Carte des communautés afro-néo-écossaises
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Que remarquez-vous en ce qui concerne l’emplacement de ces communautés?
Y a-t-il des groupes de communautés qui se démarquent, selon vous? Si oui, pourquoi?
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Qu’est-ce que l’emplacement de ces communautés révèle sur les emplois potentiels pour les personnes afro-néo-écossaises?
Pourquoi pensez-vous qu’il y a plusieurs communautés noires autour de Halifax?
FAIRE
Choisissez une communauté sur laquelle vous souhaitez faire des recherches. Essayez de trouver des points d’intérêt, des sites historiques, des centres communautaires et d’autres lieux culturels. Comme défi supplémentaire, trouvez et partagez une histoire venant de la communauté que vous avez choisi. (Indice : Cherchez des renseignements sur les sites Web des archives de Halifax et de la Nouvelle-Écosse.)
Précisions
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Cette carte montre des communautés afro-néo-écossaises historiques et modernes.
- De nombreuses personnes noires sont venues d’autres colonies, dont 3 000 loyalistes d’origine africaine des États-Unis qui ont migré en Nouvelle-Écosse après la Révolution américaine.
- En 1848, des personnes noires ont acheté des terrains pour fonder Africville.
- Les personnes afro-néo-écossaises constituent le plus grand groupe de minorités visibles de la province. Elles ont des racines profondes : 77,2 % d’entre elles appartiennent à des familles qui sont canadiennes depuis trois générations ou plus.
Cette carte montre des communautés afro-néo-écossaises traditionnelles et modernes.
La première communauté noire de la région se trouvait sur l’ile Royale (aujourd’hui l’ile du Cap-Breton). Les 381 personnes noires, esclaves ou libres, qui y ont vécu de 1713 à 1758 venaient d’autres colonies françaises ou avaient été enlevées en Afrique.
Pendant la Révolution américaine, les Britanniques ont promis la liberté et des terres aux Afro-Américains s’ils se battaient à leurs côtés. En 1783-1784, quelque 3 000 loyalistes d’origine africaine ont migré en Nouvelle-Écosse, et nombre de ces personnes se sont installées à Birchtown. Entre 1813 et 1834, des navires britanniques ont amené 2 000 personnes réfugiées noires en Nouvelle-Écosse.
En 1848, des personnes noires ont acheté des terrains pour fonder Africville. Ce quartier de Halifax a été détruit dans les années 1970 dans le cadre d’un « aménagement urbain ».
Les personnes afro-néo-écossaises constituent le plus grand groupe de minorités visibles de la province. Elles ont des racines profondes : 77,2 % d’entre elles appartiennent à des familles qui sont canadiennes depuis trois générations ou plus.
Cette carte montre nombre des communautés afro-néo-écossaises traditionnelles et modernes, y compris l’emplacement d’Africville, une communauté qui n’existait plus en 1969, ayant été détruite dans le cadre d’un « aménagement urbain ».
Entre 1713 et 1758, la forteresse de Louisbourg, sur l’ile Royale (aujourd’hui l’ile du Cap-Breton), a accueilli la première communauté noire, composée de 381 personnes, dont des esclaves et des personnes qui avaient acheté leur liberté. Bon nombre de ces personnes sont arrivées d’Afrique ou des colonies francophones des Antilles.
En 1783-1784, la migration de loyalistes d’origine africaine vers la colonie a conduit à l’établissement des premières communautés noires plus durables en Nouvelle-Écosse. Pendant la guerre de l’Indépendance américaine, les Britanniques ont promis la liberté et des terres aux Afro-Américains, qu’ils aient été libres ou esclaves, s’ils se battaient à leurs côtés. Environ 3 000 loyalistes d’origine africaine ont migré dans l’espoir de commencer une nouvelle vie. La plus grande localité loyaliste noire était Birchtown, dans le comté de Shelburne. D’autres communautés se sont établies à Halifax, Annapolis Royal, Preston et Little Tracadie.
Entre 1813 et 1834, quelque 2 000 personnes réfugiées noires sont arrivées en Nouvelle-Écosse, s’installant dans les communautés loyalistes noires existantes ou fondant plusieurs nouvelles communautés. Les plus grandes communautés de personnes réfugiées noires se trouvaient à Pockwok (aujourd’hui Upper Hammonds Plains), New Road (aujourd’hui North Preston), Beechville et Windsor (aujourd’hui Five Miles Plains). Historiquement, il y avait une église au cœur de nombre de ces communautés, et elle servait de point de convergence de la vie religieuse et culturelle des membres de la communauté.
