituel Grey (il/lui) et David (iel) discutent des difficultés rencontrées à l’école et au sein de la communauté lorsqu’une identité binaire leur est imposée.
Alors qu’il parle de ses expériences au sein de sa communauté, Grey évoque l’absence de toilettes non genrées dans son école et le fait qu’il doit attendre qu’une toilette réservée au personnel soit disponible. David raconte qu’on lui a demandé de porter une jupe pour les cérémonies de la suerie et qu’il n’y a pas eu de compromis sur la question des jupes dans les cérémonies.
Le rôle des personnes bispirituelles est aujourd’hui réaffirmé, car il est reconnu que la discrimination à l’encontre des personnes sexuellement différentes contredit les valeurs autochtones fondamentales de parenté et de liens entre les personnes.
Raconter ces histoires est un moyen d’obtenir le soutien et la reconnaissance de la communauté, tout en continuant à remettre en question les rôles dévolus aux hommes et aux femmes.
Nous remercions tout particulièrement Debbie Mishibinijima pour son rôle dans la traduction de ce film à partir de l’ojibwé.
Avis : Cet enregistrement vidéo comporte des discussions sur la santé mentale, le suicide et les pensées suicidaires. Si vous ou vos proches avez besoin d’aide, contactez Jeunesse, J’écoute.
Il s’agit d’un court métrage documentaire réalisé par la cinéaste anishinaabée Debbie Mishibinijima (elle). On assiste à une conversation entre cinq jeunes du territoire non cédé de Wiikwemkoong. En particulier, le jeune bispirituel Grey (il/lui) et David (iel) discutent des difficultés rencontrées à l’école et au sein de leur communauté lorsqu’une identité binaire leur est imposée.
Le terme « bispiritualité » est une description contemporaine de la diversité autochtone en matière de genre, de sexualité et de spiritualité. Inventé en 1990 par les chefs autochtones LGBTQ lors de la troisième Conférence annuelle intertribale des Premières Nations, des gais et des lesbiennes des États-Unis et du Canada à Winnipeg, le terme s’inspire de l’histoire autochtone, de l’expression du genre et de la sexualité avant le contact avec l’Europe.
Le terme « bispiritualité » est utilisé par des Autochtones pour exprimer leur identité par rapport à la communauté et à la spiritualité. Il est important de noter que ce n’est pas l’ensemble des Autochtones dont le genre et l’orientation sexuelle diffèrent d’un modèle binaire qui s’identifient à la bispiritualité. Les termes utilisés pour désigner ces membres de la communauté peuvent varier d’une nation à l’autre.
Lorsqu’il parle de ses expériences au sein de sa communauté, Grey, par exemple, évoque l’absence de toilettes non genrées dans son école et le fait qu’il doit attendre qu’une toilette réservée au personnel soit disponible. David raconte qu’on lui a demandé de porter une jupe pour les cérémonies de la suerie et qu’il n’y a pas eu de compromis sur la question des jupes lors des cérémonies.
Le rôle des personnes bispirituelles est aujourd’hui réaffirmé, car il est reconnu que la discrimination à l’encontre des personnes sexuellement différentes contredit les valeurs autochtones fondamentales de parenté et de liens entre les personnes. Comme le soulignent Grey et David dans le film, la reconnaissance et l’acceptation des personnes bispirituelles au sein des communautés autochtones posent encore des problèmes aujourd’hui. Raconter ces histoires est un moyen d’obtenir le soutien et la reconnaissance de la communauté, tout en continuant à remettre en question les rôles dévolus aux hommes et aux femmes.
Nous remercions tout particulièrement Debbie Mishibinijima pour son rôle dans la traduction de ce film à partir de l’ojibwé.
Avis : Cet enregistrement vidéo comporte des discussions sur la santé mentale, le suicide et les pensées suicidaires. Si vous ou vos proches avez besoin d’aide, contactez Jeunesse, J’écoute.
Sommaire
- Il s’agit d’un court métrage documentaire réalisé par la cinéaste anishinaabée Debbie Mishibinijima (elle). On assiste à une conversation entre cinq jeunes du territoire non cédé de Wiikwemkoong.
- Le jeune bispirituel Grey (il/lui) et David (iel) discutent des défis rencontrés dans le cadre d’un modèle de genre binaire.
- Le terme « bispiritualité » est une description contemporaine de la diversité autochtone en matière de genre, de sexualité et de spiritualité.
- Ce n’est pas l’ensemble des Autochtones dont le genre et l’orientation sexuelle diffèrent d’un modèle binaire qui s’identifient à la bispiritualité.
- Lorsqu’il parle de ses expériences au sein de sa communauté, Grey évoque l’absence de toilettes non genrées dans son école. David raconte qu’on lui a demandé de porter une jupe pour les cérémonies de la suerie.
