Extrait d’une vidéo du professeur Anderson
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« Ne suivez pas son cours si rien ne vous y oblige. »
Pourquoi pensez-vous que ces mots étaient transmis par les universitaires d’origine africaine?
Quelle est votre interprétation de l’évaluation du professeur Anderson sur les universitaires originaires des Caraïbes? Pourquoi ces personnes considéraient-elles comme approprié de qualifier le professeur Anderson de « contrôleur de porte »?
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Citez deux exemples tirés de l’extrait vidéo qui démontrent que le groupe qui assistait au cours s’entendait bien et se respectait.
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Pouvez-vous vous souvenir d’un moment où une personne ou quelque chose vous a empêché d’offrir la meilleure version de vous-même? Comment avez-vous géré la situation?
Précisions
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Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Pour accéder au programme d’études en médecine à l’Université Sir-George-Williams, il était nécessaire de suivre le cours du professeur Anderson.
- L’évaluation injuste par le professeur Anderson des travaux réalisés par les personnes noires qui assistaient à son cours attestait de sa capacité à bloquer l’accès à la faculté de médecine, faisant de lui un contrôleur de porte.
- Les universitaires d’origine africaine faisaient les mêmes travaux, mais recevaient des notes inférieures.
- Dans le cours du professeur Anderson, des personnes d’origines européenne et africaine ont été témoins de traitements inéquitables.
- Les plaintes contre le professeur n’ont pas été prises au sérieux par l’administration universitaire.
- Cela a mené à une occupation des lieux d’une durée de 14 jours par un groupe étudiant diversifié, comprenant les six personnes à l’origine de la plainte.
Pour accéder au programme d’études en médecine à l’Université Sir-George-Williams, il était nécessaire de suivre le cours du professeur Anderson.
Les universitaires originaires des Caraïbes qui suivaient le cours du professeur Anderson aspiraient à entrer à la faculté de médecine, avec l’espoir de devenir médecins.
Le professeur Anderson jouait le rôle de contrôleur de porte de l’université. Ses actions étaient une attestation claire des obstacles et du racisme présents au sein de l’institution.
Le racisme du professeur Anderson a été mis au jour lorsque deux étudiants ont soumis le même travail et que les notes attribuées se sont révélées différentes, selon leur race.
Les plaintes contre le professeur pour discrimination ont été ignorées pendant 10 mois. Les membres de la communauté étudiante internationale ont eu l’impression que leurs préoccupations n’étaient pas prises au sérieux.
Les universitaires n’ont eu d’autre recours que de protester, organisant une occupation des lieux qui a duré 14 jours.
Les six étudiants qui avaient déposé la plainte ont été soutenus par d’autres universitaires d’origine européenne.
À la fin de l’occupation, plus de 20 personnes avaient été inculpées pour avoir endommagé le laboratoire d’informatique où l’occupation avait eu lieu.
Pour accéder au programme d’études en médecine à l’Université Sir-George-Williams, il était nécessaire de suivre le cours du professeur Anderson. Celui-ci était reconnu pour mépriser les personnes noires et originaires des Caraïbes qui suivaient son cours, et celles-ci se mettaient mutuellement en garde au moment d’y assister. Celles qui aspiraient à devenir médecins s’inscrivaient néanmoins à son cours avec l’espoir de réussir, en vain.
Le professeur Anderson s’était donné le rôle de contrôleur de porte de l’université, une attestation claire des obstacles et du racisme présents au sein de l’institution.
Les universitaires d’origine européenne avaient conscience des évaluations injustes du professeur Anderson à l’égard d’un certain nombre de leurs collègues.
Le racisme du professeur Anderson a été mis au jour lorsque deux étudiants ont soumis le même travail et que les notes attribuées se sont révélées différentes, selon leur race.
Six étudiants ont déposé une plainte contre le professeur pour discrimination, mais celle-ci a été ignorée pendant 10 mois. Le professeur Anderson n’a pas été confronté concernant la plainte et il n’a pas été inquiété.
