Panier de pêche
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Que remarquez-vous à propos de ces paniers?
En quoi se ressemblent-ils ou se distinguent-ils?
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À quoi ces paniers servaient-ils, selon vous?
Quelle est l’importance culturelle de ces paniers?
FAIRE
Donnez quelques exemples de pratiques culturelles ou de traditions qui vous ont été transmises par les générations précédentes.
Précisions
- Érable
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Edith Clayton (1920-1989), vannière afro-néo-écossaise, a tressé ce panier de pêche en osier.
- Clayton employait une technique africaine qui est devenue propre aux personnes afro-néo-écossaises qui fabriquent des objets en vannerie. Elle s’approvisionnait en colorants naturels auprès de femmes autochtones mi’kmaqs.
- Clayton a appris à ses 12 enfants à tresser des paniers.
- Les paniers de Clayton se trouvent dans des musées et des maisons du monde entier. Elle a reçu la Médaille du jubilé d’argent de la reine Elizabeth II en 1977.
Cliquez ici pour voir d’autres paniers qu’elle a fabriqués et qui sont aujourd’hui dans la collection du Musée canadien de l’histoire.
Edith Clayton (1920-1989), vannière afro-néo-écossaise, a tressé ce panier de pêche en osier.
Les ancêtres de Clayton étaient des personnes réfugiées noires qui ont quitté les États-Unis pour la Nouvelle-Écosse entre 1812 et 1814. Clayton a appris à fabriquer des paniers auprès de sa mère, Selena Irene Sparks, employant une technique originaire d’Afrique qui est devenue propre aux personnes afro-néo-écossaises qui fabriquent des objets en vannerie. Clifford, le mari de Clayton, récoltait de l’écorce d’érable rouge, qu’Edith teignait avec des colorants naturels obtenus auprès de femmes mi’kmaqs.
La transmission des traditions était importante pour Edith Clayton, qui a appris à ses 12 enfants à tresser des paniers.
Les paniers de Clayton se retrouvent dans des musées et des maisons du monde entier. Edith Clayton a reçu la Médaille du jubilé d’argent de la reine Elizabeth II en 1977, et a fait l’objet de publications et d’un film.
Cliquez ici pour voir les autres paniers d’Edith Clayton dans la collection du Musée canadien de l’histoire.
Il s’agit d’un panier de pêche (un type particulier de panier en osier) fabriqué par la vannière afro-néo-écossaise Edith Clayton (1920-1989).
Clayton est née à East Preston. Ses ancêtres étaient des loyalistes d’origine africaine qui ont quitté les États-Unis pour la Nouvelle-Écosse entre 1812 et 1814. La fabrication et la vente de paniers sont devenues une importante source de revenus pour de nombreuses familles afro-néo-écossaises venues s’installer dans la région.
Clayton a fabriqué son premier panier à l’âge de huit ans. Elle a appris la vannerie auprès de sa mère, Selena Irene Sparks, employant une technique originaire d’Afrique qui est devenue propre aux personnes afro-néo-écossaises qui fabriquent des objets en vannerie. Cette technique a été transmise de mère en fille sur six générations, chaque génération développant et ajoutant sa propre touche artistique.
Edith Clayton fabriquait ses paniers en érable rouge, une essence originaire de la Nouvelle-Écosse et récoltée par son mari, Clifford. Elle teignait les bandes d’écorce avec des colorants naturels obtenus auprès de femmes mi’kmaqs, ce qui rendait ses paniers très distinctifs. Elle tressait un large éventail de paniers, notamment des cornes d’abondance, des paniers de quête à l’église, des berceaux pour bébés et des paniers de pêche.
Clayton a élevé 12 enfants et a appris à tous à tresser des paniers. Selon sa fille Clara Clayton-Gough, également vannière, Edith estimait qu’il était important de perpétuer la tradition de la vannerie au sein de la famille.
Clayton a vendu ses paniers au marché de Halifax et à des foires artisanales dans tout le pays. Elle a également donné des cours de vannerie et animé des ateliers. Son art unique a attiré l’attention dans le pays entier, et elle a reçu la Médaille du jubilé d’argent de la reine Elizabeth II en 1977.
