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Boite à histoires

Œuf de Pâques ukrainien

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Faites votre propre pysanka en suivant ces instructions.


Précisions

Date Entre 1905 et 1995
Origine de l’objet Prairies
Matériaux
  • Coquille d’œuf
Source / No de référence Musée canadien de l’histoire, 95.113
Artiste / Artisan / Fabricant Doris Elizabeth Yanda

Contexte historique

Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.

  • Il s’agit d’un œuf de Pâques ukrainien appelé pysanka. Conçus de manière complexe et richement colorés, les pysanky font partie de la culture ukrainienne depuis des siècles.
  • Le motif est « écrit » sur la coquille avec de la cire chaude, à l’aide d’un stylet, avant que les colorants ne soient appliqués. Comme dans le batik, la cire empêche la teinture de pénétrer dans certaines zones.
  • Plus de 170 000 Ukrainiens et Ukrainiennes sont arrivés au Canada entre 1891 et 1914. Comme de nombreux groupes de personnes immigrantes, ils se sont efforcés de s’adapter et de maintenir leurs traditions culturelles, linguistiques et religieuses distinctives, tout en s’engageant sans réserve dans leur nouvelle maison et leur nouveau pays : le Canada.

Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une image des pysanky qui se trouvent dans la Boite à histoires et des informations sur l’artiste qui les a réalisés.

 

  • Il s’agit d’un œuf de Pâques ukrainien appelé pysanka. Conçus de manière complexe et richement colorés, les pysanky font partie de la culture ukrainienne depuis des siècles.
  • Le motif est « écrit » sur la coquille avec de la cire chaude, à l’aide d’un stylet, avant que les colorants ne soient appliqués. Comme dans le batik, la cire empêche la teinture de pénétrer dans certaines zones.
  • Plus de 170 000 Ukrainiens et Ukrainiennes sont arrivés au Canada entre 1891 et 1914. Comme de nombreux groupes de personnes immigrantes, ils se sont efforcés de s’adapter et de maintenir leurs traditions culturelles, linguistiques et religieuses distinctives, tout en s’engageant sans réserve dans leur nouvelle maison et leur nouveau pays : le Canada.

Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une image des pysanky qui se trouvent dans la Boite à histoires et des informations sur l’artiste qui les a réalisés.

 

Sommaire

  • Il s’agit d’un œuf de Pâques ukrainien appelé pysanka. Conçus de manière complexe et richement colorés, les pysanky font partie de la culture ukrainienne depuis des siècles.
  • Le motif est « écrit » sur la coquille avec de la cire chaude, à l’aide d’un stylet, avant que les colorants ne soient appliqués. Comme dans le batik, la cire empêche la teinture de pénétrer dans certaines zones.
  • Plus de 170 000 Ukrainiens et Ukrainiennes sont arrivés au Canada entre 1891 et 1914. Comme de nombreux groupes de personnes immigrantes, ils se sont efforcés de s’adapter et de maintenir leurs traditions culturelles, linguistiques et religieuses distinctives, tout en s’engageant sans réserve dans leur nouvelle maison et leur nouveau pays : le Canada.

Faites défiler le carrousel médiatique ci-dessus pour voir une image des pysanky qui se trouvent dans la Boite à histoires et des informations sur l’artiste qui les a réalisés.

 


Éléments essentiels

Il s’agit d’un œuf de Pâques ukrainien appelé pysanka. Conçus de manière complexe et richement colorés, les pysanky font partie de la culture ukrainienne depuis des siècles. Après l’arrivée du christianisme dans la région de l’Ukraine vers le 10e siècle, les motifs des pysanky ont pris des significations liées à Pâques et à la résurrection.

Le nom ukrainien des œufs vient du verbe pysaty, qui signifie « écrire ». Le motif est « écrit » sur la coquille avec de la cire chaude, à l’aide d’un stylet, avant que les colorants ne soient appliqués. Comme dans le batik, la cire empêche la teinture de pénétrer dans certaines zones.

Cet œuf a été fabriqué par Doris Yanda (1905-2005), une Canadienne ukrainienne de première génération. Plus de 170 000 Ukrainiens et Ukrainiennes sont arrivés au Canada entre 1891 et 1914. Comme de nombreux groupes de personnes immigrantes, ils se sont efforcés de s’adapter et de maintenir leurs traditions culturelles, linguistiques et religieuses distinctives, tout en s’engageant sans réserve dans leur nouvelle maison et leur nouveau pays : le Canada.


Description exhaustive

Il s’agit d’un œuf de Pâques ukrainien appelé pysanka. Conçus de manière complexe et richement colorés, les pysanky font partie de la culture ukrainienne depuis des siècles. On croyait autrefois qu’ils possédaient la faculté magique d’éloigner les mauvais esprits. Après l’arrivée du christianisme dans la région de l’Ukraine vers le 10e siècle, les motifs des pysanky ont pris des significations liées à Pâques et à la résurrection. La communauté ukrainienne du Canada a fait de cet artisanat traditionnel un symbole culturel vivant et une source de fierté ethnique. Le riche patrimoine décoratif des pysanky offre aux peintres d’œufs ukrainiens un immense éventail d’originalité. Le Musée canadien de l’histoire possède plus de 1 500 pysanky dans ses collections. Parmi la myriade de motifs ornementaux que l’on peut y reconnaitre, on trouve des symboles tirés de sources solaires, végétales, animales et religieuses. Le nom ukrainien des œufs vient du verbe pysaty, qui signifie « écrire ». Le motif est « écrit » sur la coquille avec de la cire chaude, à l’aide d’un stylet, avant que les colorants ne soient appliqués. Comme dans le batik, la cire empêche la teinture de pénétrer dans certaines zones.

Cet œuf a été fabriqué par Doris Yanda (1905-2005), une Canadienne ukrainienne de première génération née à Gimli, au Manitoba. Doris Yanda a consacré sa vie au Canada et à la préservation de la culture ukrainienne. Elle a grandi en Saskatchewan et a eu une longue carrière en tant qu’artiste, poète publiée et dirigeante communautaire. En 1995, sa fille a fait don de 186 œuvres artistiques réalisées par sa mère, dont des housses de coussin, des chemises ukrainiennes traditionnelles, des tentures murales, des écharpes et près de 30 œufs pysanky. La bibliothèque du Musée possède également un livre de modèles de tissage qu’elle a publié, ainsi que ses collections d’archives personnelles, qui permettent de mieux connaitre sa vie et ses œuvres.

Doris Yanda n’est qu’une des nombreuses personnes d’origine ukrainienne à avoir laissé leur empreinte dans la culture canadienne. Plus de 170 000 Ukrainiens et Ukrainiennes sont arrivés au Canada entre 1891 et 1914. Comme de nombreux groupes de personnes immigrantes, ils se sont efforcés de s’adapter et de maintenir leurs traditions culturelles, linguistiques et religieuses distinctives, tout en s’engageant sans réserve dans leur nouvelle maison et leur nouveau pays : le Canada.

Les pysanky de cette trousse ont été réalisés par l’artiste ukrainienne canadienne Tanya Mykytiuk, qui vit à Toronto.


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