Brassard de la police spéciale de Winnipeg
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Contexte historique
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- Il s’agit d’un brassard de police que les « gendarmes spéciaux » ont porté pendant la grève générale de Winnipeg de 1919.
- En 1919, après la Première Guerre mondiale, le chômage de masse, l’inflation et les mauvaises conditions de travail ont conduit 30 000 personnes à quitter leur emploi. À cause de cette grève, les usines, les magasins, les transports en commun et les services municipaux ont été fermés.
- Le 21 juin 1919, six semaines après le début de la grève, une dernière manifestation de masse est réprimée avec force. Plusieurs personnes ont été blessées et arrêtées. Les gens sont retournés au travail à 11 heures le 26 juin.
Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une photo de la grève.
Il s’agit d’un brassard de police que les « gendarmes spéciaux » ont porté pendant la grève générale de Winnipeg de 1919.
Au printemps 1919, après la Première Guerre mondiale, le chômage de masse, l’inflation et les mauvaises conditions de travail ont conduit à la grève générale de Winnipeg, au cours de laquelle 30 000 personnes ont quitté leur emploi. À cause de cette grève, les usines, les magasins, les transports en commun et les services municipaux ont été fermés.
Les gouvernements et le milieu des affaires ont rapidement réagi : 1 800 citoyens ordinaires ont, en tant qu’agents spéciaux, remplacé les agents de police municipaux licenciés. Le 21 juin 1919, six semaines après le début de la grève, une dernière manifestation de masse est réprimée avec force. Lors de ce que l’on a appelé le « dimanche sanglant », deux morts ont été confirmées, une quarantaine de personnes ont été blessées et plus de 90 personnes ont été arrêtées. Le syndicat a mis fin à la grève le 25 juin. Les gens sont retournés au travail à 11 heures le 26 juin.
Il s’agit d’un brassard de police que les « gendarmes spéciaux » ont porté pendant la grève générale de Winnipeg de 1919.
Après la Première Guerre mondiale, des milliers de militaires sont revenus au Canada. La transition du pays vers une économie de temps de paix a entrainé une grande instabilité, à laquelle le Canada était mal préparé. Au printemps 1919, le chômage de masse, l’inflation et les mauvaises conditions de travail ont conduit à la grève générale de Winnipeg, au cours de laquelle 30 000 personnes ont quitté leur emploi. À cause de cette grève, les usines, les magasins, les transports en commun et les services municipaux ont été fermés.
Les gouvernements et le milieu des affaires ont rapidement réagi : 1 800 citoyens ordinaires ont, en tant qu’agents spéciaux, remplacé les agents de police municipaux licenciés. La police montée Royal North West et l’armée sont intervenues. Le 21 juin 1919, six semaines après le début de la grève, une dernière manifestation de masse est réprimée avec force. Lors de ce que l’on a appelé le « dimanche sanglant », deux morts ont été confirmées, une quarantaine de personnes ont été blessées et plus de 90 personnes ont été arrêtées. Le syndicat a mis fin à la grève le 25 juin. Après avoir été chargés par des chevaux et des baïonnettes, frappés par des fiers-à-bras armés de matraques (« goons », comme on appelait les policiers spéciaux) et tirés à coup de pistolets, les grévistes en avaient assez. Les gens sont retournés au travail à 11 heures le 26 juin.
- Il s’agit d’un brassard de police que les « gendarmes spéciaux » ont porté pendant la grève générale de Winnipeg de 1919.
- En 1919, après la Première Guerre mondiale, le chômage de masse, l’inflation et les mauvaises conditions de travail ont conduit 30 000 personnes à quitter leur emploi. À cause de cette grève, les usines, les magasins, les transports en commun et les services municipaux ont été fermés.
- Le 21 juin 1919, six semaines après le début de la grève, une dernière manifestation de masse est réprimée avec force. Plusieurs personnes ont été blessées et arrêtées. Les gens sont retournés au travail à 11 heures le 26 juin.
Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une photo de la grève.
Il s’agit d’un brassard de police que les « gendarmes spéciaux » ont porté pendant la grève générale de Winnipeg de 1919.
Au printemps 1919, après la Première Guerre mondiale, le chômage de masse, l’inflation et les mauvaises conditions de travail ont conduit à la grève générale de Winnipeg, au cours de laquelle 30 000 personnes ont quitté leur emploi. À cause de cette grève, les usines, les magasins, les transports en commun et les services municipaux ont été fermés.
Les gouvernements et le milieu des affaires ont rapidement réagi : 1 800 citoyens ordinaires ont, en tant qu’agents spéciaux, remplacé les agents de police municipaux licenciés. Le 21 juin 1919, six semaines après le début de la grève, une dernière manifestation de masse est réprimée avec force. Lors de ce que l’on a appelé le « dimanche sanglant », deux morts ont été confirmées, une quarantaine de personnes ont été blessées et plus de 90 personnes ont été arrêtées. Le syndicat a mis fin à la grève le 25 juin. Les gens sont retournés au travail à 11 heures le 26 juin.
