Demandes présentées au gouvernement fédéral par le Comité d’action gai
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En quoi la liste des 10 demandes reflète-t-elle les limites de l’égalité, telles qu’elles sont décrites dans le projet de loi omnibus?
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Relisez la liste des 10 exigences et réécrivez-les dans vos propres mots.
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- Papier
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- La manifestation de 1971 « Nous exigeons » a présenté 10 demandes au gouvernement fédéral.
- Bon nombre de ces demandes concernaient des dispositions du Code pénal et d’autres textes législatifs qui continuaient à discriminer les personnes2ELGBTQIA+, malgré la dépénalisation partielle de l’homosexualité amenée par la Loi omnibus de 1969.
- Aujourd’hui, la plupart des 10 demandes ont été satisfaites, mais des obstacles à l’égalité pour les personnes 2ELGBTQIA+ au Canada subsistent.
La Loi omnibus de 1969 a apporté des réformes limitées aux éléments du système juridique canadien qui avaient stigmatisé et criminalisé la sexualité des personnes 2ELGBTQIA+. Toutefois, de nombreuses dispositions et politiques gouvernementales discriminatoires sont restées en place.
En 1971, une coalition de groupes 2ELGBTQIA+ au Canada s’est réunie pour rédiger un manifeste (connu sous le nom de « Nous exigeons ») appelant à 10 changements législatifs et politiques spécifiques.
Les responsables ont programmé une manifestation sur la colline du Parlement à Ottawa le 28 aout 1971, date anniversaire de la Loi omnibus. Une autre manifestation de soutien à l’action menée à Ottawa a eu lieu à Vancouver le même jour.
Aujourd’hui, la plupart des 10 appels à l’action lancés dans « Nous exigeons » ont été entendus, même si des obstacles structurels et sociaux à l’égalité totale subsistent.
La Loi omnibus de 1969 a apporté des réformes limitées aux éléments du système juridique canadien qui avaient stigmatisé et criminalisé la sexualité des personnes 2ELGBTQIA+. Toutefois, de nombreuses dispositions et politiques gouvernementales discriminatoires sont restées en place.
En 1971, une coalition de groupes 2ELGBTQIA+ au Canada s’est réunie pour rédiger un manifeste (connu sous le nom de « Nous exigeons ») appelant à des changements législatifs et politiques spécifiques.
Les responsables ont programmé une manifestation sur la colline du Parlement à Ottawa le 28 aout 1971, date anniversaire de la Loi omnibus. Leur objectif était de porter leurs demandes de réforme directement au siège du gouvernement. Une autre manifestation de soutien à l’action menée à Ottawa a eu lieu à Vancouver le même jour.
Prenant la parole lors de la manifestation à Ottawa, le jeune militant Charles (Charlie) Hill a déclaré : « Nous n’acceptons plus de remercier tranquillement notre gouvernement pour les quelques miettes qu’il nous accorde à contrecœur. Nous sommes ici pour exiger l’égalité totale. […] Nous sommes ici aujourd’hui pour affirmer notre fierté. Dire que nous sommes des personnes homosexuelles et fières de l’être. Nous nous rassemblons et nous nous unissons pour manifester notre propre pouvoir en tant que personnes gaies. »
Aujourd’hui, la plupart des 10 appels à l’action lancés dans « Nous exigeons » ont été entendus, même si des obstacles structurels et sociaux à l’égalité totale subsistent.
- La manifestation de 1971 « Nous exigeons » a présenté 10 demandes au gouvernement fédéral.
- Bon nombre de ces demandes concernaient des dispositions du Code pénal et d’autres textes législatifs qui continuaient à discriminer les personnes2ELGBTQIA+, malgré la dépénalisation partielle de l’homosexualité amenée par la Loi omnibus de 1969.
- Aujourd’hui, la plupart des 10 demandes ont été satisfaites, mais des obstacles à l’égalité pour les personnes 2ELGBTQIA+ au Canada subsistent.
La Loi omnibus de 1969 a apporté des réformes limitées aux éléments du système juridique canadien qui avaient stigmatisé et criminalisé la sexualité des personnes 2ELGBTQIA+. Toutefois, de nombreuses dispositions et politiques gouvernementales discriminatoires sont restées en place.
En 1971, une coalition de groupes 2ELGBTQIA+ au Canada s’est réunie pour rédiger un manifeste (connu sous le nom de « Nous exigeons ») appelant à 10 changements législatifs et politiques spécifiques.
Les responsables ont programmé une manifestation sur la colline du Parlement à Ottawa le 28 aout 1971, date anniversaire de la Loi omnibus. Une autre manifestation de soutien à l’action menée à Ottawa a eu lieu à Vancouver le même jour.
Aujourd’hui, la plupart des 10 appels à l’action lancés dans « Nous exigeons » ont été entendus, même si des obstacles structurels et sociaux à l’égalité totale subsistent.