Aujourd’hui, ses paniers se retrouvent dans des musées et des maisons au Canada et dans le monde entier. Son histoire et ses paniers ont fait l’objet de plusieurs publications, ainsi que d’un documentaire de l’Office national du film.
Cliquez ici pour voir les autres paniers fabriqués par Edith Clayton dans la collection du Musée canadien de l’histoire.
- Edith Clayton (1920-1989), vannière afro-néo-écossaise, a tressé ce panier de pêche en osier.
- Clayton employait une technique africaine qui est devenue propre aux personnes afro-néo-écossaises qui fabriquent des objets en vannerie. Elle s’approvisionnait en colorants naturels auprès de femmes autochtones mi’kmaqs.
- Clayton a appris à ses 12 enfants à tresser des paniers.
- Les paniers de Clayton se trouvent dans des musées et des maisons du monde entier. Elle a reçu la Médaille du jubilé d’argent de la reine Elizabeth II en 1977.
Cliquez ici pour voir d’autres paniers qu’elle a fabriqués et qui sont aujourd’hui dans la collection du Musée canadien de l’histoire.
Edith Clayton (1920-1989), vannière afro-néo-écossaise, a tressé ce panier de pêche en osier.
Les ancêtres de Clayton étaient des personnes réfugiées noires qui ont quitté les États-Unis pour la Nouvelle-Écosse entre 1812 et 1814. Clayton a appris à fabriquer des paniers auprès de sa mère, Selena Irene Sparks, employant une technique originaire d’Afrique qui est devenue propre aux personnes afro-néo-écossaises qui fabriquent des objets en vannerie. Clifford, le mari de Clayton, récoltait de l’écorce d’érable rouge, qu’Edith teignait avec des colorants naturels obtenus auprès de femmes mi’kmaqs.
La transmission des traditions était importante pour Edith Clayton, qui a appris à ses 12 enfants à tresser des paniers.
Les paniers de Clayton se retrouvent dans des musées et des maisons du monde entier. Edith Clayton a reçu la Médaille du jubilé d’argent de la reine Elizabeth II en 1977, et a fait l’objet de publications et d’un film.
Cliquez ici pour voir les autres paniers d’Edith Clayton dans la collection du Musée canadien de l’histoire.
Il s’agit d’un panier de pêche (un type particulier de panier en osier) fabriqué par la vannière afro-néo-écossaise Edith Clayton (1920-1989).
Clayton est née à East Preston. Ses ancêtres étaient des loyalistes d’origine africaine qui ont quitté les États-Unis pour la Nouvelle-Écosse entre 1812 et 1814. La fabrication et la vente de paniers sont devenues une importante source de revenus pour de nombreuses familles afro-néo-écossaises venues s’installer dans la région.
Clayton a fabriqué son premier panier à l’âge de huit ans. Elle a appris la vannerie auprès de sa mère, Selena Irene Sparks, employant une technique originaire d’Afrique qui est devenue propre aux personnes afro-néo-écossaises qui fabriquent des objets en vannerie. Cette technique a été transmise de mère en fille sur six générations, chaque génération développant et ajoutant sa propre touche artistique.
Edith Clayton fabriquait ses paniers en érable rouge, une essence originaire de la Nouvelle-Écosse et récoltée par son mari, Clifford. Elle teignait les bandes d’écorce avec des colorants naturels obtenus auprès de femmes mi’kmaqs, ce qui rendait ses paniers très distinctifs. Elle tressait un large éventail de paniers, notamment des cornes d’abondance, des paniers de quête à l’église, des berceaux pour bébés et des paniers de pêche.
Clayton a élevé 12 enfants et a appris à tous à tresser des paniers. Selon sa fille Clara Clayton-Gough, également vannière, Edith estimait qu’il était important de perpétuer la tradition de la vannerie au sein de la famille.
Clayton a vendu ses paniers au marché de Halifax et à des foires artisanales dans tout le pays. Elle a également donné des cours de vannerie et animé des ateliers. Son art unique a attiré l’attention dans le pays entier, et elle a reçu la Médaille du jubilé d’argent de la reine Elizabeth II en 1977.