Africville est également une communauté afro-néo-écossaise bien connue. Cependant, contrairement à la plupart des autres communautés afro-néo-écossaises, elle s’est développée sur des terrains achetés par des personnes noires. On considère traditionnellement qu’Africville a été fondée en 1848, année où William Brown et William Arnold ont acheté des terrains.
Aujourd’hui, les personnes afro-néo-écossaises constituent le plus grand groupe de minorités visibles de la province. Le fait que 77,2 % des membres de la population afro-néo-écossaise appartiennent à des familles qui sont canadiennes depuis trois générations ou plus démontre les racines historiques des personnes afro-néo-écossaises dans la province.
- Cette carte montre des communautés afro-néo-écossaises historiques et modernes.
- De nombreuses personnes noires sont venues d’autres colonies, dont 3 000 loyalistes d’origine africaine des États-Unis qui ont migré en Nouvelle-Écosse après la Révolution américaine.
- En 1848, des personnes noires ont acheté des terrains pour fonder Africville.
- Les personnes afro-néo-écossaises constituent le plus grand groupe de minorités visibles de la province. Elles ont des racines profondes : 77,2 % d’entre elles appartiennent à des familles qui sont canadiennes depuis trois générations ou plus.
Cette carte montre des communautés afro-néo-écossaises traditionnelles et modernes.
La première communauté noire de la région se trouvait sur l’ile Royale (aujourd’hui l’ile du Cap-Breton). Les 381 personnes noires, esclaves ou libres, qui y ont vécu de 1713 à 1758 venaient d’autres colonies françaises ou avaient été enlevées en Afrique.
Pendant la Révolution américaine, les Britanniques ont promis la liberté et des terres aux Afro-Américains s’ils se battaient à leurs côtés. En 1783-1784, quelque 3 000 loyalistes d’origine africaine ont migré en Nouvelle-Écosse, et nombre de ces personnes se sont installées à Birchtown. Entre 1813 et 1834, des navires britanniques ont amené 2 000 personnes réfugiées noires en Nouvelle-Écosse.
En 1848, des personnes noires ont acheté des terrains pour fonder Africville. Ce quartier de Halifax a été détruit dans les années 1970 dans le cadre d’un « aménagement urbain ».
Les personnes afro-néo-écossaises constituent le plus grand groupe de minorités visibles de la province. Elles ont des racines profondes : 77,2 % d’entre elles appartiennent à des familles qui sont canadiennes depuis trois générations ou plus.
Cette carte montre nombre des communautés afro-néo-écossaises traditionnelles et modernes, y compris l’emplacement d’Africville, une communauté qui n’existait plus en 1969, ayant été détruite dans le cadre d’un « aménagement urbain ».
Entre 1713 et 1758, la forteresse de Louisbourg, sur l’ile Royale (aujourd’hui l’ile du Cap-Breton), a accueilli la première communauté noire, composée de 381 personnes, dont des esclaves et des personnes qui avaient acheté leur liberté. Bon nombre de ces personnes sont arrivées d’Afrique ou des colonies francophones des Antilles.
En 1783-1784, la migration de loyalistes d’origine africaine vers la colonie a conduit à l’établissement des premières communautés noires plus durables en Nouvelle-Écosse. Pendant la guerre de l’Indépendance américaine, les Britanniques ont promis la liberté et des terres aux Afro-Américains, qu’ils aient été libres ou esclaves, s’ils se battaient à leurs côtés. Environ 3 000 loyalistes d’origine africaine ont migré dans l’espoir de commencer une nouvelle vie. La plus grande localité loyaliste noire était Birchtown, dans le comté de Shelburne. D’autres communautés se sont établies à Halifax, Annapolis Royal, Preston et Little Tracadie.
Entre 1813 et 1834, quelque 2 000 personnes réfugiées noires sont arrivées en Nouvelle-Écosse, s’installant dans les communautés loyalistes noires existantes ou fondant plusieurs nouvelles communautés. Les plus grandes communautés de personnes réfugiées noires se trouvaient à Pockwok (aujourd’hui Upper Hammonds Plains), New Road (aujourd’hui North Preston), Beechville et Windsor (aujourd’hui Five Miles Plains). Historiquement, il y avait une église au cœur de nombre de ces communautés, et elle servait de point de convergence de la vie religieuse et culturelle des membres de la communauté.
Africville est également une communauté afro-néo-écossaise bien connue. Cependant, contrairement à la plupart des autres communautés afro-néo-écossaises, elle s’est développée sur des terrains achetés par des personnes noires. On considère traditionnellement qu’Africville a été fondée en 1848, année où William Brown et William Arnold ont acheté des terrains.
