Birchtown
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- Ces objets proviennent de la communauté de Birchtown.
- En 1783-1784, les Britanniques ont incité plus de 1 000 personnes afro-américaines à s’installer en Nouvelle-Écosse en leur promettant la liberté. Birchtown était la plus grande localité loyaliste noire.
- Le capitaine William Booth, un officier blanc du Corps of Royal Engineers, a peint A Black Wood Cutter at Shelburne, Nova Scotia, 1788 (Un bucheron noir à Shelburne, en Nouvelle-Écosse, 1788).
- Les loyalistes d’origine africaine ont connu la pauvreté et le racisme. En l’espace d’une décennie, la moitié des loyalistes ont décidé de partir pour la Sierra Leone, une nouvelle colonie britannique en Afrique de l’Ouest.
Faites défiler les images du carrousel multimédia pour découvrir d’autres objets de Birchtown, notamment un récipient ayant appartenu au colonel Stephen Blucke, leader loyaliste noir.
Ces objets proviennent de la communauté de Birchtown. En 1783-1784, les britanniques ont incité plus de 1 000 personnes afro-américaines à s’installer en Nouvelle-Écosse en leur promettant la liberté. Birchtown était la plus grande localité loyaliste noire.
Le capitaine William Booth, un officier blanc du Corps of Royal Engineers, a peint A Black Wood Cutter at Shelburne, Nova Scotia, 1788 (Un bucheron noir à Shelburne, en Nouvelle-Écosse, 1788). Booth a également tenu des journaux personnels sur la vie dans la Nouvelle-Écosse loyaliste.
Ce récipient en terre cuite provient de la maison du colonel Stephen Blucke, leader loyaliste noir et maitre d’école local. Servant à la cuisine, il ressemble à ceux qui ont été fabriqués en Amérique coloniale par des personnes d’origine africaine.
Les loyalistes d’origine africaine ont connu la pauvreté et le racisme. En l’espace d’une décennie, la moitié des loyalistes ont décidé de partir pour la « province de la liberté », la Sierra Leone, une nouvelle colonie britannique en Afrique de l’Ouest.
Ces deux objets reflètent la vie à Birchtown, une localité afro-néo-écossaise.
Située dans le comté de Shelburne, Birchtown est généralement citée comme la première communauté afro-néo-écossaise. Elle a été fondée en 1783-1784 et avait une population de plus de 1 000 personnes noires à l’époque. Bon nombre de ces personnes étaient des loyalistes à qui l’on avait promis la liberté et des terres si elles soutenaient les Britanniques dans la guerre de l’Indépendance américaine.
Bien que la localité de Birchtown ait été la plus grande, les loyalistes d’origine africaine ont fondé des communautés dans toute la Nouvelle-Écosse, notamment à Preston, Shelburne, Annapolis Royal et Digby. Les personnes qui vivaient à Birchtown gagnaient leur vie en pratiquant la pêche, l’exploitation forestière, le défrichage et la chasse, en plus de servir comme domestiques et de faire du travail agricole rémunéré à la journée.
- Ces objets proviennent de la communauté de Birchtown.
- En 1783-1784, les Britanniques ont incité plus de 1 000 personnes afro-américaines à s’installer en Nouvelle-Écosse en leur promettant la liberté. Birchtown était la plus grande localité loyaliste noire.
- Le capitaine William Booth, un officier blanc du Corps of Royal Engineers, a peint A Black Wood Cutter at Shelburne, Nova Scotia, 1788 (Un bucheron noir à Shelburne, en Nouvelle-Écosse, 1788).
- Les loyalistes d’origine africaine ont connu la pauvreté et le racisme. En l’espace d’une décennie, la moitié des loyalistes ont décidé de partir pour la Sierra Leone, une nouvelle colonie britannique en Afrique de l’Ouest.
Faites défiler les images du carrousel multimédia pour découvrir d’autres objets de Birchtown, notamment un récipient ayant appartenu au colonel Stephen Blucke, leader loyaliste noir.
Ces objets proviennent de la communauté de Birchtown. En 1783-1784, les britanniques ont incité plus de 1 000 personnes afro-américaines à s’installer en Nouvelle-Écosse en leur promettant la liberté. Birchtown était la plus grande localité loyaliste noire.
Le capitaine William Booth, un officier blanc du Corps of Royal Engineers, a peint A Black Wood Cutter at Shelburne, Nova Scotia, 1788 (Un bucheron noir à Shelburne, en Nouvelle-Écosse, 1788). Booth a également tenu des journaux personnels sur la vie dans la Nouvelle-Écosse loyaliste.