L’enquête a été retardée à deux reprises et n’a pas été prise au sérieux par l’administration universitaire. La communauté étudiante s’est sentie trahie par leur université. Le mépris de celle-ci à l’égard des six étudiants internationaux à l’origine de la plainte ne leur a laissé d’autre choix que de protester. Une occupation des lieux s’est organisée. Celle-ci s’est faite en rotation et a duré 14 jours. Les six étudiants qui ont déposé la plainte ont été soutenus par d’autres universitaires d’origine européenne. Lorsque l’occupation a pris fin, plus de 20 personnes avaient été inculpées pour avoir endommagé le laboratoire d’informatique où avait eu lieu l’occupation.
- Pour accéder au programme d’études en médecine à l’Université Sir-George-Williams, il était nécessaire de suivre le cours du professeur Anderson.
- L’évaluation injuste par le professeur Anderson des travaux réalisés par les personnes noires qui assistaient à son cours attestait de sa capacité à bloquer l’accès à la faculté de médecine, faisant de lui un contrôleur de porte.
- Les universitaires d’origine africaine faisaient les mêmes travaux, mais recevaient des notes inférieures.
- Dans le cours du professeur Anderson, des personnes d’origines européenne et africaine ont été témoins de traitements inéquitables.
- Les plaintes contre le professeur n’ont pas été prises au sérieux par l’administration universitaire.
- Cela a mené à une occupation des lieux d’une durée de 14 jours par un groupe étudiant diversifié, comprenant les six personnes à l’origine de la plainte.
Pour accéder au programme d’études en médecine à l’Université Sir-George-Williams, il était nécessaire de suivre le cours du professeur Anderson.
Les universitaires originaires des Caraïbes qui suivaient le cours du professeur Anderson aspiraient à entrer à la faculté de médecine, avec l’espoir de devenir médecins.
Le professeur Anderson jouait le rôle de contrôleur de porte de l’université. Ses actions étaient une attestation claire des obstacles et du racisme présents au sein de l’institution.
Le racisme du professeur Anderson a été mis au jour lorsque deux étudiants ont soumis le même travail et que les notes attribuées se sont révélées différentes, selon leur race.
Les plaintes contre le professeur pour discrimination ont été ignorées pendant 10 mois. Les membres de la communauté étudiante internationale ont eu l’impression que leurs préoccupations n’étaient pas prises au sérieux.
Les universitaires n’ont eu d’autre recours que de protester, organisant une occupation des lieux qui a duré 14 jours.
Les six étudiants qui avaient déposé la plainte ont été soutenus par d’autres universitaires d’origine européenne.
À la fin de l’occupation, plus de 20 personnes avaient été inculpées pour avoir endommagé le laboratoire d’informatique où l’occupation avait eu lieu.
Pour accéder au programme d’études en médecine à l’Université Sir-George-Williams, il était nécessaire de suivre le cours du professeur Anderson. Celui-ci était reconnu pour mépriser les personnes noires et originaires des Caraïbes qui suivaient son cours, et celles-ci se mettaient mutuellement en garde au moment d’y assister. Celles qui aspiraient à devenir médecins s’inscrivaient néanmoins à son cours avec l’espoir de réussir, en vain.
Le professeur Anderson s’était donné le rôle de contrôleur de porte de l’université, une attestation claire des obstacles et du racisme présents au sein de l’institution.
Les universitaires d’origine européenne avaient conscience des évaluations injustes du professeur Anderson à l’égard d’un certain nombre de leurs collègues.
Le racisme du professeur Anderson a été mis au jour lorsque deux étudiants ont soumis le même travail et que les notes attribuées se sont révélées différentes, selon leur race.
Six étudiants ont déposé une plainte contre le professeur pour discrimination, mais celle-ci a été ignorée pendant 10 mois. Le professeur Anderson n’a pas été confronté concernant la plainte et il n’a pas été inquiété.
L’enquête a été retardée à deux reprises et n’a pas été prise au sérieux par l’administration universitaire. La communauté étudiante s’est sentie trahie par leur université. Le mépris de celle-ci à l’égard des six étudiants internationaux à l’origine de la plainte ne leur a laissé d’autre choix que de protester. Une occupation des lieux s’est organisée. Celle-ci s’est faite en rotation et a duré 14 jours. Les six étudiants qui ont déposé la plainte ont été soutenus par d’autres universitaires d’origine européenne. Lorsque l’occupation a pris fin, plus de 20 personnes avaient été inculpées pour avoir endommagé le laboratoire d’informatique où avait eu lieu l’occupation.
