Des officiers escortant Antonio Dieni vers le quartier général de la police
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Regardez attentivement la première photographie et complétez les phrases suivantes :
- Je vois… [décrivez ce que vous voyez sur la photo].
- Je pense que… [décrivez ce qui se passe sur cette photo, selon vous].
- Je me demande… [décrivez ce que vous vous demandez à propos des gens sur la photo].
PENSER
En 1940, le commandant adjoint de la Division F de la GRC a déclaré : « Les internements périodiques ont un effet très bénéfique, car ils stabilisent le sentiment populaire. » Que pensez-vous que cette déclaration signifiait? Prenez le point de vue du commandant adjoint. Que se passait-il à l’époque qui aurait pu justifier une telle déclaration?
PENSER
En 1940, le commandant adjoint de la Division F de la GRC a déclaré : « Les internements périodiques ont un effet très bénéfique, car ils stabilisent le sentiment populaire. » Que pensez-vous que cette déclaration signifiait? Prenez le point de vue d’une personne considérée comme un « étranger ennemi » à l’époque. Comment pensez-vous que cette personne se serait sentie en entendant une telle déclaration?
Précisions
- Photo
Transcription
(NY9-12 juin) MONTRÉAL — LA GENDARMERIE ATTRAPE UN ÉTRANGER – La légende canadienne dit que l’homme au centre ici est emmené au quartier général de la police par deux gendarmes (l’un deux pas en uniforme) afin de l’interroger dans le cadre de la rafle canadienne de résidents italiens. Les Italiens non naturalisés au Canada, au nombre de 12 000, doivent être enregistrés auprès de la police et s’y présenter régulièrement. (APWirePhoto) (Voir NY8 (JB40845JD-MONT) 1940
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Lorsque l’Italie et le Japon sont entrés en guerre aux côtés de l’Allemagne, la peur, les préjugés et la discrimination à l’égard des Canadiens d’origine italienne et japonaise ont augmenté.
- La Loi sur les mesures de guerre permettait à la Gendarmerie royale du Canada (GRC) d’arrêter, sans motifs très précis, les personnes soupçonnées de s’opposer à l’effort de guerre.
- Cette photographie montre un agent de la GRC escortant l’Italien Antonio Dieni vers le quartier général de la police.
Lorsque l’Italie (1940) et le Japon (1941) sont entrés en guerre aux côtés de l’Allemagne, les journaux ont renforcé la peur, les préjugés et la discrimination à l’égard des Canadiens d’origine italienne et japonaise. L’internement de ces « étrangers ennemis » était considéré comme bénéfique par la classe dirigeante.
La Loi sur les mesures de guerre permettait à la Gendarmerie royale du Canada (GRC) d’arrêter, sans motifs très précis, les personnes soupçonnées de s’opposer à l’effort de guerre.
Cette photographie montre un agent de la GRC escortant l’Italien Antonio Dieni vers le quartier général de la police, à Montréal.
Lorsque l’Italie (1940) et le Japon (1941) sont entrés en guerre aux côtés de l’Allemagne, les journaux ont renforcé la peur, les préjugés et la discrimination à l’égard des Canadiens d’origine italienne et japonaise.
En août 1940, le commandant adjoint de la Division F de la GRC a déclaré : « Les internements périodiques ont un effet très bénéfique, car ils stabilisent le sentiment populaire. »
La Loi sur les mesures de guerre permettait à la Gendarmerie royale du Canada (GRC) d’exercer son travail sans trop de contraintes. Les policiers dressent des listes de personnes soupçonnées de s’opposer à l’effort de guerre et effectuaient des arrestations suivant l’approbation d’un comité consultatif du gouvernement fédéral. Quant au système judiciaire, il appuyait largement les mesures d’urgence mises en place.
Cette photographie montre un agent de la GRC escortant l’Italien Antonio Dieni vers le quartier général de la police, à Montréal.
- Lorsque l’Italie et le Japon sont entrés en guerre aux côtés de l’Allemagne, la peur, les préjugés et la discrimination à l’égard des Canadiens d’origine italienne et japonaise ont augmenté.
