Médaille de traité non estampée
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Regardez attentivement cette médaille et complétez les phrases suivantes :
- Je vois… [ décrivez ce que vous voyez sur la médaille. ]
- Je pense que… [ que pensez-vous que la médaille représente ? ]
- Je me demande… [ quelles sont les questions que vous vous posez au sujet de la médaille ? ]
FAIRE
Votre école est-elle située sur un terrain couvert par un traité ? Effectuez des recherches externes pour savoir de quel traité, le cas échéant, vous faites partie. Quels sont les principaux droits énoncés dans le traité ?
Précisions
- Argent
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Cette médaille est l’une des nombreuses médailles que le gouvernement canadien a commandées en 1873 pour les remettre aux chefs autochtones lors de la signature d’un traité.
- L’inscription signifie « TRAITÉ INDIEN No _ / 187_ », avec deux espaces vides pour que le numéro et l’année du traité puissent être estampés.
- Entre 1870 et 1877, les Premières Nations des Plaines ont négocié sept traités avec le gouvernement canadien. Chaque partie avait une perception différente des traités. Beaucoup de promesses ont été ignorées, rompues ou oubliées au cours des années. Aujourd’hui encore, les communautés autochtones se battent pour que leurs droits soient respectés et que les relations découlant des traités soient restaurées.
Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une photo du revers de la médaille du traité.
Cette médaille est l’une des nombreuses médailles que le gouvernement canadien a commandées en 1873. L’inscription du revers signifie « TRAITÉ INDIEN No _ / 187_ », avec deux espaces vides pour que le numéro et l’année du traité puissent être estampés au moment de la remise à un chef ou à un dirigeant autochtone.
Entre 1870 et 1877, les Premières Nations des Plaines ont négocié sept traités avec le gouvernement canadien. Ces Premières Nations considéraient les traités comme des alliances de paix, d’amitié et de soutien mutuel. Le gouvernement du Canada percevait les traités comme un moyen d’acquérir des terres pour un chemin de fer transcontinental, la colonisation, l’agriculture et l’extraction des ressources.
En échange de ces territoires traditionnels, les représentants du gouvernement ont fait aux Premières Nations des promesses qui ont été consignées dans les versions écrites et orales des traités. Ces promesses comprenaient des droits sur les terres de réserve et des paiements en espèces, ainsi que des équipements pour la chasse, la pêche et l’agriculture. Nombre de ces promesses ont été ignorées, rompues ou oubliées au cours des années suivantes. Aujourd’hui encore, les communautés autochtones se battent pour que leurs droits soient respectés et que les relations découlant des traités soient restaurées.
Cette médaille est l’une des nombreuses médailles que le gouvernement canadien a commandées en 1873 aux graveurs et médailleurs Joseph, Alfred et Allan Wyon de Londres, au Royaume-Uni, au prix de 24 dollars chacune. L’avers porte l’image de profil de la reine Victoria, avec l’inscription latine « VICTORIA REGINA ». Le revers présente l’image d’un officier britannique serrant la main d’un homme stéréotypé des Premières Nations des Plaines; à leurs pieds git une hachette, prête à être enterrée. L’inscription du revers signifie « TRAITÉ INDIEN No _ / 187_ », avec deux espaces vides pour que le numéro et l’année du traité puissent être estampés au moment de la remise à un chef ou à un dirigeant autochtone.
Entre 1870 et 1877, les Premières Nations des Plaines ont négocié sept traités avec le gouvernement canadien. Ces Premières Nations considéraient les traités comme des alliances de paix, d’amitié et de soutien mutuel. Les traités, pensaient-elles, assureraient leur survie et leur sécurité face à un avenir incertain. Le gouvernement canadien en avait une idée différente. Selon le gouvernement, les traités étaient un moyen d’acquérir des terres pour un chemin de fer transcontinental, la colonisation, l’agriculture et l’extraction des ressources. La commande de médailles de traités avec des espaces vierges suggère que, pour le gouvernement canadien, l’expansion du Dominion vers l’ouest était tout simplement une évidence.
