Carte du gouvernement de Québec, 1709
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Regardez attentivement les parcelles de terre sur cette carte. Leur forme est-elle familière? Pourquoi pensez-vous qu’elles étaient divisées en bandes longues et étroites?
Réponse : Les terres étaient divisées en longues bandes de terres étroites afin qu’elles bénéficient toutes d’un accès au fleuve Saint-Laurent.
FAIRE
Cherchez « Île d’Orléans, Québec » sur Google Maps. Activez l’affichage satellite. Comparez la carte moderne avec celle d’autrefois. Dressez une liste des différences et des similitudes entre les deux.
Activité supplémentaire : Utilisez Street View de Google pour faire une « visite » de la région. Qu’est-ce qui a changé depuis 1709, selon vous? Qu’est-ce qui n’a pas changé?
Précisions
- Papier
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Le gouvernement français donnait des terres en Nouvelle‑France à d’importantes personnes, dont des dirigeants militaires ou des chefs de groupes religieux.
- Ces nouveaux propriétaires fonciers divisaient les terres et les louaient. Cela encourageait des gens à s’établir sur les terres.
- Comme l’accès au fleuve Saint-Laurent était important, la plupart des terres étaient longues et étroites afin qu’elles bénéficient toutes d’un petit bout de rive.
- De nos jours, on peut toujours apercevoir ces terres du haut du ciel.
Cette carte de 1709 illustre les différentes parcelles de terres occupées par les colons, désignés sous le nom d’habitantes et d’habitants, près de Québec.
À cette époque, le gouvernement français donnait des terres en Nouvelle‑France à d’importantes personnes. Ces seigneurs, ou lords, louaient ensuite des parcelles de leurs terres à des gens afin de les cultiver.
Les bandes de terres longues et étroites bénéficiaient toutes d’un accès à l’eau du fleuve Saint-Laurent. Si vous survolez cette région, vous pouvez toujours apercevoir d’étroites parcelles.
Cette carte de 1709 illustre les différentes parcelles de terres occupées par les habitantes et les habitants près de Québec.
Pour favoriser la colonisation, le gouvernement récompensait d’éminents citoyens (pour la plupart des officiers militaires et des chefs de communautés religieuses) en leur donnant des terres en Nouvelle‑France. Ces nouveaux seigneurs, ou lords, louaient des parties de leurs terres à des colons, appelés habitantes et habitants. Les frais, payés en espèces ou en nature, étaient très modestes.
Le gouvernement encourageait aussi les habitantes et les habitants à se marier et à fonder une famille en recourant à diverses mesures. La Nouvelle-France, comme toute société européenne à l’époque, était très hiérarchisée. Considérés comme étant supérieurs aux personnes qui vivaient et travaillaient sur leurs terres, les seigneurs appartenaient à une élite fortunée.
Les terres étaient divisées en longues bandes étroites afin qu’elles bénéficient toutes d’un accès au fleuve Saint-Laurent. Ce découpage facilitait le transport et les communications. Il reflétait non seulement le mode de concession des terres du régime seigneurial, mais aussi les efforts d’adaptation à la géographie locale.
De nous jours, si vous survolez la vallée du Saint-Laurent, vous pouvez toujours apercevoir ces bandes de terres longues et étroites.
- Le gouvernement français donnait des terres en Nouvelle‑France à d’importantes personnes, dont des dirigeants militaires ou des chefs de groupes religieux.
- Ces nouveaux propriétaires fonciers divisaient les terres et les louaient. Cela encourageait des gens à s’établir sur les terres.
- Comme l’accès au fleuve Saint-Laurent était important, la plupart des terres étaient longues et étroites afin qu’elles bénéficient toutes d’un petit bout de rive.
- De nos jours, on peut toujours apercevoir ces terres du haut du ciel.
Cette carte de 1709 illustre les différentes parcelles de terres occupées par les colons, désignés sous le nom d’habitantes et d’habitants, près de Québec.
À cette époque, le gouvernement français donnait des terres en Nouvelle‑France à d’importantes personnes. Ces seigneurs, ou lords, louaient ensuite des parcelles de leurs terres à des gens afin de les cultiver.
