Arbre généalogique
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Regardez attentivement cet arbre généalogique. Indiquez de trois à cinq choses qu’il nous apprend.
Réponse : Nous pouvons apprendre combien d’enfants, de petits-enfants puis de descendantes et de descendants Catherine a eu. Nous pouvons aussi voir la taille des familles d’une génération à l’autre, l’impact que peut avoir une seule personne et combien de personnes étaient nommées.
PENSER
Pourquoi pensez-vous que Catherine et Désiré ont eu 10 enfants? Utilisez vos connaissances sur la santé, la vie sociale et la culture en Nouvelle-France pour justifier vos réponses. Lisez les renseignements supplémentaires dans ce dossier comme point de départ.
FAIRE
Faites votre arbre généalogique. En plus d’y mettre les membres de votre famille, ajoutez des personnes qui ont eu une influence sur vous, qui ont été source d’inspiration et qui vous ont offert leur aide. Faites preuve de créativité dans la façon dont vous ajouterez ces personnes importantes à votre arbre généalogique.
Précisions
Date S. O. 
Matériaux Transcription
Tableau de descendance
Catherine Moitié et Désiré Viger
| 1re génération
1. MOITIÉ Catherine VIGER Désiré (Premier époux / First husband)
POIRIER Jean-Baptiste (Second époux / Second husband)
2e génération 11 enfants
1a.1 VIGER Charles 1a.2 VIGER Marie Noëlle 1a.3 VIGER Jacques 1a.4 VIGER Catherine 1a.5 VIGER Marie Marthe Françoise (Sans enfant) 1a.6 VIGER Madeleine (Sans enfant) 1a.7 VIGER François 1a.8 VIGER Marie Madeleine 1a.9 VIGER Louis 1a.10 VIGER Maurice 1b.11 POIRIER LAJEUNESSE Sans nom(Sans enfant)
|
| 3e génération
65 enfants
1a.1 VIGER Charles 11 enfants 1a.1.1 VIGER Françoise 1a.1.2 VIGER Charles 1a.1.3 VIGER Marie Louise 1a.1.4 VIGER François 1a.1.5 VIGER Charles Michel 1a.1.6 VIGER René 1a.1.7 VIGER Joseph 1a.1.8 VIGER Marie Thérèse 1a.1.9 VIGER Catherine 1a.1.10 VIGER Marie Josèphe 1a.1.11 VIGER Antoine
1a.2 VIGER Marie Noëlla 11 enfants 1a.2a.1 LEDUC Joseph 1a.2b.2 PÉRINAU LAMARCHE Toussaint 1a.2b.3 PÉRINAU LAMARCHE Jeanne 1a.2b.4 PÉRINAU LAMARCHE Marie Catherine 1a.2b.5 PÉRINAU LAMARCHE Marie 1a.2b.6 PÉRINAU LAMARCHE Jacques 1a.2b.7 PÉRINAU LAMARCHE Marie Angélique 1a.2b.8 PÉRINAU LAMARCHE Jean Baptiste 1a.2b.9 PÉRINAU LAMARCHE Charles 1a.2b.10 PÉRINAU LAMARCHE Marie Louise 1a.2b.11 PÉRINAU LAMARCHE Marie Josèphe
1a.3 VIGER Jacques 10 enfants 1a.3.1 VIGER Jacques 1a.3.2 VIGER Marie Madeleine Antoinette (Sans enfant) 1a.3.3 VIGER Marie Josèphe 1a.3.4 VIGER Geneviève 1a.3.5 VIGER Marie Thérèse 1a.3.6 VIGER Marie Charlotte 1a.3.7 VIGER Denis 1a.3.8 VIGER Marie Barbe (Sans enfant) 1a.3.9 VIGER Jean Louis (Sans enfant) 1a.3.10 VIGER Marie Charlotte (Sans enfant)
1a.4 VIGER Catherine 14 enfants 1a.4.1a POIRIER Jean Baptiste 1a.4.2 POIRIER Marie Catherine (Sans enfant) 1a.4.3a POIRIER François 1a.4.3b POIRIER François (Sans enfant) 1a.4.4 POIRIER Marie Madeleine 1a.4.5 POIRIER Joseph 1a.4.6 POIRIER Sans nom(Sans enfant) 1a.4.7 POIRIER Pierre 1a.4.8 POIRIER Charles 1a.4.9 POIRIER Marie Josèphe 1a.4.10 POIRIER Louise 1a.4.11 POIRIER Louis 1a.4.12 POIRIER Jacques 1a.4.13 POIRIER Daniel 1a.4.14 POIRIER Sans nom