En échange de ces territoires traditionnels, les représentants du gouvernement ont fait aux Premières Nations des promesses qui ont été consignées dans les versions écrites et orales des traités. Ces promesses comprenaient des droits sur les terres de réserve et des paiements en espèces, ainsi que des équipements pour la chasse, la pêche et l’agriculture. Nombre de ces promesses ont été ignorées, rompues ou oubliées au cours des années suivantes. Aujourd’hui encore, les communautés autochtones se battent pour que leurs droits soient respectés et que les relations découlant des traités soient restaurées.
- Cette médaille est l’une des nombreuses médailles que le gouvernement canadien a commandées en 1873 pour les remettre aux chefs autochtones lors de la signature d’un traité.
- L’inscription signifie « TRAITÉ INDIEN No _ / 187_ », avec deux espaces vides pour que le numéro et l’année du traité puissent être estampés.
- Entre 1870 et 1877, les Premières Nations des Plaines ont négocié sept traités avec le gouvernement canadien. Chaque partie avait une perception différente des traités. Beaucoup de promesses ont été ignorées, rompues ou oubliées au cours des années. Aujourd’hui encore, les communautés autochtones se battent pour que leurs droits soient respectés et que les relations découlant des traités soient restaurées.
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Cette médaille est l’une des nombreuses médailles que le gouvernement canadien a commandées en 1873. L’inscription du revers signifie « TRAITÉ INDIEN No _ / 187_ », avec deux espaces vides pour que le numéro et l’année du traité puissent être estampés au moment de la remise à un chef ou à un dirigeant autochtone.
Entre 1870 et 1877, les Premières Nations des Plaines ont négocié sept traités avec le gouvernement canadien. Ces Premières Nations considéraient les traités comme des alliances de paix, d’amitié et de soutien mutuel. Le gouvernement du Canada percevait les traités comme un moyen d’acquérir des terres pour un chemin de fer transcontinental, la colonisation, l’agriculture et l’extraction des ressources.
En échange de ces territoires traditionnels, les représentants du gouvernement ont fait aux Premières Nations des promesses qui ont été consignées dans les versions écrites et orales des traités. Ces promesses comprenaient des droits sur les terres de réserve et des paiements en espèces, ainsi que des équipements pour la chasse, la pêche et l’agriculture. Nombre de ces promesses ont été ignorées, rompues ou oubliées au cours des années suivantes. Aujourd’hui encore, les communautés autochtones se battent pour que leurs droits soient respectés et que les relations découlant des traités soient restaurées.
Cette médaille est l’une des nombreuses médailles que le gouvernement canadien a commandées en 1873 aux graveurs et médailleurs Joseph, Alfred et Allan Wyon de Londres, au Royaume-Uni, au prix de 24 dollars chacune. L’avers porte l’image de profil de la reine Victoria, avec l’inscription latine « VICTORIA REGINA ». Le revers présente l’image d’un officier britannique serrant la main d’un homme stéréotypé des Premières Nations des Plaines; à leurs pieds git une hachette, prête à être enterrée. L’inscription du revers signifie « TRAITÉ INDIEN No _ / 187_ », avec deux espaces vides pour que le numéro et l’année du traité puissent être estampés au moment de la remise à un chef ou à un dirigeant autochtone.
Entre 1870 et 1877, les Premières Nations des Plaines ont négocié sept traités avec le gouvernement canadien. Ces Premières Nations considéraient les traités comme des alliances de paix, d’amitié et de soutien mutuel. Les traités, pensaient-elles, assureraient leur survie et leur sécurité face à un avenir incertain. Le gouvernement canadien en avait une idée différente. Selon le gouvernement, les traités étaient un moyen d’acquérir des terres pour un chemin de fer transcontinental, la colonisation, l’agriculture et l’extraction des ressources. La commande de médailles de traités avec des espaces vierges suggère que, pour le gouvernement canadien, l’expansion du Dominion vers l’ouest était tout simplement une évidence.
En échange de ces territoires traditionnels, les représentants du gouvernement ont fait aux Premières Nations des promesses qui ont été consignées dans les versions écrites et orales des traités. Ces promesses comprenaient des droits sur les terres de réserve et des paiements en espèces, ainsi que des équipements pour la chasse, la pêche et l’agriculture. Nombre de ces promesses ont été ignorées, rompues ou oubliées au cours des années suivantes. Aujourd’hui encore, les communautés autochtones se battent pour que leurs droits soient respectés et que les relations découlant des traités soient restaurées.
