Occupation des lieux par Black Lives Matter Toronto
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- Cette photographie montre une occupation des lieux organisée par Black Lives Matter (BLM) Toronto lors du défilé de la Fierté de Toronto, en juillet 2016.
- Les revendications de BLM portaient notamment sur le retrait de la police de la participation au défilé de la Fierté, l’augmentation du financement et une meilleure représentation des groupes minoritaires lors des évènements de la Fierté.
- La demande de retrait d’une représentation policière de la Fierté s’inscrivait dans une histoire de violences policières à l’encontre des groupes racialisés et des communautés 2ELGBTQIA+.
Cette photographie montre une occupation des lieux organisée par Black Lives Matter (BLM) Toronto lors du défilé de la Fierté de Toronto, en juillet 2016.
BLM-Toronto a organisé cette occupation pour attirer l’attention sur les préoccupations actuelles des communautés trans et queers noires, ainsi que d’autres groupes marginalisés.
L’occupation a duré une demi-heure, jusqu’à ce que les personnes représentant Pride Toronto signent un accord pour travailler à la mise en œuvre des demandes de BLM. Ces demandes consistaient à ce que la police ne participe plus au défilé, que les espaces communautaires soient restaurés, que le financement soit augmenté et que les communautés marginalisées soient mieux représentées à l’avenir.
Bien que les communautés 2ELGBTQIA+ au Canada soient depuis longtemps la cible d’opérations policières, les personnes noires et racialisées sont confrontées à d’autres formes d’abus par les forces policières. Une partie du travail de BLM s’est concentrée sur la lutte contre la discrimination, le profilage racial et le racisme systémique au sein de la police et du système de justice pénale.
Cette photographie montre une occupation des lieux organisée par Black Lives Matter (BLM) Toronto lors du défilé de la Fierté de Toronto, en juillet 2016.
L’organisation BLM-Toronto avait été invitée à pour diriger le défilé de la Fierté cette année-là. Les responsables ont organisé une occupation des lieux pendant l’évènement, afin d’attirer l’attention sur les préoccupations des communautés trans et queers noires, ainsi que d’autres groupes marginalisés. L’occupation a effectivement interrompu les festivités pendant plus d’une demi-heure.
Le comité de BLM sa notamment demandé que la police ne participe plus au défilé, que les espaces communautaires soient restaurés, que le financement soit augmenté et que les communautés marginalisées soient mieux représentées à l’avenir.
Cette photographie montre des gens de BLM manifestant pendant l’occupation des lieux, qui a duré une demi-heure, jusqu’à ce que les personnes représentant Pride Toronto signent un accord pour travailler à la mise en œuvre des demandes de BLM. La question de la participation de la police à la Fierté, qui a toujours été une source de débat pour ces évènements partout au pays, revêtait une importance particulière pour les gens venus manifester dans le cadre du mouvement BLM.
Bien que les communautés 2ELGBTQIA+ au Canada soient depuis longtemps la cible d’opérations policières, les personnes noires et racialisées subissent une pression supplémentaire du fait des excès des forces de maintien de l’ordre; une partie du travail de BLM a consisté à dénoncer la discrimination, le profilage racial et le racisme systémique dans le maintien de l’ordre et le système judiciaire.
- Cette photographie montre une occupation des lieux organisée par Black Lives Matter (BLM) Toronto lors du défilé de la Fierté de Toronto, en juillet 2016.
- Les revendications de BLM portaient notamment sur le retrait de la police de la participation au défilé de la Fierté, l’augmentation du financement et une meilleure représentation des groupes minoritaires lors des évènements de la Fierté.
- La demande de retrait d’une représentation policière de la Fierté s’inscrivait dans une histoire de violences policières à l’encontre des groupes racialisés et des communautés 2ELGBTQIA+.
Cette photographie montre une occupation des lieux organisée par Black Lives Matter (BLM) Toronto lors du défilé de la Fierté de Toronto, en juillet 2016.
BLM-Toronto a organisé cette occupation pour attirer l’attention sur les préoccupations actuelles des communautés trans et queers noires, ainsi que d’autres groupes marginalisés.
L’occupation a duré une demi-heure, jusqu’à ce que les personnes représentant Pride Toronto signent un accord pour travailler à la mise en œuvre des demandes de BLM. Ces demandes consistaient à ce que la police ne participe plus au défilé, que les espaces communautaires soient restaurés, que le financement soit augmenté et que les communautés marginalisées soient mieux représentées à l’avenir.
Bien que les communautés 2ELGBTQIA+ au Canada soient depuis longtemps la cible d’opérations policières, les personnes noires et racialisées sont confrontées à d’autres formes d’abus par les forces policières. Une partie du travail de BLM s’est concentrée sur la lutte contre la discrimination, le profilage racial et le racisme systémique au sein de la police et du système de justice pénale.
