Chapeau
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REGARDER
Regardez cet objet. Que voyez-vous? Selon vous, de quel matériau est-il fait? Selon vous, à quoi servait-il? Lisez le contexte historique fourni pour vérifier votre réponse.
PENSER
Regardez cet objet puis lisez son contexte historique. Maintenant, regardez la vidéo « Des racines d’épinettes aux paniers, avec une tisserande Haïda », incluse dans la trousse. Selon vous, combien de temps a-t-il fallu pour tisser ce chapeau?
Réponse : On ne connait pas la quantité de temps exacte, mais il faut au moins quelques mois pour confectionner ce genre de chapeau, sans inclure le temps nécessaire pour cueillir et apprêter les matériaux.
Précisions
- Racines d’épinette
- Peinture minérale
Contexte historique
Choisissez parmi les trois niveaux suivants celui qui correspond à vos besoins.
- Lorsque ce dajáng (chapeau) a été trouvé à la fin du 19e siècle, les ginn xay ‘leeygang (tisserandes) confectionnaient de plus en plus de chapeaux pour les vendre aux touristes ainsi qu’aux collectionneurs et collectionneuses ’Yáats’ X̱áadee (d’Europe et d’Amérique) en raison des pratiques coloniales et des circonstances économiques dévastatrices qui en résultaient.
- Ce dajáng (chapeau) est plus grand que la plupart des hlíing dajáng (chapeaux de racines d’épinette). Il comprend deux techniques de tissage, et il est orné d’un motif peint au moyen de lignes figuratives sur les côtés du chapeau.
- Regardez la prochaine vidéo dans laquelle Ariane Xay Kuyaas, une tisserande haïda lauréate, présente les caractéristiques de ce chapeau.
Lorsque ce chapeau a été collecté à la fin du XIXe siècle, les ginn xay ’leeygang (tisserands haïdas) fabriquaient de moins en moins de dajáng (chapeaux) pour la maison et les cérémonies en raison des pratiques coloniales et des circonstances économiques dévastatrices qui en résultaient. De plus en plus, les ginn xay ’leeygang (tisserands) fabriquaient des chapeaux pour les vendre et les échanger avec les visiteurs et les collectionneurs ’Yáats’ X̱áadee (euro-américains) afin de survivre au sein du système colonial. De plus en plus, les ginn xay ’leeygang (tisserands) fabriquaient des chapeaux pour les vendre et les échanger avec les visiteurs et les collectionneurs ’Yáats’ X̱áadee (euro-américains) afin de survivre au sein du système colonial.
Ce dajáng (chapeau) est plus grand que la plupart des hlíing dajáng (chapeaux de racines d’épinette) et son tissage est très fin. La tisserande a utilisé deux techniques de tissage, une pour la calotte du chapeau et l’autre pour son bord. La créature peinte au moyen de lignes figuratives sur les côtés du chapeau a probablement été réalisée par un ou une artiste.
Regardez la prochaine vidéo dans laquelle Ariane Xay Kuyaas, une tisserande haïda lauréate, présente les caractéristiques de ce chapeau.
Le ginn xay (tissage) joue un rôle déterminant dans l’économie et l’histoire sociale des Xaadgée (peuple haïda). Les áwlang (mères), les skáanalang (tantes) et les náanalang (grands-mères) enseignent aux futures tisserandes les connaissances et les compétences nécessaires à l’approvisionnement, à la cueillette, à l’apprêtage et au tissage de dajáng (chapeaux), de paniers et d’autres articles.
Lorsque ce chapeau a été collecté à la fin du XIXe siècle, les ginn xay ’leeygang (tisserands haïdas) fabriquaient de moins en moins de dajáng (chapeaux) pour la maison et les cérémonies en raison des pratiques coloniales et des circonstances économiques dévastatrices qui en résultaient. De plus en plus, les ginn xay ’leeygang (tisserands) fabriquaient des chapeaux pour les vendre et les échanger avec les visiteurs et les collectionneurs ’Yáats’ X̱áadee (euro-américains) afin de survivre au sein du système colonial.
Ce chapeau est plus grand que la plupart des hlíing dajángée (chapeaux de racines d’épinette) et son tissage est très fin. La tisserande a achevé la calotte du chapeau au moyen d’un tissage à trois brins, mais le bord du chapeau est fait d’un tissage à deux brins, ce qui crée le motif de la dúuduuaayángaa (libellule) au losange concentrique. Le motif de l’emblème représentant une figure zoomorphe symétrique a été peint par un ou une artiste au moyen de lignes figuratives.
