Acte d'émancipation d'un esclave noir, 1744
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PENSER
Pour comprendre les gens du passé, nous devons examiner les faits à partir de leur « perspective historique ». Cette lettre est écrite de la perspective, ou du point de vue, de Dominique Nafréchoux. Lisez-la et dressez une liste de ses éléments principaux. Pour chaque élément, demandez-vous si une autre personne (comme Dominique-François Mentor) aurait eu un point de vue différent, non mentionné ici, et en quoi cela aurait pu consister.
Précisions
- Papier
Transcription
Aujourd’hui, le 30 septembre mille sept cent quarante-quatre, je, [Dominique] Nafréchoux, certifie avoir accordé sa liberté à Jean François Dominique Mentor, mon nègre, dès ma mort en récompense des bons services qu’il m’a rendus et pour le dévouement et la fidélité dont il a toujours fait preuve à mon service. Telle est mon intention. Il peut emporter avec lui tout ce dont il a besoin pour son service. Je le laisse maître de lui, libre d’aller avec qui bon lui semble, en continuant à vivre en honnête homme et en prenant soin de prier Dieu pour moi. Je certifie l’avoir enregistré dans mon livre banal, folio 131.
Nafréchoux
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Ce document a libéré un esclave en Nouvelle‑France.
- Dominique-François Mentor a obtenu sa liberté à la mort de son employeur en 1744.
- Mentor a exercé le métier d’orfèvre jusqu’à sa mort en 1773.
- L’esclavage a été légal au Canada jusqu’en 1834, année où il a été aboli dans tout l’Empire britannique.
Ce document a affranchi de l’esclavage, ou libéré, Dominique-François Mentor à la mort de son maitre Dominique Nafréchoux. Marie Marguerite Rose a probablement reçu un document semblable lorsqu’elle a obtenu sa liberté.
Une fois devenu libre, Mentor a appris le métier d’orfèvre. Il a exercé ce métier jusqu’à sa mort en 1773.
L’esclavage des populations noires et autochtones a été légal au Canada jusqu’en 1834. Des esclaves, comme Marie Marguerite Rose et Dominique-François Mentor, ont pu obtenir leur liberté avant cette date, mais bien d’autres ont connu l’esclavage toute leur vie.
Il s’agit d’un acte d’émancipation pour l’esclave nommé Dominique-François Mentor. Marie Marguerite Rose a probablement reçu un document semblable lorsqu’elle a obtenu sa liberté.
Également d’origine africaine, Mentor a été réduit en esclavage par Dominique Nafréchoux, à Montréal. En 1744 (trois ans avant sa mort), Nafréchoux a rédigé une lettre pour annoncer qu’à sa mort, Mentor serait libéré.
Une fois libre, Mentor s’est fait engager comme apprenti orfèvre. Il a exercé ce métier jusqu’à sa mort en 1773.
L’esclavage des populations noires et autochtones a été légal au Canada jusqu’en 1834, année où il a été aboli dans tout l’Empire britannique. Des esclaves, comme Marie Marguerite Rose et Dominique-François Mentor, ont pu obtenir leur liberté avant cette date, mais bien d’autres ont connu l’esclavage toute leur vie.
- Ce document a libéré un esclave en Nouvelle‑France.
- Dominique-François Mentor a obtenu sa liberté à la mort de son employeur en 1744.
- Mentor a exercé le métier d’orfèvre jusqu’à sa mort en 1773.
- L’esclavage a été légal au Canada jusqu’en 1834, année où il a été aboli dans tout l’Empire britannique.
Ce document a affranchi de l’esclavage, ou libéré, Dominique-François Mentor à la mort de son maitre Dominique Nafréchoux. Marie Marguerite Rose a probablement reçu un document semblable lorsqu’elle a obtenu sa liberté.
Une fois devenu libre, Mentor a appris le métier d’orfèvre. Il a exercé ce métier jusqu’à sa mort en 1773.
L’esclavage des populations noires et autochtones a été légal au Canada jusqu’en 1834. Des esclaves, comme Marie Marguerite Rose et Dominique-François Mentor, ont pu obtenir leur liberté avant cette date, mais bien d’autres ont connu l’esclavage toute leur vie.
Il s’agit d’un acte d’émancipation pour l’esclave nommé Dominique-François Mentor. Marie Marguerite Rose a probablement reçu un document semblable lorsqu’elle a obtenu sa liberté.
Également d’origine africaine, Mentor a été réduit en esclavage par Dominique Nafréchoux, à Montréal. En 1744 (trois ans avant sa mort), Nafréchoux a rédigé une lettre pour annoncer qu’à sa mort, Mentor serait libéré.
Une fois libre, Mentor s’est fait engager comme apprenti orfèvre. Il a exercé ce métier jusqu’à sa mort en 1773.
L’esclavage des populations noires et autochtones a été légal au Canada jusqu’en 1834, année où il a été aboli dans tout l’Empire britannique. Des esclaves, comme Marie Marguerite Rose et Dominique-François Mentor, ont pu obtenir leur liberté avant cette date, mais bien d’autres ont connu l’esclavage toute leur vie.
Sommaire
- Ce document a libéré un esclave en Nouvelle‑France.
- Dominique-François Mentor a obtenu sa liberté à la mort de son employeur en 1744.
- Mentor a exercé le métier d’orfèvre jusqu’à sa mort en 1773.
- L’esclavage a été légal au Canada jusqu’en 1834, année où il a été aboli dans tout l’Empire britannique.
Éléments essentiels
Ce document a affranchi de l’esclavage, ou libéré, Dominique-François Mentor à la mort de son maitre Dominique Nafréchoux. Marie Marguerite Rose a probablement reçu un document semblable lorsqu’elle a obtenu sa liberté.
Une fois devenu libre, Mentor a appris le métier d’orfèvre. Il a exercé ce métier jusqu’à sa mort en 1773.
L’esclavage des populations noires et autochtones a été légal au Canada jusqu’en 1834. Des esclaves, comme Marie Marguerite Rose et Dominique-François Mentor, ont pu obtenir leur liberté avant cette date, mais bien d’autres ont connu l’esclavage toute leur vie.
Description exhaustive
Il s’agit d’un acte d’émancipation pour l’esclave nommé Dominique-François Mentor. Marie Marguerite Rose a probablement reçu un document semblable lorsqu’elle a obtenu sa liberté.
Également d’origine africaine, Mentor a été réduit en esclavage par Dominique Nafréchoux, à Montréal. En 1744 (trois ans avant sa mort), Nafréchoux a rédigé une lettre pour annoncer qu’à sa mort, Mentor serait libéré.
Une fois libre, Mentor s’est fait engager comme apprenti orfèvre. Il a exercé ce métier jusqu’à sa mort en 1773.
L’esclavage des populations noires et autochtones a été légal au Canada jusqu’en 1834, année où il a été aboli dans tout l’Empire britannique. Des esclaves, comme Marie Marguerite Rose et Dominique-François Mentor, ont pu obtenir leur liberté avant cette date, mais bien d’autres ont connu l’esclavage toute leur vie.