Personnes internées d’origine japonaise en attente de déportation
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REGARDER
Regardez attentivement la première photographie et complétez les phrases suivantes :
- Je vois… [décrivez ce que vous voyez sur la photo].
- Je pense que… [décrivez ce qui se passe sur cette photo, selon vous].
- Je me demande… [décrivez ce que vous vous demandez à propos des gens sur la photo].
PENSER
Prenez le point de vue d’une personne d’origine japonaise qui a été déportée au Japon. Que pensez-vous que cela a pu avoir comme effet sur son sentiment d’identité? Comment pensez-vous que cette personne se serait sentie à propos du Japon? À propos du Canada?
FAIRE
Regardez cette photo et lisez le contexte historique fourni. Faites des recherches externes sur le boum de l’immigration d’après-guerre au Canada. Comparez la déportation des Canadiens japonais à cet afflux de nouveaux Canadiens.
Précisions
- Photo
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Le Japon a attaqué les États-Unis en 1941. Par conséquent, le gouvernement canadien a ordonné à plus de 21 000 Canadiens d’origine japonaise de s’installer dans des camps improvisés loin de la côte ouest.
- Après la guerre, le gouvernement a exigé que les Canadiens japonais s’installent à l’est des Rocheuses (loin de la côte ouest) ou acceptent une déportation au Japon.
- Cette photographie montre un groupe de personnes d’origine japonaise ayant été relogées pendant la guerre. Elles attendent un train qui les emmènera vers un bateau à destination du Japon.
L’attaque du Japon sur Pearl Harbor, à Hawaï, en décembre 1941, a transformé la vie des Canadiens d’origine japonaise.
En 1942, la Loi sur les mesures de guerre a été invoquée, ordonnant à plus de 21 000 Canadiens d’origine japonaise, dont 75 % avaient la nationalité canadienne, de déménager à un minimum de 160 kilomètres de la côte ouest.
La majorité a dû abandonner maisons, commerces et emplois pour s’installer dans des camps improvisés. Les biens ont été saisis et vendus par le gouvernement.
Vers la fin de la guerre, le gouvernement a demandé aux Canadiens d’origine japonaise de s’installer à l’est des Rocheuses ou de signer des documents prévoyant leur déportation au Japon après la fin du conflit.
Cette photographie montre un groupe de personnes d’origine japonaise ayant été relogées de force pendant la guerre. Elles attendent un train qui les emmènera vers un bateau à destination du Japon.
L’attaque du Japon sur Pearl Harbor, à Hawaï, en décembre 1941, a transformé la vie des Canadiens japonais.
En mars 1941, le gouvernement canadien a exigé que tous les gens d’origine japonaise de 16 ans et plus s’inscrivent auprès de la GRC. Ceux-ci ont reçu une carte d’inscription (avec photo et empreintes digitales) qu’ils devaient porter en tout temps.
En 1942, la Loi sur les mesures de guerre a été invoquée, ordonnant à plus de 21 000 Canadiens d’origine japonaise, dont 75 % avaient la nationalité canadienne, de déménager à un minimum de 160 kilomètres de la côte ouest.
La majorité a dû abandonner maisons, commerces et emplois pour s’installer dans des camps improvisés. Les biens ont été saisis et vendus.
Vers la fin de la guerre, le gouvernement a demandé aux Canadiens d’origine japonaise de s’installer à l’est des Rocheuses ou de signer des documents prévoyant leur « rapatriement » au Japon après la fin du conflit. Environ 4 000 personnes (dont la moitié était née au Canada) ont dû quitter le pays vers le Japon en 1946.
Cette photographie montre un groupe de personnes d’origine japonaise ayant été relogées de force pendant la guerre. Elles attendent un train qui les emmènera vers un bateau à destination du Japon.
- Le Japon a attaqué les États-Unis en 1941. Par conséquent, le gouvernement canadien a ordonné à plus de 21 000 Canadiens d’origine japonaise de s’installer dans des camps improvisés loin de la côte ouest.
- Après la guerre, le gouvernement a exigé que les Canadiens japonais s’installent à l’est des Rocheuses (loin de la côte ouest) ou acceptent une déportation au Japon.
- Cette photographie montre un groupe de personnes d’origine japonaise ayant été relogées pendant la guerre. Elles attendent un train qui les emmènera vers un bateau à destination du Japon.
L’attaque du Japon sur Pearl Harbor, à Hawaï, en décembre 1941, a transformé la vie des Canadiens d’origine japonaise.
En 1942, la Loi sur les mesures de guerre a été invoquée, ordonnant à plus de 21 000 Canadiens d’origine japonaise, dont 75 % avaient la nationalité canadienne, de déménager à un minimum de 160 kilomètres de la côte ouest.
