Extrait d’un discours prononcé par le premier ministre du Québec, René Lévesque
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Regardez l’extrait vidéo du premier ministre René Lévesque. Quels sont les principaux points de son discours? Selon René Lévesque, de quelles façons un vote pour le Oui influencerait-il grandement le Québec et le Canada?
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Cet extrait de 45 secondes d’un discours nous permet-il de connaitre toute l’histoire? Y trouve-t-on suffisamment d’information pour tirer nos propres conclusions sur la position de la population du Québec au sujet de l’indépendance? Il manque les points de vue d’autres personnes. Lesquelles?
PENSER
Lisez la transcription du discours de M. Lévesque, puis regardez l’extrait vidéo. Quelle différence y a-t-il entre regarder le discours et le lire? Quelle information voyez-vous dans la vidéo qui ne fait pas partie de la transcription?
PENSER
Le discours de René Lévesque est-il important sur le plan historique, à votre avis? Que votre réponse soit positive ou négative, expliquez pourquoi. Le référendum de 1980 est-il important sur le plan historique? Expliquez votre réponse.
Indice : Les évènements du passé et les sources primaires sont jugés pertinents sur le plan historique s’ils donnent lieu à un changement, s’ils révèlent un fait important au sujet de l’histoire ou s’ils occupent une place importante dans le récit historique.
Précisions
Transcription
Ce mandate de négocier ne saurait donc impliquer la séparation du Québec, mais bien la conclusion éventuelle d’une nouvelle entente qui nous permettrait d’atteindre en même temps deux objectifs : d’une part, récupérer le pouvoir de faire nous-mêmes toutes nos lois, de garder chez nous tous nos impôts et d’établir directement, sans quémandage, nos relations avec les autres – et ça, c’est la souveraineté – et, d’autre part, de maintenir aussi avec le reste du Canada une association économique étroite comportant l’usage de la même monnaie. Et c’est ce mandat de négociation que nous demandons à la population de nous accorder. Et il n’est pas question que nous interprétions autrement son vote positif.
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Dans cet extrait de 1980, le premier ministre René Lévesque prononce un discours sur le référendum du Québec.
- Le référendum du Québec avait pour but de demander à la population si le gouvernement du Québec devait commencer à tenir des discussions sur son indépendance par rapport au Canada.
- Le débat entourant l’indépendance du Québec avait pris de l’ampleur dans les années 1960 et 1970, mais en 1980, le peuple québécois a choisi de rester au sein du Canada.
Dans cet extrait d’avril 1980, le premier ministre René Lévesque prononce un discours sur le référendum du Québec.
Dans les années 1960 et 1970, le débat entourant l’indépendance du Québec avait pris de l’ampleur. Les personnes qui soutenaient l’option indépendantiste sentaient, entre autres, que les besoins du Québec et sa culture distincte étaient des éléments ignorés par la majorité anglophone dans le reste du pays.
En 1980, une majorité de la population québécoise a dit non à la négociation d’une nouvelle entente avec le reste du Canada. Le Québec n’a donc pas pu aller de l’avant avec son projet d’indépendance.
Dans cet extrait d’avril 1980, à la veille d’un référendum, le premier ministre René Lévesque prononce un discours devant l’Assemblée nationale, à Québec, afin d’expliquer ce qu’un vote majoritaire pour le « Oui » signifierait pour la province.
Dans les années 1960 et 1970, le débat entourant l’indépendance du Québec avait pris de l’ampleur. Les gens souhaitant que le Québec devienne un État indépendant, séparé du Canada, ont formé le camp du Oui, alors que l’opposition au projet a formé le camp du Non. Les personnes qui soutenaient l’option indépendantiste sentaient, entre autres, que les besoins du Québec et sa culture distincte étaient des éléments ignorés par la majorité anglophone dans le reste du pays.
Deux référendums d’une grande importance ont eu lieu en 1980 et en 1995. En 1980, on a demandé à la population québécoise si elle autorisait le gouvernement de la province à négocier une nouvelle entente avec le reste du Canada. Le camp du Non a remporté la victoire, récoltant près de 60 % des votes. Le Québec n’a donc pas pu aller de l’avant avec son projet d’indépendance.
- Dans cet extrait de 1980, le premier ministre René Lévesque prononce un discours sur le référendum du Québec.