Aujourd’hui, ses paniers se retrouvent dans des musées et des maisons au Canada et dans le monde entier. Son histoire et ses paniers ont fait l’objet de plusieurs publications, ainsi que d’un documentaire de l’Office national du film.
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Sommaire
- Edith Clayton (1920-1989), vannière afro-néo-écossaise, a tressé ce panier de pêche en osier.
- Clayton employait une technique africaine qui est devenue propre aux personnes afro-néo-écossaises qui fabriquent des objets en vannerie. Elle s’approvisionnait en colorants naturels auprès de femmes autochtones mi’kmaqs.
- Clayton a appris à ses 12 enfants à tresser des paniers.
- Les paniers de Clayton se trouvent dans des musées et des maisons du monde entier. Elle a reçu la Médaille du jubilé d’argent de la reine Elizabeth II en 1977.
Cliquez ici pour voir d’autres paniers qu’elle a fabriqués et qui sont aujourd’hui dans la collection du Musée canadien de l’histoire.
Éléments essentiels
Edith Clayton (1920-1989), vannière afro-néo-écossaise, a tressé ce panier de pêche en osier.
Les ancêtres de Clayton étaient des personnes réfugiées noires qui ont quitté les États-Unis pour la Nouvelle-Écosse entre 1812 et 1814. Clayton a appris à fabriquer des paniers auprès de sa mère, Selena Irene Sparks, employant une technique originaire d’Afrique qui est devenue propre aux personnes afro-néo-écossaises qui fabriquent des objets en vannerie. Clifford, le mari de Clayton, récoltait de l’écorce d’érable rouge, qu’Edith teignait avec des colorants naturels obtenus auprès de femmes mi’kmaqs.
La transmission des traditions était importante pour Edith Clayton, qui a appris à ses 12 enfants à tresser des paniers.
Les paniers de Clayton se retrouvent dans des musées et des maisons du monde entier. Edith Clayton a reçu la Médaille du jubilé d’argent de la reine Elizabeth II en 1977, et a fait l’objet de publications et d’un film.
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Description exhaustive
Il s’agit d’un panier de pêche (un type particulier de panier en osier) fabriqué par la vannière afro-néo-écossaise Edith Clayton (1920-1989).
Clayton est née à East Preston. Ses ancêtres étaient des loyalistes d’origine africaine qui ont quitté les États-Unis pour la Nouvelle-Écosse entre 1812 et 1814. La fabrication et la vente de paniers sont devenues une importante source de revenus pour de nombreuses familles afro-néo-écossaises venues s’installer dans la région.
Clayton a fabriqué son premier panier à l’âge de huit ans. Elle a appris la vannerie auprès de sa mère, Selena Irene Sparks, employant une technique originaire d’Afrique qui est devenue propre aux personnes afro-néo-écossaises qui fabriquent des objets en vannerie. Cette technique a été transmise de mère en fille sur six générations, chaque génération développant et ajoutant sa propre touche artistique.
Edith Clayton fabriquait ses paniers en érable rouge, une essence originaire de la Nouvelle-Écosse et récoltée par son mari, Clifford. Elle teignait les bandes d’écorce avec des colorants naturels obtenus auprès de femmes mi’kmaqs, ce qui rendait ses paniers très distinctifs. Elle tressait un large éventail de paniers, notamment des cornes d’abondance, des paniers de quête à l’église, des berceaux pour bébés et des paniers de pêche.
Clayton a élevé 12 enfants et a appris à tous à tresser des paniers. Selon sa fille Clara Clayton-Gough, également vannière, Edith estimait qu’il était important de perpétuer la tradition de la vannerie au sein de la famille.
Clayton a vendu ses paniers au marché de Halifax et à des foires artisanales dans tout le pays. Elle a également donné des cours de vannerie et animé des ateliers. Son art unique a attiré l’attention dans le pays entier, et elle a reçu la Médaille du jubilé d’argent de la reine Elizabeth II en 1977.
Aujourd’hui, ses paniers se retrouvent dans des musées et des maisons au Canada et dans le monde entier. Son histoire et ses paniers ont fait l’objet de plusieurs publications, ainsi que d’un documentaire de l’Office national du film.
Cliquez ici pour voir les autres paniers fabriqués par Edith Clayton dans la collection du Musée canadien de l’histoire.