Pot d'apothicaire
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REGARDER
Regardez attentivement ce bocal. À quoi pensez-vous qu’il a servi, et qui pouvait l’utiliser? Indices : sa taille, son matériau, son ornementation et ce qui est inscrit sur l’étiquette.
PENSER
En observant ce bocal et les renseignements supplémentaires que fournit ce dossier, pouvez-vous dresser une liste de quelques similarités et de différences entre la médecine pratiquée en Nouvelle-France et celle pratiquée aujourd’hui?
Qu’est-ce qui a mené à des changements en médecine au fil du temps, selon vous?
FAIRE
Connaissez-vous d’autres types de médicaments qui étaient offerts aux patientes et aux patients en Nouvelle-France? Effectuez une petite recherche et faites part de vos découvertes à la classe.
Précisions
- Céramique
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Les bocaux d’apothicaire comme celui-ci étaient étiquetés pour indiquer clairement les médicaments qu’ils contenaient.
- L’apothicairerie était comme une pharmacie, alors que les apothicaires et les apothicairesses exerçaient des fonctions similaires aux pharmaciens et aux pharmaciennes d’aujourd’hui.
- Les hôpitaux avaient souvent leurs propres apothicaires, mais il restait nécessaire d’avoir une ordonnance d’un médecin pour obtenir des médicaments.
Ce bocal d’apothicaire aurait contenu des plantes médicinales utilisées en Nouvelle‑France. Les étiquettes fixées sur ces bocaux indiquaient le contenu.
Les apothicaireries étaient ce que sont les pharmacies aujourd’hui. Elles préparaient et remettaient les médicaments aux personnes ayant une ordonnance. Les hôpitaux avaient souvent leur propre apothicairerie, sous la direction de religieuses spécialisées dans la préparation des médicaments.
Les bocaux d’apothicaire cylindriques, comme celui-ci, contenaient des ingrédients particuliers. L’étiquette indiquait la plupart du temps son contenu. Sur ce pot, il est écrit « Valériane » et « Angélique ». Ces noms font référence à deux plantes : la valériane, utilisée comme sédatif, et l’angélique, employée à l’époque pour traiter diverses maladies.
Les apothicaires étaient les pharmacies de l’époque. Les apothicaires de la Nouvelle-France exerçaient les trois principales tâches suivantes : préparer, conserver et distribuer les médicaments.
Les hôpitaux, comme l’Hôtel-Dieu de Québec, avaient souvent leur propre apothicairerie, qui relevait d’une apothicairesse – une religieuse spécialisée dans la préparation des médicaments. Tout comme de nos jours, une ordonnance d’un médecin ou d’un chirurgien était requise pour l’administration de certains médicaments.
- Les bocaux d’apothicaire comme celui-ci étaient étiquetés pour indiquer clairement les médicaments qu’ils contenaient.
- L’apothicairerie était comme une pharmacie, alors que les apothicaires et les apothicairesses exerçaient des fonctions similaires aux pharmaciens et aux pharmaciennes d’aujourd’hui.
- Les hôpitaux avaient souvent leurs propres apothicaires, mais il restait nécessaire d’avoir une ordonnance d’un médecin pour obtenir des médicaments.
Ce bocal d’apothicaire aurait contenu des plantes médicinales utilisées en Nouvelle‑France. Les étiquettes fixées sur ces bocaux indiquaient le contenu.
Les apothicaireries étaient ce que sont les pharmacies aujourd’hui. Elles préparaient et remettaient les médicaments aux personnes ayant une ordonnance. Les hôpitaux avaient souvent leur propre apothicairerie, sous la direction de religieuses spécialisées dans la préparation des médicaments.
Les bocaux d’apothicaire cylindriques, comme celui-ci, contenaient des ingrédients particuliers. L’étiquette indiquait la plupart du temps son contenu. Sur ce pot, il est écrit « Valériane » et « Angélique ». Ces noms font référence à deux plantes : la valériane, utilisée comme sédatif, et l’angélique, employée à l’époque pour traiter diverses maladies.
Les apothicaires étaient les pharmacies de l’époque. Les apothicaires de la Nouvelle-France exerçaient les trois principales tâches suivantes : préparer, conserver et distribuer les médicaments.
Les hôpitaux, comme l’Hôtel-Dieu de Québec, avaient souvent leur propre apothicairerie, qui relevait d’une apothicairesse – une religieuse spécialisée dans la préparation des médicaments. Tout comme de nos jours, une ordonnance d’un médecin ou d’un chirurgien était requise pour l’administration de certains médicaments.
Sommaire
- Les bocaux d’apothicaire comme celui-ci étaient étiquetés pour indiquer clairement les médicaments qu’ils contenaient.
- L’apothicairerie était comme une pharmacie, alors que les apothicaires et les apothicairesses exerçaient des fonctions similaires aux pharmaciens et aux pharmaciennes d’aujourd’hui.
- Les hôpitaux avaient souvent leurs propres apothicaires, mais il restait nécessaire d’avoir une ordonnance d’un médecin pour obtenir des médicaments.
Éléments essentiels
Ce bocal d’apothicaire aurait contenu des plantes médicinales utilisées en Nouvelle‑France. Les étiquettes fixées sur ces bocaux indiquaient le contenu.
Les apothicaireries étaient ce que sont les pharmacies aujourd’hui. Elles préparaient et remettaient les médicaments aux personnes ayant une ordonnance. Les hôpitaux avaient souvent leur propre apothicairerie, sous la direction de religieuses spécialisées dans la préparation des médicaments.
Description exhaustive
Les bocaux d’apothicaire cylindriques, comme celui-ci, contenaient des ingrédients particuliers. L’étiquette indiquait la plupart du temps son contenu. Sur ce pot, il est écrit « Valériane » et « Angélique ». Ces noms font référence à deux plantes : la valériane, utilisée comme sédatif, et l’angélique, employée à l’époque pour traiter diverses maladies.
Les apothicaires étaient les pharmacies de l’époque. Les apothicaires de la Nouvelle-France exerçaient les trois principales tâches suivantes : préparer, conserver et distribuer les médicaments.
Les hôpitaux, comme l’Hôtel-Dieu de Québec, avaient souvent leur propre apothicairerie, qui relevait d’une apothicairesse – une religieuse spécialisée dans la préparation des médicaments. Tout comme de nos jours, une ordonnance d’un médecin ou d’un chirurgien était requise pour l’administration de certains médicaments.