Un œil avisé reconnaitra la signature de la ginn xay ‘leeygaa (tisserande) par les détails de l’œuvre : son style particulier est reconnaissable à la façon dont elle tisse les hlíing (racines d’épinette) sur la calotte ainsi qu’à la finition du bord du chapeau. Ces détails sont en quelque sorte des « empreintes digitales » sur le chapeau. Aujourd’hui, les personnes qui s’adonnent au tissage examinent des œuvres anciennes comme ce dajáng (chapeau) pour apprendre les techniques traditionnelles. Dans la vidéo « Regard sur un panier ovale haïda unique », Ariane Xay Kuyaas, une tisserande haïda lauréate, présente les caractéristiques de ce chapeau.
- Lorsque ce dajáng (chapeau) a été trouvé à la fin du 19e siècle, les ginn xay ‘leeygang (tisserandes) confectionnaient de plus en plus de chapeaux pour les vendre aux touristes ainsi qu’aux collectionneurs et collectionneuses ’Yáats’ X̱áadee (d’Europe et d’Amérique) en raison des pratiques coloniales et des circonstances économiques dévastatrices qui en résultaient.
- Ce dajáng (chapeau) est plus grand que la plupart des hlíing dajáng (chapeaux de racines d’épinette). Il comprend deux techniques de tissage, et il est orné d’un motif peint au moyen de lignes figuratives sur les côtés du chapeau.
- Regardez la prochaine vidéo dans laquelle Ariane Xay Kuyaas, une tisserande haïda lauréate, présente les caractéristiques de ce chapeau.
Lorsque ce chapeau a été collecté à la fin du XIXe siècle, les ginn xay ’leeygang (tisserands haïdas) fabriquaient de moins en moins de dajáng (chapeaux) pour la maison et les cérémonies en raison des pratiques coloniales et des circonstances économiques dévastatrices qui en résultaient. De plus en plus, les ginn xay ’leeygang (tisserands) fabriquaient des chapeaux pour les vendre et les échanger avec les visiteurs et les collectionneurs ’Yáats’ X̱áadee (euro-américains) afin de survivre au sein du système colonial. De plus en plus, les ginn xay ’leeygang (tisserands) fabriquaient des chapeaux pour les vendre et les échanger avec les visiteurs et les collectionneurs ’Yáats’ X̱áadee (euro-américains) afin de survivre au sein du système colonial.
Ce dajáng (chapeau) est plus grand que la plupart des hlíing dajáng (chapeaux de racines d’épinette) et son tissage est très fin. La tisserande a utilisé deux techniques de tissage, une pour la calotte du chapeau et l’autre pour son bord. La créature peinte au moyen de lignes figuratives sur les côtés du chapeau a probablement été réalisée par un ou une artiste.
Regardez la prochaine vidéo dans laquelle Ariane Xay Kuyaas, une tisserande haïda lauréate, présente les caractéristiques de ce chapeau.
Le ginn xay (tissage) joue un rôle déterminant dans l’économie et l’histoire sociale des Xaadgée (peuple haïda). Les áwlang (mères), les skáanalang (tantes) et les náanalang (grands-mères) enseignent aux futures tisserandes les connaissances et les compétences nécessaires à l’approvisionnement, à la cueillette, à l’apprêtage et au tissage de dajáng (chapeaux), de paniers et d’autres articles.
Lorsque ce chapeau a été collecté à la fin du XIXe siècle, les ginn xay ’leeygang (tisserands haïdas) fabriquaient de moins en moins de dajáng (chapeaux) pour la maison et les cérémonies en raison des pratiques coloniales et des circonstances économiques dévastatrices qui en résultaient. De plus en plus, les ginn xay ’leeygang (tisserands) fabriquaient des chapeaux pour les vendre et les échanger avec les visiteurs et les collectionneurs ’Yáats’ X̱áadee (euro-américains) afin de survivre au sein du système colonial.
Ce chapeau est plus grand que la plupart des hlíing dajángée (chapeaux de racines d’épinette) et son tissage est très fin. La tisserande a achevé la calotte du chapeau au moyen d’un tissage à trois brins, mais le bord du chapeau est fait d’un tissage à deux brins, ce qui crée le motif de la dúuduuaayángaa (libellule) au losange concentrique. Le motif de l’emblème représentant une figure zoomorphe symétrique a été peint par un ou une artiste au moyen de lignes figuratives.
Un œil avisé reconnaitra la signature de la ginn xay ‘leeygaa (tisserande) par les détails de l’œuvre : son style particulier est reconnaissable à la façon dont elle tisse les hlíing (racines d’épinette) sur la calotte ainsi qu’à la finition du bord du chapeau. Ces détails sont en quelque sorte des « empreintes digitales » sur le chapeau. Aujourd’hui, les personnes qui s’adonnent au tissage examinent des œuvres anciennes comme ce dajáng (chapeau) pour apprendre les techniques traditionnelles. Dans la vidéo « Regard sur un panier ovale haïda unique », Ariane Xay Kuyaas, une tisserande haïda lauréate, présente les caractéristiques de ce chapeau.