Ce récipient en terre cuite provient de la maison du colonel Stephen Blucke, leader loyaliste noir et maitre d’école local. Servant à la cuisine, il ressemble à ceux qui ont été fabriqués en Amérique coloniale par des personnes d’origine africaine.
Les loyalistes d’origine africaine ont connu la pauvreté et le racisme. En l’espace d’une décennie, la moitié des loyalistes ont décidé de partir pour la « province de la liberté », la Sierra Leone, une nouvelle colonie britannique en Afrique de l’Ouest.
Ces deux objets reflètent la vie à Birchtown, une localité afro-néo-écossaise.
Située dans le comté de Shelburne, Birchtown est généralement citée comme la première communauté afro-néo-écossaise. Elle a été fondée en 1783-1784 et avait une population de plus de 1 000 personnes noires à l’époque. Bon nombre de ces personnes étaient des loyalistes à qui l’on avait promis la liberté et des terres si elles soutenaient les Britanniques dans la guerre de l’Indépendance américaine.
Bien que la localité de Birchtown ait été la plus grande, les loyalistes d’origine africaine ont fondé des communautés dans toute la Nouvelle-Écosse, notamment à Preston, Shelburne, Annapolis Royal et Digby. Les personnes qui vivaient à Birchtown gagnaient leur vie en pratiquant la pêche, l’exploitation forestière, le défrichage et la chasse, en plus de servir comme domestiques et de faire du travail agricole rémunéré à la journée.
Sommaire
- Ces objets proviennent de la communauté de Birchtown.
- En 1783-1784, les Britanniques ont incité plus de 1 000 personnes afro-américaines à s’installer en Nouvelle-Écosse en leur promettant la liberté. Birchtown était la plus grande localité loyaliste noire.
- Le capitaine William Booth, un officier blanc du Corps of Royal Engineers, a peint A Black Wood Cutter at Shelburne, Nova Scotia, 1788 (Un bucheron noir à Shelburne, en Nouvelle-Écosse, 1788).
- Les loyalistes d’origine africaine ont connu la pauvreté et le racisme. En l’espace d’une décennie, la moitié des loyalistes ont décidé de partir pour la Sierra Leone, une nouvelle colonie britannique en Afrique de l’Ouest.
Faites défiler les images du carrousel multimédia pour découvrir d’autres objets de Birchtown, notamment un récipient ayant appartenu au colonel Stephen Blucke, leader loyaliste noir.
Éléments essentiels
Ces objets proviennent de la communauté de Birchtown. En 1783-1784, les britanniques ont incité plus de 1 000 personnes afro-américaines à s’installer en Nouvelle-Écosse en leur promettant la liberté. Birchtown était la plus grande localité loyaliste noire.
Le capitaine William Booth, un officier blanc du Corps of Royal Engineers, a peint A Black Wood Cutter at Shelburne, Nova Scotia, 1788 (Un bucheron noir à Shelburne, en Nouvelle-Écosse, 1788). Booth a également tenu des journaux personnels sur la vie dans la Nouvelle-Écosse loyaliste.
Ce récipient en terre cuite provient de la maison du colonel Stephen Blucke, leader loyaliste noir et maitre d’école local. Servant à la cuisine, il ressemble à ceux qui ont été fabriqués en Amérique coloniale par des personnes d’origine africaine.
Les loyalistes d’origine africaine ont connu la pauvreté et le racisme. En l’espace d’une décennie, la moitié des loyalistes ont décidé de partir pour la « province de la liberté », la Sierra Leone, une nouvelle colonie britannique en Afrique de l’Ouest.
Description exhaustive
Ces deux objets reflètent la vie à Birchtown, une localité afro-néo-écossaise.
Située dans le comté de Shelburne, Birchtown est généralement citée comme la première communauté afro-néo-écossaise. Elle a été fondée en 1783-1784 et avait une population de plus de 1 000 personnes noires à l’époque. Bon nombre de ces personnes étaient des loyalistes à qui l’on avait promis la liberté et des terres si elles soutenaient les Britanniques dans la guerre de l’Indépendance américaine.
Bien que la localité de Birchtown ait été la plus grande, les loyalistes d’origine africaine ont fondé des communautés dans toute la Nouvelle-Écosse, notamment à Preston, Shelburne, Annapolis Royal et Digby. Les personnes qui vivaient à Birchtown gagnaient leur vie en pratiquant la pêche, l’exploitation forestière, le défrichage et la chasse, en plus de servir comme domestiques et de faire du travail agricole rémunéré à la journée.