Sommaire
- Cette médaille est l’une des nombreuses médailles que le gouvernement canadien a commandées en 1873 pour les remettre aux chefs autochtones lors de la signature d’un traité.
- L’inscription signifie « TRAITÉ INDIEN No _ / 187_ », avec deux espaces vides pour que le numéro et l’année du traité puissent être estampés.
- Entre 1870 et 1877, les Premières Nations des Plaines ont négocié sept traités avec le gouvernement canadien. Chaque partie avait une perception différente des traités. Beaucoup de promesses ont été ignorées, rompues ou oubliées au cours des années. Aujourd’hui encore, les communautés autochtones se battent pour que leurs droits soient respectés et que les relations découlant des traités soient restaurées.
Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une photo du revers de la médaille du traité.
Éléments essentiels
Cette médaille est l’une des nombreuses médailles que le gouvernement canadien a commandées en 1873. L’inscription du revers signifie « TRAITÉ INDIEN No _ / 187_ », avec deux espaces vides pour que le numéro et l’année du traité puissent être estampés au moment de la remise à un chef ou à un dirigeant autochtone.
Entre 1870 et 1877, les Premières Nations des Plaines ont négocié sept traités avec le gouvernement canadien. Ces Premières Nations considéraient les traités comme des alliances de paix, d’amitié et de soutien mutuel. Le gouvernement du Canada percevait les traités comme un moyen d’acquérir des terres pour un chemin de fer transcontinental, la colonisation, l’agriculture et l’extraction des ressources.
En échange de ces territoires traditionnels, les représentants du gouvernement ont fait aux Premières Nations des promesses qui ont été consignées dans les versions écrites et orales des traités. Ces promesses comprenaient des droits sur les terres de réserve et des paiements en espèces, ainsi que des équipements pour la chasse, la pêche et l’agriculture. Nombre de ces promesses ont été ignorées, rompues ou oubliées au cours des années suivantes. Aujourd’hui encore, les communautés autochtones se battent pour que leurs droits soient respectés et que les relations découlant des traités soient restaurées.
Description exhaustive
Cette médaille est l’une des nombreuses médailles que le gouvernement canadien a commandées en 1873 aux graveurs et médailleurs Joseph, Alfred et Allan Wyon de Londres, au Royaume-Uni, au prix de 24 dollars chacune. L’avers porte l’image de profil de la reine Victoria, avec l’inscription latine « VICTORIA REGINA ». Le revers présente l’image d’un officier britannique serrant la main d’un homme stéréotypé des Premières Nations des Plaines; à leurs pieds git une hachette, prête à être enterrée. L’inscription du revers signifie « TRAITÉ INDIEN No _ / 187_ », avec deux espaces vides pour que le numéro et l’année du traité puissent être estampés au moment de la remise à un chef ou à un dirigeant autochtone.
Entre 1870 et 1877, les Premières Nations des Plaines ont négocié sept traités avec le gouvernement canadien. Ces Premières Nations considéraient les traités comme des alliances de paix, d’amitié et de soutien mutuel. Les traités, pensaient-elles, assureraient leur survie et leur sécurité face à un avenir incertain. Le gouvernement canadien en avait une idée différente. Selon le gouvernement, les traités étaient un moyen d’acquérir des terres pour un chemin de fer transcontinental, la colonisation, l’agriculture et l’extraction des ressources. La commande de médailles de traités avec des espaces vierges suggère que, pour le gouvernement canadien, l’expansion du Dominion vers l’ouest était tout simplement une évidence.
En échange de ces territoires traditionnels, les représentants du gouvernement ont fait aux Premières Nations des promesses qui ont été consignées dans les versions écrites et orales des traités. Ces promesses comprenaient des droits sur les terres de réserve et des paiements en espèces, ainsi que des équipements pour la chasse, la pêche et l’agriculture. Nombre de ces promesses ont été ignorées, rompues ou oubliées au cours des années suivantes. Aujourd’hui encore, les communautés autochtones se battent pour que leurs droits soient respectés et que les relations découlant des traités soient restaurées.