Cette photographie montre une occupation des lieux organisée par Black Lives Matter (BLM) Toronto lors du défilé de la Fierté de Toronto, en juillet 2016.
L’organisation BLM-Toronto avait été invitée à pour diriger le défilé de la Fierté cette année-là. Les responsables ont organisé une occupation des lieux pendant l’évènement, afin d’attirer l’attention sur les préoccupations des communautés trans et queers noires, ainsi que d’autres groupes marginalisés. L’occupation a effectivement interrompu les festivités pendant plus d’une demi-heure.
Le comité de BLM sa notamment demandé que la police ne participe plus au défilé, que les espaces communautaires soient restaurés, que le financement soit augmenté et que les communautés marginalisées soient mieux représentées à l’avenir.
Cette photographie montre des gens de BLM manifestant pendant l’occupation des lieux, qui a duré une demi-heure, jusqu’à ce que les personnes représentant Pride Toronto signent un accord pour travailler à la mise en œuvre des demandes de BLM. La question de la participation de la police à la Fierté, qui a toujours été une source de débat pour ces évènements partout au pays, revêtait une importance particulière pour les gens venus manifester dans le cadre du mouvement BLM.
Bien que les communautés 2ELGBTQIA+ au Canada soient depuis longtemps la cible d’opérations policières, les personnes noires et racialisées subissent une pression supplémentaire du fait des excès des forces de maintien de l’ordre; une partie du travail de BLM a consisté à dénoncer la discrimination, le profilage racial et le racisme systémique dans le maintien de l’ordre et le système judiciaire.
Sommaire
- Cette photographie montre une occupation des lieux organisée par Black Lives Matter (BLM) Toronto lors du défilé de la Fierté de Toronto, en juillet 2016.
- Les revendications de BLM portaient notamment sur le retrait de la police de la participation au défilé de la Fierté, l’augmentation du financement et une meilleure représentation des groupes minoritaires lors des évènements de la Fierté.
- La demande de retrait d’une représentation policière de la Fierté s’inscrivait dans une histoire de violences policières à l’encontre des groupes racialisés et des communautés 2ELGBTQIA+.
Éléments essentiels
Cette photographie montre une occupation des lieux organisée par Black Lives Matter (BLM) Toronto lors du défilé de la Fierté de Toronto, en juillet 2016.
BLM-Toronto a organisé cette occupation pour attirer l’attention sur les préoccupations actuelles des communautés trans et queers noires, ainsi que d’autres groupes marginalisés.
L’occupation a duré une demi-heure, jusqu’à ce que les personnes représentant Pride Toronto signent un accord pour travailler à la mise en œuvre des demandes de BLM. Ces demandes consistaient à ce que la police ne participe plus au défilé, que les espaces communautaires soient restaurés, que le financement soit augmenté et que les communautés marginalisées soient mieux représentées à l’avenir.
Bien que les communautés 2ELGBTQIA+ au Canada soient depuis longtemps la cible d’opérations policières, les personnes noires et racialisées sont confrontées à d’autres formes d’abus par les forces policières. Une partie du travail de BLM s’est concentrée sur la lutte contre la discrimination, le profilage racial et le racisme systémique au sein de la police et du système de justice pénale.
Description exhaustive
Cette photographie montre une occupation des lieux organisée par Black Lives Matter (BLM) Toronto lors du défilé de la Fierté de Toronto, en juillet 2016.
L’organisation BLM-Toronto avait été invitée à pour diriger le défilé de la Fierté cette année-là. Les responsables ont organisé une occupation des lieux pendant l’évènement, afin d’attirer l’attention sur les préoccupations des communautés trans et queers noires, ainsi que d’autres groupes marginalisés. L’occupation a effectivement interrompu les festivités pendant plus d’une demi-heure.
Le comité de BLM sa notamment demandé que la police ne participe plus au défilé, que les espaces communautaires soient restaurés, que le financement soit augmenté et que les communautés marginalisées soient mieux représentées à l’avenir.
Cette photographie montre des gens de BLM manifestant pendant l’occupation des lieux, qui a duré une demi-heure, jusqu’à ce que les personnes représentant Pride Toronto signent un accord pour travailler à la mise en œuvre des demandes de BLM. La question de la participation de la police à la Fierté, qui a toujours été une source de débat pour ces évènements partout au pays, revêtait une importance particulière pour les gens venus manifester dans le cadre du mouvement BLM.
Bien que les communautés 2ELGBTQIA+ au Canada soient depuis longtemps la cible d’opérations policières, les personnes noires et racialisées subissent une pression supplémentaire du fait des excès des forces de maintien de l’ordre; une partie du travail de BLM a consisté à dénoncer la discrimination, le profilage racial et le racisme systémique dans le maintien de l’ordre et le système judiciaire.