Extrait de la vidéo avec Pauline Julien
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Regardez l’extrait vidéo de Pauline Julien décrivant l’arrestation de sa sœur, de ses enfants et de leurs camarades. Quels sont les points clés de la vidéo?
PENSER
Pensez-vous qu’il était justifié pour le gouvernement d’arrêter Pauline Julien? Et d’arrêter sa famille et ses proches? Expliquez votre opinion en utilisant les preuves fournies sur ce sujet.
PENSER
Des centaines de personnes ont été arrêtées au Québec après l’entrée en vigueur de la Loi sur les mesures de guerre. Pensez-vous qu’il était justifié pour le gouvernement d’arrêter des personnes qui avaient des opinions contraires, mais qui n’avaient pas réellement commis de crimes?
FAIRE
Pauline Julien était une artiste et se passionnait pour de nombreuses questions politiques. Choisissez une question politique qui vous tient à cœur et créez une œuvre d’art, une chanson, un poème ou une danse pour transmettre vos convictions.
Précisions
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Lorsque la Loi sur les mesures de guerre a été invoquée, le 16 octobre 1970, plus de 500 personnes ont été arrêtées parce qu’elles étaient soupçonnées d’être associées au Front de libération du Québec (FLQ). Très peu de gens ont subi un procès et une poignée a été condamnée.
- Bon nombre d’artistes ont protesté contre les restrictions des libertés civiles, notamment la chanteuse et féministe Pauline Julien, connue pour son soutien à l’indépendance du Québec.
- Dans cet extrait vidéo, Pauline Julien décrit l’arrestation de sa sœur, de ses enfants et de leurs trois camarades après qu’elle ait été libérée de sa propre arrestation.
Lorsque la Loi sur les mesures de guerre a été invoquée, le 16 octobre 1970, plus de 500 personnes ont été arrêtées parce qu’elles étaient soupçonnées d’être associées au Front de libération du Québec (FLQ). Très peu de gens ont subi un procès et une poignée a été condamnée.
Pauline Julien (1928-1998), l’une des personnes arrêtées, était une chanteuse connue pour sa fougue, son féminisme et son appui à l’indépendance du Québec. Bon nombre d’artistes ont protesté contre les restrictions des libertés civiles de 1970. La plus célèbre chanson à ce sujet est L’alouette en colère, de Félix Leclerc.
Dans cet extrait vidéo, Pauline Julien décrit l’arrestation de sa sœur, de ses enfants et de leurs trois camarades après qu’elle ait été libérée de sa propre arrestation.
Dès le vendredi 16 octobre 1970, au moment de l’entrée en vigueur de la Loi sur les mesures de guerre, les forces policières ont lancé une série d’arrestations. Plus de 500 personnes ont été emprisonnées, certaines quelques heures, d’autres plusieurs mois, dans 13 prisons québécoises. La plus célèbre d’entre elles est le centre de détention Parthenais, siège de la Sûreté du Québec. Très peu de gens ont subi un procès et une poignée a été condamnée. La police a aussi effectué plus de 30 000 descentes à la recherche de membres du FLQ ou de personnes qui semblaient sympathiser avec leur cause.
Bon nombre d’artistes du Québec ont écrit des chansons pour protester contre les restrictions des libertés civiles de 1970. La plus célèbre d’entre elles est L’alouette en colère, de Félix Leclerc.
Pauline Julien (1928-1998), l’une des personnes arrêtées, était une chanteuse connue pour sa fougue, son féminisme et son appui à l’indépendance du Québec.
Son conjoint, le poète Gérald Godin (1938-1994), était aussi directeur des éditions Parti pris (qui avaient publié un manifeste rédigé par un membre du FLQ) et collaborateur de l’hebdomadaire populaire Québec-Presse.
Dans cet extrait vidéo, Pauline Julien décrit l’arrestation de sa sœur, de ses enfants et de leurs trois camarades après qu’elle ait été libérée de sa propre arrestation.
- Lorsque la Loi sur les mesures de guerre a été invoquée, le 16 octobre 1970, plus de 500 personnes ont été arrêtées parce qu’elles étaient soupçonnées d’être associées au Front de libération du Québec (FLQ). Très peu de gens ont subi un procès et une poignée a été condamnée.
- Bon nombre d’artistes ont protesté contre les restrictions des libertés civiles, notamment la chanteuse et féministe Pauline Julien, connue pour son soutien à l’indépendance du Québec.
- Dans cet extrait vidéo, Pauline Julien décrit l’arrestation de sa sœur, de ses enfants et de leurs trois camarades après qu’elle ait été libérée de sa propre arrestation.
Lorsque la Loi sur les mesures de guerre a été invoquée, le 16 octobre 1970, plus de 500 personnes ont été arrêtées parce qu’elles étaient soupçonnées d’être associées au Front de libération du Québec (FLQ). Très peu de gens ont subi un procès et une poignée a été condamnée.