1a.7 VIGER François 13 enfants 1a.7.1 VIGER Françoise 1a.7.2 VIGER Marie Madeleine 1a.7.3 VIGER Sans nom (Sans enfant) 1a.7.4 VIGER Jean Baptiste 1a.7.5 VIGER François 1a.7.6 VIGER Marie Charlotte Charles 1a.7.7 VIGER Jean Baptiste 1a.7.8 VIGER Marie Josèphe 1a.7.9 VIGER Michel 1a.7.10 VIGER Jean (Sans enfant) 1a.7.11 VIGER Bonaventure 1a.7.12 VIGER Louis 1a.7.13 VIGER Catherine
1a.8 VIGER Marie Madeleine 4 enfants 1a.8.1 LAPORTE Sans nom (Sans enfant) 1a.8.2 LAPORTE Marie Madeleine (Sans enfant) 1a.8.3 LAPORTE Sans nom (Sans enfant) 1a.8.4 LAPORTE Marie Véronique
1a.9 VIGER Louis 2 enfants 1a.9.1 VIGER Augustin 1a.9.2 VIGER Marianne |
| 4e génération
344 enfants |
| 5e génération
228 enfants nés avant 1764 |
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Les Filles du roi étaient des femmes parrainées par le roi pour se rendre dans la colonie de la Nouvelle-France.
- Cet arbre généalogique représente 600 descendantes et descendants de Catherine Moitié, Fille du roi.
- Aujourd’hui, des centaines de milliers de personnes en Amérique du Nord descendent de femmes, comme Catherine, venues en Nouvelle‑France pour se marier et fonder une famille.
Cet arbre généalogique retrace cinq générations et plus de 600 descendantes et descendants de Catherine Moitié. De nos jours, des centaines de milliers de personnes en Amérique du Nord comptent une ou plusieurs Filles du roi parmi leurs ancêtres.
Les Filles du roi étaient des femmes parrainées par le roi de France afin de rendre dans la colonie de la Nouvelle-France. Comme ces femmes – environ 800 – avaient généralement de cinq à sept enfants, la population a rapidement augmenté, comme le montre cet arbre généalogique.
Les hivers étaient plus rigoureux qu’en France, mais les habitantes et les habitants pouvaient mieux se nourrir et disposaient d’une plus grande liberté par rapport aux classes supérieures. Les deuxième et troisième générations se sont forgé une identité propre, se faisant connaitre sous le nom de Canadiennes et de Canadiens.
Cet arbre généalogique retrace cinq générations et plus de 600 descendantes et descendants de Catherine Moitié. De nos jours, des centaines de milliers de personnes en Amérique du Nord comptent une ou plusieurs Filles du roi parmi leurs ancêtres.
Bien que peu de femmes aient immigré en Nouvelle-France, le taux de natalité élevé de la colonie a contribué à la rapide expansion de la population. Au temps de la Nouvelle‑France, une femme avait en moyenne cinq à sept enfants au cours de sa vie, un taux de natalité dépassant celui des femmes en Europe.
Les habitantes et les habitants de la Nouvelle-France avaient un mode de vie fort différent de celui qui prévalait en Europe, devant affronter des hivers froids et rigoureux. Les gens avaient toutefois une meilleure alimentation et disposaient d’une plus grande liberté par rapport aux classes supérieures. Les deuxième et troisième générations se sont forgé une identité propre, se faisant connaitre sous le nom de Canadiennes et de Canadiens.
- Les Filles du roi étaient des femmes parrainées par le roi pour se rendre dans la colonie de la Nouvelle-France.
- Cet arbre généalogique représente 600 descendantes et descendants de Catherine Moitié, Fille du roi.
- Aujourd’hui, des centaines de milliers de personnes en Amérique du Nord descendent de femmes, comme Catherine, venues en Nouvelle‑France pour se marier et fonder une famille.