Sommaire
- Pour accéder au programme d’études en médecine à l’Université Sir-George-Williams, il était nécessaire de suivre le cours du professeur Anderson.
- L’évaluation injuste par le professeur Anderson des travaux réalisés par les personnes noires qui assistaient à son cours attestait de sa capacité à bloquer l’accès à la faculté de médecine, faisant de lui un contrôleur de porte.
- Les universitaires d’origine africaine faisaient les mêmes travaux, mais recevaient des notes inférieures.
- Dans le cours du professeur Anderson, des personnes d’origines européenne et africaine ont été témoins de traitements inéquitables.
- Les plaintes contre le professeur n’ont pas été prises au sérieux par l’administration universitaire.
- Cela a mené à une occupation des lieux d’une durée de 14 jours par un groupe étudiant diversifié, comprenant les six personnes à l’origine de la plainte.
Éléments essentiels
Pour accéder au programme d’études en médecine à l’Université Sir-George-Williams, il était nécessaire de suivre le cours du professeur Anderson.
Les universitaires originaires des Caraïbes qui suivaient le cours du professeur Anderson aspiraient à entrer à la faculté de médecine, avec l’espoir de devenir médecins.
Le professeur Anderson jouait le rôle de contrôleur de porte de l’université. Ses actions étaient une attestation claire des obstacles et du racisme présents au sein de l’institution.
Le racisme du professeur Anderson a été mis au jour lorsque deux étudiants ont soumis le même travail et que les notes attribuées se sont révélées différentes, selon leur race.
Les plaintes contre le professeur pour discrimination ont été ignorées pendant 10 mois. Les membres de la communauté étudiante internationale ont eu l’impression que leurs préoccupations n’étaient pas prises au sérieux.
Les universitaires n’ont eu d’autre recours que de protester, organisant une occupation des lieux qui a duré 14 jours.
Les six étudiants qui avaient déposé la plainte ont été soutenus par d’autres universitaires d’origine européenne.
À la fin de l’occupation, plus de 20 personnes avaient été inculpées pour avoir endommagé le laboratoire d’informatique où l’occupation avait eu lieu.
Description exhaustive
Pour accéder au programme d’études en médecine à l’Université Sir-George-Williams, il était nécessaire de suivre le cours du professeur Anderson. Celui-ci était reconnu pour mépriser les personnes noires et originaires des Caraïbes qui suivaient son cours, et celles-ci se mettaient mutuellement en garde au moment d’y assister. Celles qui aspiraient à devenir médecins s’inscrivaient néanmoins à son cours avec l’espoir de réussir, en vain.
Le professeur Anderson s’était donné le rôle de contrôleur de porte de l’université, une attestation claire des obstacles et du racisme présents au sein de l’institution.
Les universitaires d’origine européenne avaient conscience des évaluations injustes du professeur Anderson à l’égard d’un certain nombre de leurs collègues.
Le racisme du professeur Anderson a été mis au jour lorsque deux étudiants ont soumis le même travail et que les notes attribuées se sont révélées différentes, selon leur race.
Six étudiants ont déposé une plainte contre le professeur pour discrimination, mais celle-ci a été ignorée pendant 10 mois. Le professeur Anderson n’a pas été confronté concernant la plainte et il n’a pas été inquiété.
L’enquête a été retardée à deux reprises et n’a pas été prise au sérieux par l’administration universitaire. La communauté étudiante s’est sentie trahie par leur université. Le mépris de celle-ci à l’égard des six étudiants internationaux à l’origine de la plainte ne leur a laissé d’autre choix que de protester. Une occupation des lieux s’est organisée. Celle-ci s’est faite en rotation et a duré 14 jours. Les six étudiants qui ont déposé la plainte ont été soutenus par d’autres universitaires d’origine européenne. Lorsque l’occupation a pris fin, plus de 20 personnes avaient été inculpées pour avoir endommagé le laboratoire d’informatique où avait eu lieu l’occupation.