- Le référendum du Québec avait pour but de demander à la population si le gouvernement du Québec devait commencer à tenir des discussions sur son indépendance par rapport au Canada.
- Le débat entourant l’indépendance du Québec avait pris de l’ampleur dans les années 1960 et 1970, mais en 1980, le peuple québécois a choisi de rester au sein du Canada.
Dans cet extrait d’avril 1980, le premier ministre René Lévesque prononce un discours sur le référendum du Québec.
Dans les années 1960 et 1970, le débat entourant l’indépendance du Québec avait pris de l’ampleur. Les personnes qui soutenaient l’option indépendantiste sentaient, entre autres, que les besoins du Québec et sa culture distincte étaient des éléments ignorés par la majorité anglophone dans le reste du pays.
En 1980, une majorité de la population québécoise a dit non à la négociation d’une nouvelle entente avec le reste du Canada. Le Québec n’a donc pas pu aller de l’avant avec son projet d’indépendance.
Dans cet extrait d’avril 1980, à la veille d’un référendum, le premier ministre René Lévesque prononce un discours devant l’Assemblée nationale, à Québec, afin d’expliquer ce qu’un vote majoritaire pour le « Oui » signifierait pour la province.
Dans les années 1960 et 1970, le débat entourant l’indépendance du Québec avait pris de l’ampleur. Les gens souhaitant que le Québec devienne un État indépendant, séparé du Canada, ont formé le camp du Oui, alors que l’opposition au projet a formé le camp du Non. Les personnes qui soutenaient l’option indépendantiste sentaient, entre autres, que les besoins du Québec et sa culture distincte étaient des éléments ignorés par la majorité anglophone dans le reste du pays.
Deux référendums d’une grande importance ont eu lieu en 1980 et en 1995. En 1980, on a demandé à la population québécoise si elle autorisait le gouvernement de la province à négocier une nouvelle entente avec le reste du Canada. Le camp du Non a remporté la victoire, récoltant près de 60 % des votes. Le Québec n’a donc pas pu aller de l’avant avec son projet d’indépendance.
Sommaire
- Dans cet extrait de 1980, le premier ministre René Lévesque prononce un discours sur le référendum du Québec.
- Le référendum du Québec avait pour but de demander à la population si le gouvernement du Québec devait commencer à tenir des discussions sur son indépendance par rapport au Canada.
- Le débat entourant l’indépendance du Québec avait pris de l’ampleur dans les années 1960 et 1970, mais en 1980, le peuple québécois a choisi de rester au sein du Canada.
Éléments essentiels
Dans cet extrait d’avril 1980, le premier ministre René Lévesque prononce un discours sur le référendum du Québec.
Dans les années 1960 et 1970, le débat entourant l’indépendance du Québec avait pris de l’ampleur. Les personnes qui soutenaient l’option indépendantiste sentaient, entre autres, que les besoins du Québec et sa culture distincte étaient des éléments ignorés par la majorité anglophone dans le reste du pays.
En 1980, une majorité de la population québécoise a dit non à la négociation d’une nouvelle entente avec le reste du Canada. Le Québec n’a donc pas pu aller de l’avant avec son projet d’indépendance.
Description exhaustive
Dans cet extrait d’avril 1980, à la veille d’un référendum, le premier ministre René Lévesque prononce un discours devant l’Assemblée nationale, à Québec, afin d’expliquer ce qu’un vote majoritaire pour le « Oui » signifierait pour la province.
Dans les années 1960 et 1970, le débat entourant l’indépendance du Québec avait pris de l’ampleur. Les gens souhaitant que le Québec devienne un État indépendant, séparé du Canada, ont formé le camp du Oui, alors que l’opposition au projet a formé le camp du Non. Les personnes qui soutenaient l’option indépendantiste sentaient, entre autres, que les besoins du Québec et sa culture distincte étaient des éléments ignorés par la majorité anglophone dans le reste du pays.
Deux référendums d’une grande importance ont eu lieu en 1980 et en 1995. En 1980, on a demandé à la population québécoise si elle autorisait le gouvernement de la province à négocier une nouvelle entente avec le reste du Canada. Le camp du Non a remporté la victoire, récoltant près de 60 % des votes. Le Québec n’a donc pas pu aller de l’avant avec son projet d’indépendance.