Acte de mariage de Catherine Moitié et Désiré Viger, 1667
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Pouvez-vous trouver la phrase suivante : « Les trois bans publiés auparavant sans opposition. » Que pensez-vous que cela signifie?
Réponse : Les bans de mariage représentaient l’annonce publique d’un mariage à venir dans une église catholique. Ils étaient lus par le prêtre d’une paroisse pendant la messe au cours de trois dimanches d’affilée avant le mariage, ou imprimés et affichés dans un endroit public.
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Lisez cet acte de mariage. Que nous apprend-il à propos de Catherine Moitié et de Désiré Viger? Que ne nous dit-il pas? Que pensez-vous qu’il manque dans ce document historique?
PENSER
Pour comprendre les sources historiques primaires, comme cet acte de mariage, il est important d’avoir un peu de contexte. Lisez quelques renseignements contextuels fournis dans ce dossier. Utilisez ces renseignements et ce que vous connaissez déjà sur la vie en Nouvelle-France pour répondre aux questions suivantes :
- Quel était le type de société à l’époque où ce document a été rédigé? Quelles valeurs étaient considérées comme étant importantes?
- À quoi ressemblait la vie pour les gens sur lesquels porte ce document? En quoi était-elle semblable ou différente à votre vie?
- Comment pensez-vous que les gens percevaient le mariage?
Précisions
Date 1667
Matériaux - Papier
Transcription
Le 19 septembre 1667, a été entrepris et célébré le mariage de Désiré Viger, domestique de M. Le Moine, fils de Nicolas Viger et Robine Fessart, de la paroisse de Saint-Saveur de Rouen [France] avec Catherine Moitié, également domestique de M. Le Moine, fille de feu Jacques Moitié, sergent royal de La Rochelle [France], et de Françoise Langevin, de la paroisse de Ste. Marguerite de la Rochelle. Les trois bans de mariage ont été publiés sans opposition. Le mariage a eu lieu en présence de Jacques Le Moine, gardien de cette paroisse; de M. François Ferand, lieutenant-aide-major du régiment de Carignan-Salières; de Michel Messier, un habitant; de René Fezeret; de Pierre Caille, un tailleur; de Susane Guillband, veuve de Claude Fezeret et cousine dudit Moitié; de Marie LeBer, sa fille; et Geneviève Laisne, tous amis communs desdites parties, qui ont déclaré ne pas pouvoir signer leur nom.
J. Le Moyne
Ferand
Michel Messier
René Fezeret
Pierre Caille
S. Guillband
Laisne
G. Perot, prêtre
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Ceci est l’acte de mariage entre Catherine Moitié et Désiré Viger, en 1667.
- Les actes de mariage peuvent en révéler beaucoup sur les gens et les coutumes de la Nouvelle-France.
- Au xviiesiècle, les personnes qui voulaient se marier devaient annoncer leur plan à l’église trois semaines d’affilée.
Ce document est un acte de mariage entre Catherine Moitié et Désiré Viger, qui a eu lieu le 19 septembre 1667. Il nous raconte qui était le couple l’endroit où il travaillait. Il précise que le mariage a été annoncé, ainsi que l’exigeait la loi.
Des documents comme cet acte de mariage peuvent en révéler beaucoup sur les gens et les coutumes de la Nouvelle-France.
Cet acte de mariage entre Catherine Moitié et Désiré Viger date du 19 septembre 1667. Le document décrit qui était le couple et l’endroit où il travaillait. Il précise également que les trois bans de mariage ont été publiés conformément au droit français et aux règles catholiques. Il énumère la liste des membres de la famille et des proches qui ont assisté au mariage.
De tels documents sont essentiels à notre compréhension du passé. En les consultant, nous pouvons retracer l’histoire des gens et en apprendre davantage sur leurs coutumes sociales.
- Ceci est l’acte de mariage entre Catherine Moitié et Désiré Viger, en 1667.
- Les actes de mariage peuvent en révéler beaucoup sur les gens et les coutumes de la Nouvelle-France.
- Au xviiesiècle, les personnes qui voulaient se marier devaient annoncer leur plan à l’église trois semaines d’affilée.
Ce document est un acte de mariage entre Catherine Moitié et Désiré Viger, qui a eu lieu le 19 septembre 1667. Il nous raconte qui était le couple l’endroit où il travaillait. Il précise que le mariage a été annoncé, ainsi que l’exigeait la loi.
Des documents comme cet acte de mariage peuvent en révéler beaucoup sur les gens et les coutumes de la Nouvelle-France.
Cet acte de mariage entre Catherine Moitié et Désiré Viger date du 19 septembre 1667. Le document décrit qui était le couple et l’endroit où il travaillait. Il précise également que les trois bans de mariage ont été publiés conformément au droit français et aux règles catholiques. Il énumère la liste des membres de la famille et des proches qui ont assisté au mariage.
De tels documents sont essentiels à notre compréhension du passé. En les consultant, nous pouvons retracer l’histoire des gens et en apprendre davantage sur leurs coutumes sociales.
Sommaire
- Ceci est l’acte de mariage entre Catherine Moitié et Désiré Viger, en 1667.
- Les actes de mariage peuvent en révéler beaucoup sur les gens et les coutumes de la Nouvelle-France.
- Au xviiesiècle, les personnes qui voulaient se marier devaient annoncer leur plan à l’église trois semaines d’affilée.
Éléments essentiels
Ce document est un acte de mariage entre Catherine Moitié et Désiré Viger, qui a eu lieu le 19 septembre 1667. Il nous raconte qui était le couple l’endroit où il travaillait. Il précise que le mariage a été annoncé, ainsi que l’exigeait la loi.
Des documents comme cet acte de mariage peuvent en révéler beaucoup sur les gens et les coutumes de la Nouvelle-France.
Description exhaustive
Cet acte de mariage entre Catherine Moitié et Désiré Viger date du 19 septembre 1667. Le document décrit qui était le couple et l’endroit où il travaillait. Il précise également que les trois bans de mariage ont été publiés conformément au droit français et aux règles catholiques. Il énumère la liste des membres de la famille et des proches qui ont assisté au mariage.
De tels documents sont essentiels à notre compréhension du passé. En les consultant, nous pouvons retracer l’histoire des gens et en apprendre davantage sur leurs coutumes sociales.