Il s’agit d’un brassard de police que les « gendarmes spéciaux » ont porté pendant la grève générale de Winnipeg de 1919.
Après la Première Guerre mondiale, des milliers de militaires sont revenus au Canada. La transition du pays vers une économie de temps de paix a entrainé une grande instabilité, à laquelle le Canada était mal préparé. Au printemps 1919, le chômage de masse, l’inflation et les mauvaises conditions de travail ont conduit à la grève générale de Winnipeg, au cours de laquelle 30 000 personnes ont quitté leur emploi. À cause de cette grève, les usines, les magasins, les transports en commun et les services municipaux ont été fermés.
Les gouvernements et le milieu des affaires ont rapidement réagi : 1 800 citoyens ordinaires ont, en tant qu’agents spéciaux, remplacé les agents de police municipaux licenciés. La police montée Royal North West et l’armée sont intervenues. Le 21 juin 1919, six semaines après le début de la grève, une dernière manifestation de masse est réprimée avec force. Lors de ce que l’on a appelé le « dimanche sanglant », deux morts ont été confirmées, une quarantaine de personnes ont été blessées et plus de 90 personnes ont été arrêtées. Le syndicat a mis fin à la grève le 25 juin. Après avoir été chargés par des chevaux et des baïonnettes, frappés par des fiers-à-bras armés de matraques (« goons », comme on appelait les policiers spéciaux) et tirés à coup de pistolets, les grévistes en avaient assez. Les gens sont retournés au travail à 11 heures le 26 juin.
Sommaire
- Il s’agit d’un brassard de police que les « gendarmes spéciaux » ont porté pendant la grève générale de Winnipeg de 1919.
- En 1919, après la Première Guerre mondiale, le chômage de masse, l’inflation et les mauvaises conditions de travail ont conduit 30 000 personnes à quitter leur emploi. À cause de cette grève, les usines, les magasins, les transports en commun et les services municipaux ont été fermés.
- Le 21 juin 1919, six semaines après le début de la grève, une dernière manifestation de masse est réprimée avec force. Plusieurs personnes ont été blessées et arrêtées. Les gens sont retournés au travail à 11 heures le 26 juin.
Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une photo de la grève.
Éléments essentiels
Il s’agit d’un brassard de police que les « gendarmes spéciaux » ont porté pendant la grève générale de Winnipeg de 1919.
Au printemps 1919, après la Première Guerre mondiale, le chômage de masse, l’inflation et les mauvaises conditions de travail ont conduit à la grève générale de Winnipeg, au cours de laquelle 30 000 personnes ont quitté leur emploi. À cause de cette grève, les usines, les magasins, les transports en commun et les services municipaux ont été fermés.
Les gouvernements et le milieu des affaires ont rapidement réagi : 1 800 citoyens ordinaires ont, en tant qu’agents spéciaux, remplacé les agents de police municipaux licenciés. Le 21 juin 1919, six semaines après le début de la grève, une dernière manifestation de masse est réprimée avec force. Lors de ce que l’on a appelé le « dimanche sanglant », deux morts ont été confirmées, une quarantaine de personnes ont été blessées et plus de 90 personnes ont été arrêtées. Le syndicat a mis fin à la grève le 25 juin. Les gens sont retournés au travail à 11 heures le 26 juin.
Description exhaustive
Il s’agit d’un brassard de police que les « gendarmes spéciaux » ont porté pendant la grève générale de Winnipeg de 1919.
Après la Première Guerre mondiale, des milliers de militaires sont revenus au Canada. La transition du pays vers une économie de temps de paix a entrainé une grande instabilité, à laquelle le Canada était mal préparé. Au printemps 1919, le chômage de masse, l’inflation et les mauvaises conditions de travail ont conduit à la grève générale de Winnipeg, au cours de laquelle 30 000 personnes ont quitté leur emploi. À cause de cette grève, les usines, les magasins, les transports en commun et les services municipaux ont été fermés.
Les gouvernements et le milieu des affaires ont rapidement réagi : 1 800 citoyens ordinaires ont, en tant qu’agents spéciaux, remplacé les agents de police municipaux licenciés. La police montée Royal North West et l’armée sont intervenues. Le 21 juin 1919, six semaines après le début de la grève, une dernière manifestation de masse est réprimée avec force. Lors de ce que l’on a appelé le « dimanche sanglant », deux morts ont été confirmées, une quarantaine de personnes ont été blessées et plus de 90 personnes ont été arrêtées. Le syndicat a mis fin à la grève le 25 juin. Après avoir été chargés par des chevaux et des baïonnettes, frappés par des fiers-à-bras armés de matraques (« goons », comme on appelait les policiers spéciaux) et tirés à coup de pistolets, les grévistes en avaient assez. Les gens sont retournés au travail à 11 heures le 26 juin.