Pauline Julien (1928-1998), l’une des personnes arrêtées, était une chanteuse connue pour sa fougue, son féminisme et son appui à l’indépendance du Québec. Bon nombre d’artistes ont protesté contre les restrictions des libertés civiles de 1970. La plus célèbre chanson à ce sujet est L’alouette en colère, de Félix Leclerc.
Dans cet extrait vidéo, Pauline Julien décrit l’arrestation de sa sœur, de ses enfants et de leurs trois camarades après qu’elle ait été libérée de sa propre arrestation.
Dès le vendredi 16 octobre 1970, au moment de l’entrée en vigueur de la Loi sur les mesures de guerre, les forces policières ont lancé une série d’arrestations. Plus de 500 personnes ont été emprisonnées, certaines quelques heures, d’autres plusieurs mois, dans 13 prisons québécoises. La plus célèbre d’entre elles est le centre de détention Parthenais, siège de la Sûreté du Québec. Très peu de gens ont subi un procès et une poignée a été condamnée. La police a aussi effectué plus de 30 000 descentes à la recherche de membres du FLQ ou de personnes qui semblaient sympathiser avec leur cause.
Bon nombre d’artistes du Québec ont écrit des chansons pour protester contre les restrictions des libertés civiles de 1970. La plus célèbre d’entre elles est L’alouette en colère, de Félix Leclerc.
Pauline Julien (1928-1998), l’une des personnes arrêtées, était une chanteuse connue pour sa fougue, son féminisme et son appui à l’indépendance du Québec.
Son conjoint, le poète Gérald Godin (1938-1994), était aussi directeur des éditions Parti pris (qui avaient publié un manifeste rédigé par un membre du FLQ) et collaborateur de l’hebdomadaire populaire Québec-Presse.
Dans cet extrait vidéo, Pauline Julien décrit l’arrestation de sa sœur, de ses enfants et de leurs trois camarades après qu’elle ait été libérée de sa propre arrestation.
Sommaire
- Lorsque la Loi sur les mesures de guerre a été invoquée, le 16 octobre 1970, plus de 500 personnes ont été arrêtées parce qu’elles étaient soupçonnées d’être associées au Front de libération du Québec (FLQ). Très peu de gens ont subi un procès et une poignée a été condamnée.
- Bon nombre d’artistes ont protesté contre les restrictions des libertés civiles, notamment la chanteuse et féministe Pauline Julien, connue pour son soutien à l’indépendance du Québec.
- Dans cet extrait vidéo, Pauline Julien décrit l’arrestation de sa sœur, de ses enfants et de leurs trois camarades après qu’elle ait été libérée de sa propre arrestation.
Éléments essentiels
Lorsque la Loi sur les mesures de guerre a été invoquée, le 16 octobre 1970, plus de 500 personnes ont été arrêtées parce qu’elles étaient soupçonnées d’être associées au Front de libération du Québec (FLQ). Très peu de gens ont subi un procès et une poignée a été condamnée.
Pauline Julien (1928-1998), l’une des personnes arrêtées, était une chanteuse connue pour sa fougue, son féminisme et son appui à l’indépendance du Québec. Bon nombre d’artistes ont protesté contre les restrictions des libertés civiles de 1970. La plus célèbre chanson à ce sujet est L’alouette en colère, de Félix Leclerc.
Dans cet extrait vidéo, Pauline Julien décrit l’arrestation de sa sœur, de ses enfants et de leurs trois camarades après qu’elle ait été libérée de sa propre arrestation.
Description exhaustive
Dès le vendredi 16 octobre 1970, au moment de l’entrée en vigueur de la Loi sur les mesures de guerre, les forces policières ont lancé une série d’arrestations. Plus de 500 personnes ont été emprisonnées, certaines quelques heures, d’autres plusieurs mois, dans 13 prisons québécoises. La plus célèbre d’entre elles est le centre de détention Parthenais, siège de la Sûreté du Québec. Très peu de gens ont subi un procès et une poignée a été condamnée. La police a aussi effectué plus de 30 000 descentes à la recherche de membres du FLQ ou de personnes qui semblaient sympathiser avec leur cause.
Bon nombre d’artistes du Québec ont écrit des chansons pour protester contre les restrictions des libertés civiles de 1970. La plus célèbre d’entre elles est L’alouette en colère, de Félix Leclerc.
Pauline Julien (1928-1998), l’une des personnes arrêtées, était une chanteuse connue pour sa fougue, son féminisme et son appui à l’indépendance du Québec.
Son conjoint, le poète Gérald Godin (1938-1994), était aussi directeur des éditions Parti pris (qui avaient publié un manifeste rédigé par un membre du FLQ) et collaborateur de l’hebdomadaire populaire Québec-Presse.
Dans cet extrait vidéo, Pauline Julien décrit l’arrestation de sa sœur, de ses enfants et de leurs trois camarades après qu’elle ait été libérée de sa propre arrestation.