Aujourd’hui, les personnes afro-néo-écossaises constituent le plus grand groupe de minorités visibles de la province. Le fait que 77,2 % des membres de la population afro-néo-écossaise appartiennent à des familles qui sont canadiennes depuis trois générations ou plus démontre les racines historiques des personnes afro-néo-écossaises dans la province.
Sommaire
- Cette carte montre des communautés afro-néo-écossaises historiques et modernes.
- De nombreuses personnes noires sont venues d’autres colonies, dont 3 000 loyalistes d’origine africaine des États-Unis qui ont migré en Nouvelle-Écosse après la Révolution américaine.
- En 1848, des personnes noires ont acheté des terrains pour fonder Africville.
- Les personnes afro-néo-écossaises constituent le plus grand groupe de minorités visibles de la province. Elles ont des racines profondes : 77,2 % d’entre elles appartiennent à des familles qui sont canadiennes depuis trois générations ou plus.
Éléments essentiels
Cette carte montre des communautés afro-néo-écossaises traditionnelles et modernes.
La première communauté noire de la région se trouvait sur l’ile Royale (aujourd’hui l’ile du Cap-Breton). Les 381 personnes noires, esclaves ou libres, qui y ont vécu de 1713 à 1758 venaient d’autres colonies françaises ou avaient été enlevées en Afrique.
Pendant la Révolution américaine, les Britanniques ont promis la liberté et des terres aux Afro-Américains s’ils se battaient à leurs côtés. En 1783-1784, quelque 3 000 loyalistes d’origine africaine ont migré en Nouvelle-Écosse, et nombre de ces personnes se sont installées à Birchtown. Entre 1813 et 1834, des navires britanniques ont amené 2 000 personnes réfugiées noires en Nouvelle-Écosse.
En 1848, des personnes noires ont acheté des terrains pour fonder Africville. Ce quartier de Halifax a été détruit dans les années 1970 dans le cadre d’un « aménagement urbain ».
Les personnes afro-néo-écossaises constituent le plus grand groupe de minorités visibles de la province. Elles ont des racines profondes : 77,2 % d’entre elles appartiennent à des familles qui sont canadiennes depuis trois générations ou plus.
Description exhaustive
Cette carte montre nombre des communautés afro-néo-écossaises traditionnelles et modernes, y compris l’emplacement d’Africville, une communauté qui n’existait plus en 1969, ayant été détruite dans le cadre d’un « aménagement urbain ».
Entre 1713 et 1758, la forteresse de Louisbourg, sur l’ile Royale (aujourd’hui l’ile du Cap-Breton), a accueilli la première communauté noire, composée de 381 personnes, dont des esclaves et des personnes qui avaient acheté leur liberté. Bon nombre de ces personnes sont arrivées d’Afrique ou des colonies francophones des Antilles.
En 1783-1784, la migration de loyalistes d’origine africaine vers la colonie a conduit à l’établissement des premières communautés noires plus durables en Nouvelle-Écosse. Pendant la guerre de l’Indépendance américaine, les Britanniques ont promis la liberté et des terres aux Afro-Américains, qu’ils aient été libres ou esclaves, s’ils se battaient à leurs côtés. Environ 3 000 loyalistes d’origine africaine ont migré dans l’espoir de commencer une nouvelle vie. La plus grande localité loyaliste noire était Birchtown, dans le comté de Shelburne. D’autres communautés se sont établies à Halifax, Annapolis Royal, Preston et Little Tracadie.
Entre 1813 et 1834, quelque 2 000 personnes réfugiées noires sont arrivées en Nouvelle-Écosse, s’installant dans les communautés loyalistes noires existantes ou fondant plusieurs nouvelles communautés. Les plus grandes communautés de personnes réfugiées noires se trouvaient à Pockwok (aujourd’hui Upper Hammonds Plains), New Road (aujourd’hui North Preston), Beechville et Windsor (aujourd’hui Five Miles Plains). Historiquement, il y avait une église au cœur de nombre de ces communautés, et elle servait de point de convergence de la vie religieuse et culturelle des membres de la communauté.
Africville est également une communauté afro-néo-écossaise bien connue. Cependant, contrairement à la plupart des autres communautés afro-néo-écossaises, elle s’est développée sur des terrains achetés par des personnes noires. On considère traditionnellement qu’Africville a été fondée en 1848, année où William Brown et William Arnold ont acheté des terrains.
Aujourd’hui, les personnes afro-néo-écossaises constituent le plus grand groupe de minorités visibles de la province. Le fait que 77,2 % des membres de la population afro-néo-écossaise appartiennent à des familles qui sont canadiennes depuis trois générations ou plus démontre les racines historiques des personnes afro-néo-écossaises dans la province.