Les bandes de terres longues et étroites bénéficiaient toutes d’un accès à l’eau du fleuve Saint-Laurent. Si vous survolez cette région, vous pouvez toujours apercevoir d’étroites parcelles.
Cette carte de 1709 illustre les différentes parcelles de terres occupées par les habitantes et les habitants près de Québec.
Pour favoriser la colonisation, le gouvernement récompensait d’éminents citoyens (pour la plupart des officiers militaires et des chefs de communautés religieuses) en leur donnant des terres en Nouvelle‑France. Ces nouveaux seigneurs, ou lords, louaient des parties de leurs terres à des colons, appelés habitantes et habitants. Les frais, payés en espèces ou en nature, étaient très modestes.
Le gouvernement encourageait aussi les habitantes et les habitants à se marier et à fonder une famille en recourant à diverses mesures. La Nouvelle-France, comme toute société européenne à l’époque, était très hiérarchisée. Considérés comme étant supérieurs aux personnes qui vivaient et travaillaient sur leurs terres, les seigneurs appartenaient à une élite fortunée.
Les terres étaient divisées en longues bandes étroites afin qu’elles bénéficient toutes d’un accès au fleuve Saint-Laurent. Ce découpage facilitait le transport et les communications. Il reflétait non seulement le mode de concession des terres du régime seigneurial, mais aussi les efforts d’adaptation à la géographie locale.
De nous jours, si vous survolez la vallée du Saint-Laurent, vous pouvez toujours apercevoir ces bandes de terres longues et étroites.
Sommaire
- Le gouvernement français donnait des terres en Nouvelle‑France à d’importantes personnes, dont des dirigeants militaires ou des chefs de groupes religieux.
- Ces nouveaux propriétaires fonciers divisaient les terres et les louaient. Cela encourageait des gens à s’établir sur les terres.
- Comme l’accès au fleuve Saint-Laurent était important, la plupart des terres étaient longues et étroites afin qu’elles bénéficient toutes d’un petit bout de rive.
- De nos jours, on peut toujours apercevoir ces terres du haut du ciel.
Éléments essentiels
Cette carte de 1709 illustre les différentes parcelles de terres occupées par les colons, désignés sous le nom d’habitantes et d’habitants, près de Québec.
À cette époque, le gouvernement français donnait des terres en Nouvelle‑France à d’importantes personnes. Ces seigneurs, ou lords, louaient ensuite des parcelles de leurs terres à des gens afin de les cultiver.
Les bandes de terres longues et étroites bénéficiaient toutes d’un accès à l’eau du fleuve Saint-Laurent. Si vous survolez cette région, vous pouvez toujours apercevoir d’étroites parcelles.
Description exhaustive
Cette carte de 1709 illustre les différentes parcelles de terres occupées par les habitantes et les habitants près de Québec.
Pour favoriser la colonisation, le gouvernement récompensait d’éminents citoyens (pour la plupart des officiers militaires et des chefs de communautés religieuses) en leur donnant des terres en Nouvelle‑France. Ces nouveaux seigneurs, ou lords, louaient des parties de leurs terres à des colons, appelés habitantes et habitants. Les frais, payés en espèces ou en nature, étaient très modestes.
Le gouvernement encourageait aussi les habitantes et les habitants à se marier et à fonder une famille en recourant à diverses mesures. La Nouvelle-France, comme toute société européenne à l’époque, était très hiérarchisée. Considérés comme étant supérieurs aux personnes qui vivaient et travaillaient sur leurs terres, les seigneurs appartenaient à une élite fortunée.
Les terres étaient divisées en longues bandes étroites afin qu’elles bénéficient toutes d’un accès au fleuve Saint-Laurent. Ce découpage facilitait le transport et les communications. Il reflétait non seulement le mode de concession des terres du régime seigneurial, mais aussi les efforts d’adaptation à la géographie locale.
De nous jours, si vous survolez la vallée du Saint-Laurent, vous pouvez toujours apercevoir ces bandes de terres longues et étroites.