- Raconter ces histoires est un moyen d’obtenir le soutien et la reconnaissance de la communauté, tout en continuant à remettre en question les rôles dévolus aux hommes et aux femmes.
- Nous remercions tout particulièrement Debbie Mishibinijima pour son rôle dans la traduction de ce film à partir de l’ojibwé.
Avis : Cet enregistrement vidéo comporte des discussions sur la santé mentale, le suicide et les pensées suicidaires. Si vous ou vos proches avez besoin d’aide, contactez Jeunesse, J’écoute.
Éléments essentiels
Il s’agit d’un court métrage documentaire réalisé par la cinéaste anishinaabée Debbie Mishibinijima (elle). On assiste à une conversation entre cinq jeunes du territoire non cédé de Wiikwemkoong. Le jeune bispirituel Grey (il/lui) et David (iel) discutent des difficultés rencontrées à l’école et au sein de la communauté lorsqu’une identité binaire leur est imposée.
Alors qu’il parle de ses expériences au sein de sa communauté, Grey évoque l’absence de toilettes non genrées dans son école et le fait qu’il doit attendre qu’une toilette réservée au personnel soit disponible. David raconte qu’on lui a demandé de porter une jupe pour les cérémonies de la suerie et qu’il n’y a pas eu de compromis sur la question des jupes dans les cérémonies.
Le rôle des personnes bispirituelles est aujourd’hui réaffirmé, car il est reconnu que la discrimination à l’encontre des personnes sexuellement différentes contredit les valeurs autochtones fondamentales de parenté et de liens entre les personnes.
Raconter ces histoires est un moyen d’obtenir le soutien et la reconnaissance de la communauté, tout en continuant à remettre en question les rôles dévolus aux hommes et aux femmes.
Nous remercions tout particulièrement Debbie Mishibinijima pour son rôle dans la traduction de ce film à partir de l’ojibwé.
Avis : Cet enregistrement vidéo comporte des discussions sur la santé mentale, le suicide et les pensées suicidaires. Si vous ou vos proches avez besoin d’aide, contactez Jeunesse, J’écoute.
Description exhaustive
Il s’agit d’un court métrage documentaire réalisé par la cinéaste anishinaabée Debbie Mishibinijima (elle). On assiste à une conversation entre cinq jeunes du territoire non cédé de Wiikwemkoong. En particulier, le jeune bispirituel Grey (il/lui) et David (iel) discutent des difficultés rencontrées à l’école et au sein de leur communauté lorsqu’une identité binaire leur est imposée.
Le terme « bispiritualité » est une description contemporaine de la diversité autochtone en matière de genre, de sexualité et de spiritualité. Inventé en 1990 par les chefs autochtones LGBTQ lors de la troisième Conférence annuelle intertribale des Premières Nations, des gais et des lesbiennes des États-Unis et du Canada à Winnipeg, le terme s’inspire de l’histoire autochtone, de l’expression du genre et de la sexualité avant le contact avec l’Europe.
Le terme « bispiritualité » est utilisé par des Autochtones pour exprimer leur identité par rapport à la communauté et à la spiritualité. Il est important de noter que ce n’est pas l’ensemble des Autochtones dont le genre et l’orientation sexuelle diffèrent d’un modèle binaire qui s’identifient à la bispiritualité. Les termes utilisés pour désigner ces membres de la communauté peuvent varier d’une nation à l’autre.
Lorsqu’il parle de ses expériences au sein de sa communauté, Grey, par exemple, évoque l’absence de toilettes non genrées dans son école et le fait qu’il doit attendre qu’une toilette réservée au personnel soit disponible. David raconte qu’on lui a demandé de porter une jupe pour les cérémonies de la suerie et qu’il n’y a pas eu de compromis sur la question des jupes lors des cérémonies.
Le rôle des personnes bispirituelles est aujourd’hui réaffirmé, car il est reconnu que la discrimination à l’encontre des personnes sexuellement différentes contredit les valeurs autochtones fondamentales de parenté et de liens entre les personnes. Comme le soulignent Grey et David dans le film, la reconnaissance et l’acceptation des personnes bispirituelles au sein des communautés autochtones posent encore des problèmes aujourd’hui. Raconter ces histoires est un moyen d’obtenir le soutien et la reconnaissance de la communauté, tout en continuant à remettre en question les rôles dévolus aux hommes et aux femmes.
Nous remercions tout particulièrement Debbie Mishibinijima pour son rôle dans la traduction de ce film à partir de l’ojibwé.
Avis : Cet enregistrement vidéo comporte des discussions sur la santé mentale, le suicide et les pensées suicidaires. Si vous ou vos proches avez besoin d’aide, contactez Jeunesse, J’écoute.