Moule à sucre d'érable
Artéfact
Image
Vidéo
Audio
Activités
FAIRE
Essayez de faire des bonbons à l’érable avec l’aide d’adultes.
Faites chauffer du sirop d’érable pur à 112 °C (235 °F), en remuant à l’occasion. Retirez le sirop du feu et laissez-le refroidir jusqu’à 80 °C (175 °F), sans remuer (environ 10 minutes). Agitez rapidement le mélange à l’aide d’une cuillère de bois pendant environ 5 minutes, jusqu’à ce que la couleur devienne claire et que le mélange s’épaississe. Versez le sucre dans des moules et réservez pour laisser refroidir. Savourez!
Remarque : Il peut être dangereux de faire bouillir du sirop et de le manipuler quand il est encore chaud. Seulement un ou une adulte peut le faire.
REGARDER
Dans quel matériau ce moule est-il fait? Pourquoi pensez-vous que c’est ce matériau qui était utilisé? Si vous deviez faire un moule de nos jours, quel matériau utiliseriez-vous? Pourquoi?
FAIRE
Y a-t-il des érables là où vous habitez? Faites une petite recherche pour le savoir, puis expliquez pourquoi c’est le cas ou pourquoi ça ne l’est pas.
Activité supplémentaire : Sur une carte du Canada, coloriez les régions où poussent des érables.
FAIRE
Concevez votre propre moule à bonbons. Quelles formes choisiriez-vous? Ajouteriez-vous des symboles? À qui donneriez-vous vos bonbons? Expliquez vos choix.
Précisions
- Bois
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Ce moule en bois servait à faire des bonbons à l’érable.
- En Nouvelle‑France, le sucre d’érable chaud était versé dans des moules comme celui-ci. Lorsqu’il refroidissait, il durcissait en bonbon.
- Les peuples autochtones recueillaient et utilisaient la sève d’érable bien avant l’arrivée des Européennes et des Européens.
Ce moule à sucre d’érable est fait de bois sculpté. Le sucre d’érable versé tout chaud dans le moule en forme de cœur se raffermit au fur et à mesure qu’il refroidit. Ce moule ne date pas du temps d’Agathe de Saint-Père, mais il témoigne de la perpétuation de la tradition de la cueillette de la sève d’érable.
Les communautés autochtones recueillaient et utilisaient la sève d’érable bien avant l’arrivée des Européennes et des Européens. Les colons ont appris comment faire à leur contact.
Ce moule à sucre d’érable est fait de bois sculpté. Le sucre d’érable versé tout chaud dans le moule en forme de cœurs se raffermit au fur et à mesure qu’il refroidit. Ce moule du xixe siècle ne date pas du temps d’Agathe de Saint-Père, mais il témoigne de la perpétuation de la tradition de la cueillette de la sève d’érable depuis des générations dans la vallée du Saint-Laurent.
Les peuples autochtones des forêts de l’Est ont entaillé des érables pour en recueillir la sève bien avant l’arrivée des Européennes et des Européens. Ce sont les communautés autochtones qui ont montré aux colons de la Nouvelle-France comment faire.
Des colons faisaient bouillir cette sève pour obtenir du sirop et du sucre d’érable. Dans sa lettre au ministre de la Marine et des Colonies de France, Agathe de Saint-Père fait mention de gens qui fabriquent des bonbons à l’érable.
- Ce moule en bois servait à faire des bonbons à l’érable.
- En Nouvelle‑France, le sucre d’érable chaud était versé dans des moules comme celui-ci. Lorsqu’il refroidissait, il durcissait en bonbon.
- Les peuples autochtones recueillaient et utilisaient la sève d’érable bien avant l’arrivée des Européennes et des Européens.
Ce moule à sucre d’érable est fait de bois sculpté. Le sucre d’érable versé tout chaud dans le moule en forme de cœur se raffermit au fur et à mesure qu’il refroidit. Ce moule ne date pas du temps d’Agathe de Saint-Père, mais il témoigne de la perpétuation de la tradition de la cueillette de la sève d’érable.
Les communautés autochtones recueillaient et utilisaient la sève d’érable bien avant l’arrivée des Européennes et des Européens. Les colons ont appris comment faire à leur contact.
Ce moule à sucre d’érable est fait de bois sculpté. Le sucre d’érable versé tout chaud dans le moule en forme de cœurs se raffermit au fur et à mesure qu’il refroidit. Ce moule du xixe siècle ne date pas du temps d’Agathe de Saint-Père, mais il témoigne de la perpétuation de la tradition de la cueillette de la sève d’érable depuis des générations dans la vallée du Saint-Laurent.
Les peuples autochtones des forêts de l’Est ont entaillé des érables pour en recueillir la sève bien avant l’arrivée des Européennes et des Européens. Ce sont les communautés autochtones qui ont montré aux colons de la Nouvelle-France comment faire.
Des colons faisaient bouillir cette sève pour obtenir du sirop et du sucre d’érable. Dans sa lettre au ministre de la Marine et des Colonies de France, Agathe de Saint-Père fait mention de gens qui fabriquent des bonbons à l’érable.
Sommaire
- Ce moule en bois servait à faire des bonbons à l’érable.
- En Nouvelle‑France, le sucre d’érable chaud était versé dans des moules comme celui-ci. Lorsqu’il refroidissait, il durcissait en bonbon.
- Les peuples autochtones recueillaient et utilisaient la sève d’érable bien avant l’arrivée des Européennes et des Européens.
Éléments essentiels
Ce moule à sucre d’érable est fait de bois sculpté. Le sucre d’érable versé tout chaud dans le moule en forme de cœur se raffermit au fur et à mesure qu’il refroidit. Ce moule ne date pas du temps d’Agathe de Saint-Père, mais il témoigne de la perpétuation de la tradition de la cueillette de la sève d’érable.
Les communautés autochtones recueillaient et utilisaient la sève d’érable bien avant l’arrivée des Européennes et des Européens. Les colons ont appris comment faire à leur contact.
Description exhaustive
Ce moule à sucre d’érable est fait de bois sculpté. Le sucre d’érable versé tout chaud dans le moule en forme de cœurs se raffermit au fur et à mesure qu’il refroidit. Ce moule du xixe siècle ne date pas du temps d’Agathe de Saint-Père, mais il témoigne de la perpétuation de la tradition de la cueillette de la sève d’érable depuis des générations dans la vallée du Saint-Laurent.
Les peuples autochtones des forêts de l’Est ont entaillé des érables pour en recueillir la sève bien avant l’arrivée des Européennes et des Européens. Ce sont les communautés autochtones qui ont montré aux colons de la Nouvelle-France comment faire.
Des colons faisaient bouillir cette sève pour obtenir du sirop et du sucre d’érable. Dans sa lettre au ministre de la Marine et des Colonies de France, Agathe de Saint-Père fait mention de gens qui fabriquent des bonbons à l’érable.