Sommaire
- Lorsque ce dajáng (chapeau) a été trouvé à la fin du 19e siècle, les ginn xay ‘leeygang (tisserandes) confectionnaient de plus en plus de chapeaux pour les vendre aux touristes ainsi qu’aux collectionneurs et collectionneuses ’Yáats’ X̱áadee (d’Europe et d’Amérique) en raison des pratiques coloniales et des circonstances économiques dévastatrices qui en résultaient.
- Ce dajáng (chapeau) est plus grand que la plupart des hlíing dajáng (chapeaux de racines d’épinette). Il comprend deux techniques de tissage, et il est orné d’un motif peint au moyen de lignes figuratives sur les côtés du chapeau.
- Regardez la prochaine vidéo dans laquelle Ariane Xay Kuyaas, une tisserande haïda lauréate, présente les caractéristiques de ce chapeau.
Éléments essentiels
Lorsque ce chapeau a été collecté à la fin du XIXe siècle, les ginn xay ’leeygang (tisserands haïdas) fabriquaient de moins en moins de dajáng (chapeaux) pour la maison et les cérémonies en raison des pratiques coloniales et des circonstances économiques dévastatrices qui en résultaient. De plus en plus, les ginn xay ’leeygang (tisserands) fabriquaient des chapeaux pour les vendre et les échanger avec les visiteurs et les collectionneurs ’Yáats’ X̱áadee (euro-américains) afin de survivre au sein du système colonial. De plus en plus, les ginn xay ’leeygang (tisserands) fabriquaient des chapeaux pour les vendre et les échanger avec les visiteurs et les collectionneurs ’Yáats’ X̱áadee (euro-américains) afin de survivre au sein du système colonial.
Ce dajáng (chapeau) est plus grand que la plupart des hlíing dajáng (chapeaux de racines d’épinette) et son tissage est très fin. La tisserande a utilisé deux techniques de tissage, une pour la calotte du chapeau et l’autre pour son bord. La créature peinte au moyen de lignes figuratives sur les côtés du chapeau a probablement été réalisée par un ou une artiste.
Regardez la prochaine vidéo dans laquelle Ariane Xay Kuyaas, une tisserande haïda lauréate, présente les caractéristiques de ce chapeau.
Description exhaustive
Le ginn xay (tissage) joue un rôle déterminant dans l’économie et l’histoire sociale des Xaadgée (peuple haïda). Les áwlang (mères), les skáanalang (tantes) et les náanalang (grands-mères) enseignent aux futures tisserandes les connaissances et les compétences nécessaires à l’approvisionnement, à la cueillette, à l’apprêtage et au tissage de dajáng (chapeaux), de paniers et d’autres articles.
Lorsque ce chapeau a été collecté à la fin du XIXe siècle, les ginn xay ’leeygang (tisserands haïdas) fabriquaient de moins en moins de dajáng (chapeaux) pour la maison et les cérémonies en raison des pratiques coloniales et des circonstances économiques dévastatrices qui en résultaient. De plus en plus, les ginn xay ’leeygang (tisserands) fabriquaient des chapeaux pour les vendre et les échanger avec les visiteurs et les collectionneurs ’Yáats’ X̱áadee (euro-américains) afin de survivre au sein du système colonial.
Ce chapeau est plus grand que la plupart des hlíing dajángée (chapeaux de racines d’épinette) et son tissage est très fin. La tisserande a achevé la calotte du chapeau au moyen d’un tissage à trois brins, mais le bord du chapeau est fait d’un tissage à deux brins, ce qui crée le motif de la dúuduuaayángaa (libellule) au losange concentrique. Le motif de l’emblème représentant une figure zoomorphe symétrique a été peint par un ou une artiste au moyen de lignes figuratives.
Un œil avisé reconnaitra la signature de la ginn xay ‘leeygaa (tisserande) par les détails de l’œuvre : son style particulier est reconnaissable à la façon dont elle tisse les hlíing (racines d’épinette) sur la calotte ainsi qu’à la finition du bord du chapeau. Ces détails sont en quelque sorte des « empreintes digitales » sur le chapeau. Aujourd’hui, les personnes qui s’adonnent au tissage examinent des œuvres anciennes comme ce dajáng (chapeau) pour apprendre les techniques traditionnelles. Dans la vidéo « Regard sur un panier ovale haïda unique », Ariane Xay Kuyaas, une tisserande haïda lauréate, présente les caractéristiques de ce chapeau.