Peinture: Mary Bibb
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REGARDER
Regardez le portrait de Mary et de son mari, Henry. Que remarquez-vous? Saviez-vous qu’il est pratiquement impossible de trouver une photo de Mary sans son mari? Qu’est-ce que cela vous apprend au sujet de la place des femmes, et plus particulièrement des femmes noires, au début du 19e siècle?
PENSER
- Comment le rôle d’éducatrice de Mary Bibb et la fondation de son école pour enfants des communautés noires ont-ils défié la ségrégation raciale et contribué à l’avancement des droits civils au 19esiècle?
- De quelle façon le Voice of the Fugitive, journal fondé par Mary et Henry Bibb, a-t-il été un puissant outil de communication, de défense et de partage de renseignements durant le mouvement abolitionniste, et dans quelle mesure a-t-il influencé la réinstallation de personnes noire anciennement esclaves au Canada?
FAIRE
Examinez un aspect des contributions de Mary Bibb (éducation, activisme ou journalisme).
Avec une autre personne, parlez des points suivants :
- Quel a été l’impact de son implication dans «__ » (indiquez ici l’aspect choisi). Par exemple : « quel a été l’impact de la fondation d’une école pour les enfants des communautés noires canadiennes qui n’avaient pas accès à l’éducation? »
- De quelle manière ses actions ont-elles contribué à façonner le cours de l’histoire du Canada?
- Quels sont les facteurs sociétaux qui empêchent son histoire d’être racontée à plus grande échelle?
Précisions
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Voici un portrait de Mary Elizabeth Bibb et de son mari, Henry.
- Mary Elizabeth Bibb était une enseignante née aux États-Unis, qui est considérée par plusieurs comme la première journaliste noire au Canada.
- Elle et son mari, Henry Bibb, une éminente figure du mouvement abolitionniste, ont fondé une école pour les enfants des communautés noires après leur déménagement à Windsor, en Ontario.
- En 1851, le couple a lancé Voice of the Fugitive, un journal qui a joué un rôle essentiel dans la communication avec les gens qui soutenaient le chemin de fer clandestin et le grand public.
Voici un portrait de Mary Elizabeth Bibb et de son mari, Henry.
Mary Elizabeth Bibb (née Miles) est née dans le Rhode Island vers 1820. Elle a suivi une formation d’enseignante et, en 1847, elle a épousé Henry Bibb, une éminente figure du mouvement abolitionniste qui vivait à Detroit.
Après leur déménagement à Windsor, en Ontario, ils ont fondé une école pour les enfants des communautés noires qui n’avaient pas le droit de fréquenter les écoles publiques.
Henry et Mary ont également fondé le journal Voice of the Fugitive en 1851, qui était un important moyen de communication avec les gens qui soutenaient le chemin de fer clandestin et qui fournissait des renseignements précieux pour la réinstallation des personnes noires anciennement esclave et libres des États-Unis qui venaient s’installer en Ontario. Les contributions de Mary Bibb à la lutte contre l’esclavage ainsi que ses efforts pour promouvoir l’égalité continuent d’être soulignés et reconnus.
Voici un portrait de Mary Elizabeth Bibb et de son mari, Henry.
Mary Elizabeth Bibb (née Miles) est née dans le Rhode Island vers 1820. Elle a suivi une formation d’enseignante et, en 1847, elle a épousé Henry Bibb, une éminente figure du mouvement abolitionniste qui vivait à Detroit.
En 1850, le Fugitive Slave Act a été adopté aux États-Unis, faisant en sorte qu’il devenait dangereux pour Henry, un ancien esclave, de demeurer à Detroit. Lui et Mary ont déménagé en Ontario à Windsor, appelée Sandwich à l’époque.
Le couple a fondé une école pour les enfants des communautés noires qui n’avaient pas le droit de fréquenter les écoles publiques. Mary Bibb en était l’enseignante.
Henry et Mary ont également fondé le journal Voice of the Fugitive en janvier 1851. Ce journal était un important moyen de communication avec les gens qui soutenaient le chemin de fer clandestin et le grand public, et il fournissait des renseignements précieux pour les personnes noires anciennement esclaves ou libres des États-Unis qui venaient s’installer en Ontario.
Mary Bibb est considérée par de nombreuses personnes comme la première journaliste noire du Canada. Elle a utilisé sa plateforme pour promouvoir des idées d’égalité et d’abolitionnisme. Son héritage en tant qu’éducatrice et défenseuse de la justice sociale perdure.
- Voici un portrait de Mary Elizabeth Bibb et de son mari, Henry.
- Mary Elizabeth Bibb était une enseignante née aux États-Unis, qui est considérée par plusieurs comme la première journaliste noire au Canada.
- Elle et son mari, Henry Bibb, une éminente figure du mouvement abolitionniste, ont fondé une école pour les enfants des communautés noires après leur déménagement à Windsor, en Ontario.
- En 1851, le couple a lancé Voice of the Fugitive, un journal qui a joué un rôle essentiel dans la communication avec les gens qui soutenaient le chemin de fer clandestin et le grand public.
Voici un portrait de Mary Elizabeth Bibb et de son mari, Henry.