- La Loi sur les mesures de guerre permettait à la Gendarmerie royale du Canada (GRC) d’arrêter, sans motifs très précis, les personnes soupçonnées de s’opposer à l’effort de guerre.
- Cette photographie montre un agent de la GRC escortant l’Italien Antonio Dieni vers le quartier général de la police.
Lorsque l’Italie (1940) et le Japon (1941) sont entrés en guerre aux côtés de l’Allemagne, les journaux ont renforcé la peur, les préjugés et la discrimination à l’égard des Canadiens d’origine italienne et japonaise. L’internement de ces « étrangers ennemis » était considéré comme bénéfique par la classe dirigeante.
La Loi sur les mesures de guerre permettait à la Gendarmerie royale du Canada (GRC) d’arrêter, sans motifs très précis, les personnes soupçonnées de s’opposer à l’effort de guerre.
Cette photographie montre un agent de la GRC escortant l’Italien Antonio Dieni vers le quartier général de la police, à Montréal.
Lorsque l’Italie (1940) et le Japon (1941) sont entrés en guerre aux côtés de l’Allemagne, les journaux ont renforcé la peur, les préjugés et la discrimination à l’égard des Canadiens d’origine italienne et japonaise.
En août 1940, le commandant adjoint de la Division F de la GRC a déclaré : « Les internements périodiques ont un effet très bénéfique, car ils stabilisent le sentiment populaire. »
La Loi sur les mesures de guerre permettait à la Gendarmerie royale du Canada (GRC) d’exercer son travail sans trop de contraintes. Les policiers dressent des listes de personnes soupçonnées de s’opposer à l’effort de guerre et effectuaient des arrestations suivant l’approbation d’un comité consultatif du gouvernement fédéral. Quant au système judiciaire, il appuyait largement les mesures d’urgence mises en place.
Cette photographie montre un agent de la GRC escortant l’Italien Antonio Dieni vers le quartier général de la police, à Montréal.
Sommaire
- Lorsque l’Italie et le Japon sont entrés en guerre aux côtés de l’Allemagne, la peur, les préjugés et la discrimination à l’égard des Canadiens d’origine italienne et japonaise ont augmenté.
- La Loi sur les mesures de guerre permettait à la Gendarmerie royale du Canada (GRC) d’arrêter, sans motifs très précis, les personnes soupçonnées de s’opposer à l’effort de guerre.
- Cette photographie montre un agent de la GRC escortant l’Italien Antonio Dieni vers le quartier général de la police.
Éléments essentiels
Lorsque l’Italie (1940) et le Japon (1941) sont entrés en guerre aux côtés de l’Allemagne, les journaux ont renforcé la peur, les préjugés et la discrimination à l’égard des Canadiens d’origine italienne et japonaise. L’internement de ces « étrangers ennemis » était considéré comme bénéfique par la classe dirigeante.
La Loi sur les mesures de guerre permettait à la Gendarmerie royale du Canada (GRC) d’arrêter, sans motifs très précis, les personnes soupçonnées de s’opposer à l’effort de guerre.
Cette photographie montre un agent de la GRC escortant l’Italien Antonio Dieni vers le quartier général de la police, à Montréal.
Description exhaustive
Lorsque l’Italie (1940) et le Japon (1941) sont entrés en guerre aux côtés de l’Allemagne, les journaux ont renforcé la peur, les préjugés et la discrimination à l’égard des Canadiens d’origine italienne et japonaise.
En août 1940, le commandant adjoint de la Division F de la GRC a déclaré : « Les internements périodiques ont un effet très bénéfique, car ils stabilisent le sentiment populaire. »
La Loi sur les mesures de guerre permettait à la Gendarmerie royale du Canada (GRC) d’exercer son travail sans trop de contraintes. Les policiers dressent des listes de personnes soupçonnées de s’opposer à l’effort de guerre et effectuaient des arrestations suivant l’approbation d’un comité consultatif du gouvernement fédéral. Quant au système judiciaire, il appuyait largement les mesures d’urgence mises en place.
Cette photographie montre un agent de la GRC escortant l’Italien Antonio Dieni vers le quartier général de la police, à Montréal.