La Loi omnibus de 1969 a apporté des réformes limitées aux éléments du système juridique canadien qui avaient stigmatisé et criminalisé la sexualité des personnes 2ELGBTQIA+. Toutefois, de nombreuses dispositions et politiques gouvernementales discriminatoires sont restées en place.
En 1971, une coalition de groupes 2ELGBTQIA+ au Canada s’est réunie pour rédiger un manifeste (connu sous le nom de « Nous exigeons ») appelant à des changements législatifs et politiques spécifiques.
Les responsables ont programmé une manifestation sur la colline du Parlement à Ottawa le 28 aout 1971, date anniversaire de la Loi omnibus. Leur objectif était de porter leurs demandes de réforme directement au siège du gouvernement. Une autre manifestation de soutien à l’action menée à Ottawa a eu lieu à Vancouver le même jour.
Prenant la parole lors de la manifestation à Ottawa, le jeune militant Charles (Charlie) Hill a déclaré : « Nous n’acceptons plus de remercier tranquillement notre gouvernement pour les quelques miettes qu’il nous accorde à contrecœur. Nous sommes ici pour exiger l’égalité totale. […] Nous sommes ici aujourd’hui pour affirmer notre fierté. Dire que nous sommes des personnes homosexuelles et fières de l’être. Nous nous rassemblons et nous nous unissons pour manifester notre propre pouvoir en tant que personnes gaies. »
Aujourd’hui, la plupart des 10 appels à l’action lancés dans « Nous exigeons » ont été entendus, même si des obstacles structurels et sociaux à l’égalité totale subsistent.
Sommaire
- La manifestation de 1971 « Nous exigeons » a présenté 10 demandes au gouvernement fédéral.
- Bon nombre de ces demandes concernaient des dispositions du Code pénal et d’autres textes législatifs qui continuaient à discriminer les personnes2ELGBTQIA+, malgré la dépénalisation partielle de l’homosexualité amenée par la Loi omnibus de 1969.
- Aujourd’hui, la plupart des 10 demandes ont été satisfaites, mais des obstacles à l’égalité pour les personnes 2ELGBTQIA+ au Canada subsistent.
Éléments essentiels
La Loi omnibus de 1969 a apporté des réformes limitées aux éléments du système juridique canadien qui avaient stigmatisé et criminalisé la sexualité des personnes 2ELGBTQIA+. Toutefois, de nombreuses dispositions et politiques gouvernementales discriminatoires sont restées en place.
En 1971, une coalition de groupes 2ELGBTQIA+ au Canada s’est réunie pour rédiger un manifeste (connu sous le nom de « Nous exigeons ») appelant à 10 changements législatifs et politiques spécifiques.
Les responsables ont programmé une manifestation sur la colline du Parlement à Ottawa le 28 aout 1971, date anniversaire de la Loi omnibus. Une autre manifestation de soutien à l’action menée à Ottawa a eu lieu à Vancouver le même jour.
Aujourd’hui, la plupart des 10 appels à l’action lancés dans « Nous exigeons » ont été entendus, même si des obstacles structurels et sociaux à l’égalité totale subsistent.
Description exhaustive
La Loi omnibus de 1969 a apporté des réformes limitées aux éléments du système juridique canadien qui avaient stigmatisé et criminalisé la sexualité des personnes 2ELGBTQIA+. Toutefois, de nombreuses dispositions et politiques gouvernementales discriminatoires sont restées en place.
En 1971, une coalition de groupes 2ELGBTQIA+ au Canada s’est réunie pour rédiger un manifeste (connu sous le nom de « Nous exigeons ») appelant à des changements législatifs et politiques spécifiques.
Les responsables ont programmé une manifestation sur la colline du Parlement à Ottawa le 28 aout 1971, date anniversaire de la Loi omnibus. Leur objectif était de porter leurs demandes de réforme directement au siège du gouvernement. Une autre manifestation de soutien à l’action menée à Ottawa a eu lieu à Vancouver le même jour.
Prenant la parole lors de la manifestation à Ottawa, le jeune militant Charles (Charlie) Hill a déclaré : « Nous n’acceptons plus de remercier tranquillement notre gouvernement pour les quelques miettes qu’il nous accorde à contrecœur. Nous sommes ici pour exiger l’égalité totale. […] Nous sommes ici aujourd’hui pour affirmer notre fierté. Dire que nous sommes des personnes homosexuelles et fières de l’être. Nous nous rassemblons et nous nous unissons pour manifester notre propre pouvoir en tant que personnes gaies. »
Aujourd’hui, la plupart des 10 appels à l’action lancés dans « Nous exigeons » ont été entendus, même si des obstacles structurels et sociaux à l’égalité totale subsistent.