Mary Elizabeth Bibb (née Miles) est née dans le Rhode Island vers 1820. Elle a suivi une formation d’enseignante et, en 1847, elle a épousé Henry Bibb, une éminente figure du mouvement abolitionniste qui vivait à Detroit.
Après leur déménagement à Windsor, en Ontario, ils ont fondé une école pour les enfants des communautés noires qui n’avaient pas le droit de fréquenter les écoles publiques.
Henry et Mary ont également fondé le journal Voice of the Fugitive en 1851, qui était un important moyen de communication avec les gens qui soutenaient le chemin de fer clandestin et qui fournissait des renseignements précieux pour la réinstallation des personnes noires anciennement esclave et libres des États-Unis qui venaient s’installer en Ontario. Les contributions de Mary Bibb à la lutte contre l’esclavage ainsi que ses efforts pour promouvoir l’égalité continuent d’être soulignés et reconnus.
Voici un portrait de Mary Elizabeth Bibb et de son mari, Henry.
Mary Elizabeth Bibb (née Miles) est née dans le Rhode Island vers 1820. Elle a suivi une formation d’enseignante et, en 1847, elle a épousé Henry Bibb, une éminente figure du mouvement abolitionniste qui vivait à Detroit.
En 1850, le Fugitive Slave Act a été adopté aux États-Unis, faisant en sorte qu’il devenait dangereux pour Henry, un ancien esclave, de demeurer à Detroit. Lui et Mary ont déménagé en Ontario à Windsor, appelée Sandwich à l’époque.
Le couple a fondé une école pour les enfants des communautés noires qui n’avaient pas le droit de fréquenter les écoles publiques. Mary Bibb en était l’enseignante.
Henry et Mary ont également fondé le journal Voice of the Fugitive en janvier 1851. Ce journal était un important moyen de communication avec les gens qui soutenaient le chemin de fer clandestin et le grand public, et il fournissait des renseignements précieux pour les personnes noires anciennement esclaves ou libres des États-Unis qui venaient s’installer en Ontario.
Mary Bibb est considérée par de nombreuses personnes comme la première journaliste noire du Canada. Elle a utilisé sa plateforme pour promouvoir des idées d’égalité et d’abolitionnisme. Son héritage en tant qu’éducatrice et défenseuse de la justice sociale perdure.
Sommaire
- Voici un portrait de Mary Elizabeth Bibb et de son mari, Henry.
- Mary Elizabeth Bibb était une enseignante née aux États-Unis, qui est considérée par plusieurs comme la première journaliste noire au Canada.
- Elle et son mari, Henry Bibb, une éminente figure du mouvement abolitionniste, ont fondé une école pour les enfants des communautés noires après leur déménagement à Windsor, en Ontario.
- En 1851, le couple a lancé Voice of the Fugitive, un journal qui a joué un rôle essentiel dans la communication avec les gens qui soutenaient le chemin de fer clandestin et le grand public.
Éléments essentiels
Voici un portrait de Mary Elizabeth Bibb et de son mari, Henry.
Mary Elizabeth Bibb (née Miles) est née dans le Rhode Island vers 1820. Elle a suivi une formation d’enseignante et, en 1847, elle a épousé Henry Bibb, une éminente figure du mouvement abolitionniste qui vivait à Detroit.
Après leur déménagement à Windsor, en Ontario, ils ont fondé une école pour les enfants des communautés noires qui n’avaient pas le droit de fréquenter les écoles publiques.
Henry et Mary ont également fondé le journal Voice of the Fugitive en 1851, qui était un important moyen de communication avec les gens qui soutenaient le chemin de fer clandestin et qui fournissait des renseignements précieux pour la réinstallation des personnes noires anciennement esclave et libres des États-Unis qui venaient s’installer en Ontario. Les contributions de Mary Bibb à la lutte contre l’esclavage ainsi que ses efforts pour promouvoir l’égalité continuent d’être soulignés et reconnus.
Description exhaustive
Voici un portrait de Mary Elizabeth Bibb et de son mari, Henry.
Mary Elizabeth Bibb (née Miles) est née dans le Rhode Island vers 1820. Elle a suivi une formation d’enseignante et, en 1847, elle a épousé Henry Bibb, une éminente figure du mouvement abolitionniste qui vivait à Detroit.
En 1850, le Fugitive Slave Act a été adopté aux États-Unis, faisant en sorte qu’il devenait dangereux pour Henry, un ancien esclave, de demeurer à Detroit. Lui et Mary ont déménagé en Ontario à Windsor, appelée Sandwich à l’époque.
Le couple a fondé une école pour les enfants des communautés noires qui n’avaient pas le droit de fréquenter les écoles publiques. Mary Bibb en était l’enseignante.
Henry et Mary ont également fondé le journal Voice of the Fugitive en janvier 1851. Ce journal était un important moyen de communication avec les gens qui soutenaient le chemin de fer clandestin et le grand public, et il fournissait des renseignements précieux pour les personnes noires anciennement esclaves ou libres des États-Unis qui venaient s’installer en Ontario.
Mary Bibb est considérée par de nombreuses personnes comme la première journaliste noire du Canada. Elle a utilisé sa plateforme pour promouvoir des idées d’égalité et d’abolitionnisme. Son héritage en tant qu’éducatrice et défenseuse de la justice sociale perdure.