La majorité a dû abandonner maisons, commerces et emplois pour s’installer dans des camps improvisés. Les biens ont été saisis et vendus par le gouvernement.
Vers la fin de la guerre, le gouvernement a demandé aux Canadiens d’origine japonaise de s’installer à l’est des Rocheuses ou de signer des documents prévoyant leur déportation au Japon après la fin du conflit.
Cette photographie montre un groupe de personnes d’origine japonaise ayant été relogées de force pendant la guerre. Elles attendent un train qui les emmènera vers un bateau à destination du Japon.
L’attaque du Japon sur Pearl Harbor, à Hawaï, en décembre 1941, a transformé la vie des Canadiens japonais.
En mars 1941, le gouvernement canadien a exigé que tous les gens d’origine japonaise de 16 ans et plus s’inscrivent auprès de la GRC. Ceux-ci ont reçu une carte d’inscription (avec photo et empreintes digitales) qu’ils devaient porter en tout temps.
En 1942, la Loi sur les mesures de guerre a été invoquée, ordonnant à plus de 21 000 Canadiens d’origine japonaise, dont 75 % avaient la nationalité canadienne, de déménager à un minimum de 160 kilomètres de la côte ouest.
La majorité a dû abandonner maisons, commerces et emplois pour s’installer dans des camps improvisés. Les biens ont été saisis et vendus.
Vers la fin de la guerre, le gouvernement a demandé aux Canadiens d’origine japonaise de s’installer à l’est des Rocheuses ou de signer des documents prévoyant leur « rapatriement » au Japon après la fin du conflit. Environ 4 000 personnes (dont la moitié était née au Canada) ont dû quitter le pays vers le Japon en 1946.
Cette photographie montre un groupe de personnes d’origine japonaise ayant été relogées de force pendant la guerre. Elles attendent un train qui les emmènera vers un bateau à destination du Japon.
Sommaire
- Le Japon a attaqué les États-Unis en 1941. Par conséquent, le gouvernement canadien a ordonné à plus de 21 000 Canadiens d’origine japonaise de s’installer dans des camps improvisés loin de la côte ouest.
- Après la guerre, le gouvernement a exigé que les Canadiens japonais s’installent à l’est des Rocheuses (loin de la côte ouest) ou acceptent une déportation au Japon.
- Cette photographie montre un groupe de personnes d’origine japonaise ayant été relogées pendant la guerre. Elles attendent un train qui les emmènera vers un bateau à destination du Japon.
Éléments essentiels
L’attaque du Japon sur Pearl Harbor, à Hawaï, en décembre 1941, a transformé la vie des Canadiens d’origine japonaise.
En 1942, la Loi sur les mesures de guerre a été invoquée, ordonnant à plus de 21 000 Canadiens d’origine japonaise, dont 75 % avaient la nationalité canadienne, de déménager à un minimum de 160 kilomètres de la côte ouest.
La majorité a dû abandonner maisons, commerces et emplois pour s’installer dans des camps improvisés. Les biens ont été saisis et vendus par le gouvernement.
Vers la fin de la guerre, le gouvernement a demandé aux Canadiens d’origine japonaise de s’installer à l’est des Rocheuses ou de signer des documents prévoyant leur déportation au Japon après la fin du conflit.
Cette photographie montre un groupe de personnes d’origine japonaise ayant été relogées de force pendant la guerre. Elles attendent un train qui les emmènera vers un bateau à destination du Japon.
Description exhaustive
L’attaque du Japon sur Pearl Harbor, à Hawaï, en décembre 1941, a transformé la vie des Canadiens japonais.
En mars 1941, le gouvernement canadien a exigé que tous les gens d’origine japonaise de 16 ans et plus s’inscrivent auprès de la GRC. Ceux-ci ont reçu une carte d’inscription (avec photo et empreintes digitales) qu’ils devaient porter en tout temps.
En 1942, la Loi sur les mesures de guerre a été invoquée, ordonnant à plus de 21 000 Canadiens d’origine japonaise, dont 75 % avaient la nationalité canadienne, de déménager à un minimum de 160 kilomètres de la côte ouest.
La majorité a dû abandonner maisons, commerces et emplois pour s’installer dans des camps improvisés. Les biens ont été saisis et vendus.
Vers la fin de la guerre, le gouvernement a demandé aux Canadiens d’origine japonaise de s’installer à l’est des Rocheuses ou de signer des documents prévoyant leur « rapatriement » au Japon après la fin du conflit. Environ 4 000 personnes (dont la moitié était née au Canada) ont dû quitter le pays vers le Japon en 1946.
Cette photographie montre un groupe de personnes d’origine japonaise ayant été relogées de force pendant la guerre. Elles attendent un train qui les emmènera vers un bateau à destination du Japon.