Cet arbre généalogique retrace cinq générations et plus de 600 descendantes et descendants de Catherine Moitié. De nos jours, des centaines de milliers de personnes en Amérique du Nord comptent une ou plusieurs Filles du roi parmi leurs ancêtres.
Les Filles du roi étaient des femmes parrainées par le roi de France afin de rendre dans la colonie de la Nouvelle-France. Comme ces femmes – environ 800 – avaient généralement de cinq à sept enfants, la population a rapidement augmenté, comme le montre cet arbre généalogique.
Les hivers étaient plus rigoureux qu’en France, mais les habitantes et les habitants pouvaient mieux se nourrir et disposaient d’une plus grande liberté par rapport aux classes supérieures. Les deuxième et troisième générations se sont forgé une identité propre, se faisant connaitre sous le nom de Canadiennes et de Canadiens.
Cet arbre généalogique retrace cinq générations et plus de 600 descendantes et descendants de Catherine Moitié. De nos jours, des centaines de milliers de personnes en Amérique du Nord comptent une ou plusieurs Filles du roi parmi leurs ancêtres.
Bien que peu de femmes aient immigré en Nouvelle-France, le taux de natalité élevé de la colonie a contribué à la rapide expansion de la population. Au temps de la Nouvelle‑France, une femme avait en moyenne cinq à sept enfants au cours de sa vie, un taux de natalité dépassant celui des femmes en Europe.
Les habitantes et les habitants de la Nouvelle-France avaient un mode de vie fort différent de celui qui prévalait en Europe, devant affronter des hivers froids et rigoureux. Les gens avaient toutefois une meilleure alimentation et disposaient d’une plus grande liberté par rapport aux classes supérieures. Les deuxième et troisième générations se sont forgé une identité propre, se faisant connaitre sous le nom de Canadiennes et de Canadiens.
Sommaire
- Les Filles du roi étaient des femmes parrainées par le roi pour se rendre dans la colonie de la Nouvelle-France.
- Cet arbre généalogique représente 600 descendantes et descendants de Catherine Moitié, Fille du roi.
- Aujourd’hui, des centaines de milliers de personnes en Amérique du Nord descendent de femmes, comme Catherine, venues en Nouvelle‑France pour se marier et fonder une famille.
Éléments essentiels
Cet arbre généalogique retrace cinq générations et plus de 600 descendantes et descendants de Catherine Moitié. De nos jours, des centaines de milliers de personnes en Amérique du Nord comptent une ou plusieurs Filles du roi parmi leurs ancêtres.
Les Filles du roi étaient des femmes parrainées par le roi de France afin de rendre dans la colonie de la Nouvelle-France. Comme ces femmes – environ 800 – avaient généralement de cinq à sept enfants, la population a rapidement augmenté, comme le montre cet arbre généalogique.
Les hivers étaient plus rigoureux qu’en France, mais les habitantes et les habitants pouvaient mieux se nourrir et disposaient d’une plus grande liberté par rapport aux classes supérieures. Les deuxième et troisième générations se sont forgé une identité propre, se faisant connaitre sous le nom de Canadiennes et de Canadiens.
Description exhaustive
Cet arbre généalogique retrace cinq générations et plus de 600 descendantes et descendants de Catherine Moitié. De nos jours, des centaines de milliers de personnes en Amérique du Nord comptent une ou plusieurs Filles du roi parmi leurs ancêtres.
Bien que peu de femmes aient immigré en Nouvelle-France, le taux de natalité élevé de la colonie a contribué à la rapide expansion de la population. Au temps de la Nouvelle‑France, une femme avait en moyenne cinq à sept enfants au cours de sa vie, un taux de natalité dépassant celui des femmes en Europe.
Les habitantes et les habitants de la Nouvelle-France avaient un mode de vie fort différent de celui qui prévalait en Europe, devant affronter des hivers froids et rigoureux. Les gens avaient toutefois une meilleure alimentation et disposaient d’une plus grande liberté par rapport aux classes supérieures. Les deuxième et troisième générations se sont forgé une identité propre, se faisant connaitre sous le nom de Canadiennes et de Canadiens.